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  • Auteur de la discussion Anonymous
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Ouais, j'ai pas l'impression que la couverture médiatique est énorme, si ?
 
Fabicha":2w1pu6be a dit:
Ouais, j'ai pas l'impression que la couverture médiatique est énorme, si ?
Il était simplement généticien, s'occupait seulement des sans-abris et en plus était pour la décroissance !! Ce n'était ni un joueur de foot, ni une star de la tv-réalité, c'est donc un miracle que les médias parlent de sa mort.
 
kob27g":1psu1x46 a dit:
Fabicha":1psu1x46 a dit:
Ouais, j'ai pas l'impression que la couverture médiatique est énorme, si ?
Il était simplement généticien, s'occupait seulement des sans-abris et en plus était pour la décroissance !! Ce n'était ni un joueur de foot, ni une star de la tv-réalité, c'est donc un miracle que les médias parlent de sa mort.

Oui, c'est triste quand même. Aux débuts du DAL, il avait été ultra-médiatisé. Mais c'était il y a déjà longtemps et pour la télé plus encore probablement.
 
"marrant" les quelques comms désobligeants son le fait d'anonymes...

L'huile de palme, c'est pas la panacée, mais a choisir, je préfère ça que du saindoux...
 
AL DENTE – Le patron de Barilla ne veut pas d’homosexuels dans ses publicités

L'"histoire d'amour à l'italienne" tant vantée par la marque de pâtes Barilla a du plomb dans l'aile depuis que le président du groupe a déclaré que son enseigne ne ferait "pas de publicité avec des homosexuels". "Nous avons un concept différent de la famille gay. Pour nous, la notion de famille sacrée reste une valeur fondamentale de la société."

Guido Barilla n'a manifestement pas craint de s'aliéner une partie de sa clientèle : "Si les gays ne sont pas d'accord, ils mangeront les pâtes d'une autre marque."

Diffusés par Radio 24, pendant l'émission La Zanzara, ces propos n'ont pas tardé à faire polémique. Les appels au boycott se sont multipliés sur Twitter

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/ ... ublicites/
 
Ce n'est pas réjouissant mais ça a le mérite d'être franc. Quelque part, je préfère ça au politiquement correct mielleux qui n'est souvent qu'un vernis pour vendre et se donner une bonne image.
 
ohhhhhhhh, je voulais tellement voir un couple gay manger des barilla dans une publicité :(

vivement qu'ils deviennent un cible marketing comme les autres, on vendra des spaguetis pour gays, des lessives pour gays, des shampoings pour gays !
 
Ça a quel gout des spaghettis pour gay?
 
aucune idée, mais on pourrait les vendre dans un emballage arc-en-ciel. Ou alors désigné par un grand couturier, car les gays CSP+ aiment la mode et la déco, et ont des gouts très pointus en matière de packaging.
Et on pourrait les vendre un peu plus cher, et reverser 1% des bénéfices à la lutte anti-homophobie. ^^
 
L'élevage pourrait réduire de 30 % ses émissions de gaz à effet de serre

Il représente à lui seul près d'un sixième des émissions mondiales de gaz à effet de serre. L'élevage, en rejetant 7,1 gigatonnes d'équivalent CO2 par an dans l'atmosphère, soit 15 % de toutes les émissions d'origine anthropique, essuie de nombreuses critiques, notamment d'institutions internationales et d'ONG qui appellent à réduire la consommation de viande.
Mais selon un nouveau rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) publié jeudi 26 septembre, il est possible de réduire de 30 % ces rejets, en utilisant plus largement les meilleures pratiques et technologies existantes.

PRODUCTION DE FOURRAGE ET DIGESTION DES BOVINS

L'étude, la plus exhaustive réalisée sur le sujet à ce jour selon l'agence, a analysé tous les stades du cycle de vie de l'élevage : la production et le transport d'aliments pour les animaux, l'utilisation de l'énergie à la ferme, les émissions dues à la digestion et à la fermentation du fumier, ainsi que le transport, la réfrigération et le conditionnement des produits animaux après l'abattage.
Principales sources d'émissions : la production et la transformation de fourrage (45 %) – notamment en raison des engrais utilisés