Arguments devenir végétariens puis végétaliens

Pers0nne":2842jik3 a dit:
(...) quand même, soyons honnêtes, des végétaliens carencés mortellement, il y en a eu.

Même proportionnellement je suis pas certains qu'il y en ai eu plus que des mortellement carencés omnis.
Et il faudrait pas oublier le facteur "non-éducation" ou désinformation diététique dans les pays vraisemblablement les plus touchés par ce fait: les pays occidentalisés.

(j'exclue volontairement les pays où, omni ou végé, c'est la misère et la faim qui cause ces carences, et non un choix de régime alimentaire mal conduit.)

Pour cette histoire de cap de détoxication à passer, je crois qu'il s'agit bêtement de l'acidose que connaissent tous les jeûneurs. (et qui précède un état de bien être et même de vigueur physique graduel)
bref... cf ici (je viens d'y ajouter la vidéo uploadée sur youyou ^^)

PS: la "fierté" du végétarien (enfin surtout du végane) est un non sens car ce devrait être le désintérêt de son geste. ^^
 
Plutôt d'accord avec Pumm et V3nom...
Et pour la fierté je plussoie à 100% :)
 
personne bonjour
effectivement tu portes un jugement de valeur sur un aspect de la nutrition qui t'échappe apparemmment, mais c'est la même attitude qui existe entre omnis et Vg donc c'est presque "normal"! Le seul moyen d'y voir plus clair et sans à priori, c'est l'expérimentation et la comparaison avec un état précédent (en dehors de la philosophie du fruitarisme). Quelques fruitariens/nes sont intervenus sur ce site et se sont heurtés à l'incompréhension de quelques uns de ceux qui ne le sont pas:comment s'étonner alors de l'incompréhension omnis/VG!?
 
Les différences avec le végétalisme et le végétarisme sont pourtant nombreuses et évidentes :
- Végétarisme et végétalisme se choisissent par éthique, et non pour atteindre un état supérieur personnel. (Sauf exception, les arguments santé ne sont là que pour contrebalancer ceux rabâchés par les pro-viandes. Rationnellement, il serait tout à fait possible d'optimiser tous les aspects santé en dosant parfaitement chaque apport possible, en cherchant la meilleure combinaison, la meilleure quantité, et le meilleur procédé de préparation dans tout ce qui est accessible, aussi bien cru que cuit, donc sans se priver absolument de produits animaux ni de viande, mais juste en en consommant beaucoup moins, et en diversifiant les apports végétaux autant que le font les végétaliens. Une restriction absolue, quelle qu'elle soit, la privation totale d'un apport, ni sa consommation d'une manière exclusive, qu'elle soit crue ou cuite, n'a aucune raison rationnelle d'être un atout santé.)
- Le gain éthique du frugivorisme est loin (très loin) d'être évident. D'autant plus que s'atteler à la tâche de répandre le végétarisme sera toujours beaucoup moins destructeur (et plus écologique) que chercher sa propre perfection dans la non destruction des végétaux.
- Le frugivorisme est très très peu documenté, surtout scientifiquement. Surtout sur le long terme.
- Les motivations non-apparentes pour prôner telle ou telle pratique, alimentaire ou autre, m'importent peu. Ça peut être tout à fait sincère (et je crois que c'est généralement le cas). Mais je pense aussi que certaines pratiques ne peuvent pas convenir à tout le monde d'un point de vue métabolitique, et qu'il faut savoir rester prudent avec son envie personnelle de les propager.
 
Peu de végétaRiens s'y mettent par empathie et pour l'antispécisme. En général c'est pour des déconsidérations diététiques, de santé ou écologiques. (et ça ne dure pas)

Sinon on aurait pas autant de végétaRiens qui ne voient aucun intérêt à devenir végane, ni tous ces ovo-lacto-pesco-lapino-flexico-bovino-végétariens... (Dont une certaine BB...)

Tiens sinon tu parles de rationalité et affirmes qu'une restriction n'a aucune raison d'être bonne pour la santé. Je t'invite prestement à regarder un documentaire sur les bienfaits du jeûne :) (rediffusion en dernière page)

Sinon pourquoi parler de "restriction" concernant le végétarisme ou végétalisme quand ceux qui ne font pas n'importe quoi ne manque d'absolument aucun élément vital ?
Et toi ? Manges-tu des fourmis ? Si non, pourquoi cette restriction ?

Le frugivorisme moins éthique que le véganisme ? Pour quoi donc ? il y a un respect de la flore en plus de la faune. Tu parles (encore et toujours) du mythe de la pureté personnel, mais qu'en sais-tu ? Es-tu dans la tête des gens pour affirmer ce sophisme dangereux ?

C'est pas méchant mais je vais être franc, tu me semble avoir une vision très étriquée de tout ça... En fait on dirait un omnivore qui a peur d'être convaincu de devenir végé... (j'me trompe surement et interprète mal ce que tu as écris)

edit après avoir lu ta présentation: Bon on dirait un végétaRien qui a peur d'être convaincu de devenir végétaLien. :D

PS: d'ailleurs tu t'y présentes en disant que tu es végétarien "donc ovo-lacto-végétarien". C'est un parfait pléonasme pour moi, qui me conforte un peu dans l'idée que tu ne connais pas si bien que ça le sujet du végétalisme/véganisme/etc... (mais bon là je prends des raccourcis qui m'enduisent surement d'erreur !)

/!\ Ne pas prendre mal tout ce que je viens d'écrire hein, je ne fais pas de jugement de valeur ni de procès, juste que tes posts me semblent parfois incohérents. Je cherche juste à comprendre, et la franchise est le chemin le plus court ^^
 
Je me suis mis au végétarisme il y a 15 ans pour la seule et unique raison que je ne voulais plus tuer. Personne n'a eu besoin de m'en parler, ni de me convaincre. J'ai toujours trouvé injuste et absurde de manger de la viande. J'ai attendu mes 18 ans pour que mon choix soit légitime et respecté en tant que majeur. Je n'ai pas cru une seconde que ça allait améliorer ma santé (Je n'entendais que le contraire, tout ce que je savais c'était qu'en continuant à manger du lait et des oeufs, je limitais la casse.). Je n'ai jamais entendu aucun argument en faveur de l'écologie à l'époque (J'étais même convaincu qu'un monde végétarien n'était pas tenable écologiquement, qu'on n'aurait jamais assez de terre pour faire pousser autant de végétaux, que j'étais juste en quelque sorte privilégié -même si de toute façon, personne d'autre ne voulait l'être-).
J'ai encore attendu 10 ans avant d'entendre parler par internet de ces autres arguments (et encore un peu avant d'en être convaincu). Je n'avais même jamais vu de vidéos d'animaux en abattoirs ou maltraités (je n'en ai vu vraiment que récemment). Le fait de tuer inutilement me suffisait.

Donc oui, mon choix est purement éthique. Et en devenant végétalien (depuis quelques mois), je ne suis toujours pas sûr que ça ne va pas avoir d'impact négatif pour ma santé. Je vois juste que c'est désormais reconnu comme possible par des diététiciens neutres (puisque non végétariens), sur des bases mesurables et scientifiques, et que j'ai enfin assez d'informations pour limiter la casse (à nouveau). Si je m'étais jeté dans le végétalisme plus tôt, je n'aurais sans doute pas eu connaissance des problèmes de B12 et ça aurait pu être dramatique.

Donc mon choix est toujours éthique.

Les végétariens ne passent pas véganes automatiquement parce que le lien entre les oeufs, le lait, et la souffrance/la mort n'est pas aussi évident qu'entre un animal et un morceau de sa chair. L'animal est tué pour sa chair, le reste apparaît (illusoirement) comme bonus n'entraînant pas sa mort. Pour comprendre le lien direct, il faut commencer à se renseigner plus profondément sur le fonctionnement de l'industrie de l'élevage, et constater les chiffres. Avant internet, ces informations étaient infiniment moins faciles d'accès.
Et la peur pour sa santé reste aussi très présente (et d'autant plus lorsqu'on manque d'informations).

Et effectivement, comme tu le dis, ceux qui font ce choix pour autre chose ne le restent pas. Donc les autres arguments sont très secondaires. C'est bien cet argument éthique qui justifie le végéta*isme.

-------------------
Je réponds à tes questions :
Je ne mange pas de fourmi parce que je respecte la vie. Je ne tue pas quand c'est inutile.

Le frugivorisme n'est pas moins éthique que le véganisme, il n'a juste aucun apport éthique par rapport à lui (ou un apport douteux). C'est principalement une recherche égoïste de perfectionnement, de pureté. Et je me méfie de la pureté. Si ça n'était pas le cas pourquoi toute cette insistance sur les incroyables et innombrables bienfaits (de nature inquantifiable) que c'est censé apporter ? Pourquoi ne pas plutôt insister sur la souffrance inacceptable des végétaux, l'horreur évidente du respect dont on leur manque ? (Le seul argument qui serait valable, puisque le végéta*isme, lui, n'a à se justifier que par un argument.)

En ce qui me concerne, je suis très bien tel que je suis, sans avoir besoin de me transformer subitement, comme par magie, par une alimentation censée guérir tous les maux de la terre d'une manière standard plutôt que traiter chaque individu au cas par cas. Et tant pis si je ne suis jamais un surhomme, je survivrai.

Le doute et la remise en cause de nos conditionnements n'interdit pas la prudence raisonnable face à la nouveauté.
Donc désolé, mais je vais faire preuve d'une saine prudence, face à une pratique dont je ne vois pas le gain éthique, et dont les bénéfices ne m'apparaissent pas comme pertinents. La même prudence dont j'ai fait preuve face au végétalisme (et que je n'ai pas forcément lieu de regretter). Et si dans 15 ans, les frugivores d'aujourd'hui sont toujours en aussi bonne forme, et si des diététiciens du monde entier commencent alors enfin à en parler avec sérieux, alors je me pencherai peut-être sur la question. Aujourd'hui, aucun intérêt.


------------------------------------------

Et oui, effectivement, même si je peux choquer ou blesser les frugivores convaincus, dans la rhétorique du site que j'ai cité plus haut, je vois des tournures de phrases très alambiquées et des raisonnements partiels fumeux dont je me méfie.

Il est effectivement facile de comparer omnivorisme/végéta*isme et végéta*isme/frugivorisme. Et c'est justement parce que cette comparaison est si facile (et malhonnête), que je me méfie de cette pente savonneuse.

De la même manière, il est tout aussi facile de comparer végéta*isme/frugivorisme et frugivorisme/respirianisme(inédie,pranisme). C'est de même niveau.
Le gain éthique est le même (Alors qu'on consommait encore des fruits, désormais on ne consomme plus rien du tout.).
Les apports sur la santé et le spirituel aussi (On passe du surhomme au demi-dieu.).
Les preuves scientifiques avérées sont aussi nombreuses.
Et on remarque que les frugivores sont eux-mêmes enragés/terrifiés par les respirianistes (parce que les leaders respirianistes réussissent, malgré toute l'absurdité du principe, à convaincre certaines personnes).

L'existence du respirianisme ne sert pas l'image qu'on peut avoir du frugivorisme.

Et l'existence du frugivorisme ne sert pas l'image que les omnis peuvent avoir des végéta*iens.

Ma méfiance n'est pas un jugement définitif, et elle n'est même pas un jugement sur quiconque pratique sincèrement le frugivorisme, mais elle est quand même ma barrière de sécurité sur une pratique que je trouve a priori douteuse.
(D'autant plus que les définitions de la pratique du frugivorisme sont très fluctuentes d'une personne à l'autre...)

Et maintenant, je vais faire une pause. Je viens de faire une overdose de Vegeweb.
 
Bin ton principe de précaution me semble tout ce qu'il y a de plus normal, je ne vois même pas pourquoi écrire tout ceci pour justifier ce qui n'a pas besoin de l'être.

Sinon pour le respirianisme je suis d'accord, à part que je ne suis pas fermé à la possibilité d'être surpris, mais mon liens parlait surtout d'un docu sur le jeûne thérapeutique, et non sur le respirianisme, en réponse à ton affirmation qu'une restriction de quoi que ce soit n'avait aucune raison rationnelle d'être bénéfique.

Et pour ma question sur la fourmis, j'aurais pu tout aussi bien te demander si tu mangeais des Pommes De L'estre, des Fruits du dragon, des Mangoustans, des Longan, des Pomme de Jacque, des Ramboutans ? Si non, pourquoi cette "restriction" ? (c'est pour reprendre ta façon de présenter les végétarisme et végétalisme)
 
Personne bonjour
Donc mon choix est toujours éthique.
Utiliser le terme éthique n’est pas adapté en la circonstance : En quoi serait-il plus moral de manger des animaux plutôt que des végétaux ou l’inverse. Evoques ta sensibilité, voire ta sensiblerie, la physiologie, l’anatomie comparée si tu veux mais ce n’est ni bien, ni mal de manger quelle que soit cette source alimentaire.
Donc oui, mon choix est purement éthique. Et en devenant végétalien (depuis quelques mois), je ne suis toujours pas sûr que ça ne va pas avoir d'impact négatif pour ma santé.
Si je m'étais jeté dans le végétalisme plus tôt, je n'aurais sans doute pas eu connaissance des problèmes de B12 et ça aurait pu être dramatique.
Ce qui montre que l’aspect santé n’est pas détaché de l’aspect « éthique » que tu évoques, sinon tu ne t’en préoccuperais pas. De même pour la dimension écologique puisque cette vitamine est le résultat d’un process industriel qui n’est pas alimentaire. Le surplus de B12 est excrété, va dans les nappes phréatiques et est réabsorbé par la flore, la faune, l’humain sans en connaitre l’impact. Tout est lié même si ces liens ne sont pas évidents ou laissent indifférents. :whistle:
 
Je plussoie avec vigueur sur l'interdépendance de tous ces aspects de la vie, qu'on y soit sensible ou pas.
 
J'aimerais contrer un argument omnivore qui est à mon avis, utilisé à tort: la chaîne alimentaire.
Replaçons le dans son contexte: la chaîne alimentaire se trouve dans la nature. Le lion mange la gazelle et ainsi de suite.

Nous, humains, (à moins de vivre dans une grotte ou d'avoir abandonné la civilisation telle qu'on la nomme aujourd'hui) ne vivons pas dans un contexte naturel. Nous avons dénaturisé l'élevage, la fabrication des aliments, l'agriculture, et tout le reste. Nous ne faisons pas partie de la nature au sens strict du terme (la plupart d'entre nous n'avons pas à chasser ou à faire la cueillette pour survivre).

Je pense que la chaîne alimentaire peut s'appliquer aux autres animaux, qui eux n'ont pas le choix. Nous, nous avons des grands magasins qui font le boulot pour nous.
Donc pour moi,l'argument de la chaîne alimentaire est erroné.
 
L'homme ne vit pas moins dans un contexte "naturel" que la fourmis dans sa fourmilière, c'est juste un cadre issu de l'évolution qui est d'un degré supérieur.
C'est un éternel débat que la considération de l'homme et de ce qu'il produit comme oui ou non naturel.

Tu peux employer 2 (voire plus sans doutes) aspects de réponse :

-la morale de l'être dominant, impliquant une responsabilité immense quant à ses actes. De plus il ne peut invoquer l'absence de "droits" aux animaux puisqu'il revendique son propre "droit" à manger ce qu'il veut. (sinon ça revient à dire que c'est normal de tabasser sa femme, puisque c'est chez soi. © quelqu'un que j'aime beaucoup)

-la nature même de l'homme : s'il fait à ce point partie de la chaine trophique, pourquoi diable n'a-t-il aucun attribut propre à tout autre prédateur carnivore du monde animal ? (crocs, griffes, tube digestif court, mâchoire latéralement fixe, etc)
Pourquoi diable a-t-il besoin que la viande soit castamée ou cuite pour pouvour la manger ?
Pourquoi diable, en mettant un fruit et un lapin devant un bébé, jamais il va essayer de manger cet animal ?
Pourquoi presque tous les enfants du monde font la grimace devant leurs premières assiettes de viande ?

Qui n'a jamais entendu dans son enfance "finit ta viande !"

200% subjectif : pourquoi toute mon enfance je trouvais bizarre d'avoir parfois de véritables "crampes" de mâchoires à force de mastiquer ce caoutchouc souvent insipide ?
 
V3nom":2q42rkzo a dit:
200% subjectif : pourquoi toute mon enfance je trouvais bizarre d'avoir parfois de véritables "crampes" de mâchoires à force de mastiquer ce caoutchouc souvent insipide ?

Parce que ta mère ou ton père sait pas faire cuire la viande ?

V3nom":2q42rkzo a dit:
Qui n'a jamais entendu dans son enfance "finit ta viande !"

Moi ! C'était plutôt "Finis tes légumes !", voire "Mange des légumes !"

Sinon, quand on met un bébé et un fruit devant un lapin, le lapin mange le bébé, s'il a bien été élevé.

Voilà, après avoir élevé le débat, je retourne tenter de bosser.
Bisous bisous !
 
Tu as passé trop de temps outre manche toi... NNNNNNI !

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=XcxKIJTb3Hg[/youtube]
 
Tu rigoles, mais les émeutes de Tottenham l'été dernier, les meneurs, c'était quand même des lapins !
Ils sont hyper dangereux ici, c'est la troisème menace après les politiciens et les banquiers. C'est pour ça que les Anglais n'en mangent pas, ils ont jamais réussi à en capturer un, et ton documentaire d'époque le prouve.
 
Eh bah ça doit sacrément déranger, ce document, parce que je suis pas autorisé à y accéder depuis mon pays de résidence !!!
C'est une honte cette censure !
 
Sont-ils cocasses les chers petits !
Mais je suis sûr que c'était pas un ours, mais un lapin adulte.
 
V3nom > C'est pour ça que j'ai précisé que c'était de mon point de vue, c'est ce que je pense et je n'oblige personne à m'approuver. Il n'y a jamais qu'une seule vérité qui existe.
Mais je vois que tu adores contrer des arguments ou donner ton avis que quelque chose que tu n'approuves pas, voir tu y cherches des symboles cachés, donc je ne vais pas m'étendre~

Par contre je n'ai jamais été dégoûté dans mon enfance devant une assiette de viande. J'ai toujours adoré ça. Pareil, moi c'était plutôt "finis tes légumes".

V3nom a écrit:200% subjectif : pourquoi toute mon enfance je trouvais bizarre d'avoir parfois de véritables "crampes" de mâchoires à force de mastiquer ce caoutchouc souvent insipide ?


Parce que ta mère ou ton père sait pas faire cuire la viande ?

Je plussoie.
 
V3nom > Mais je vois que tu adores contrer des arguments ou donner ton avis que quelque chose que tu n'approuves pas, voir tu y cherches des symboles cachés, donc je ne vais pas m'étendre~

J'avoue, je plussoie quoi, il a trop découvert le personnage, celui qui démontre la puissance de KitKat et qui prouve l'existence de Jésus via le canidé de compagnie.
Je dis :genoux: :genoux:

(humour au cas ou :kiss: )
 
Retour
Haut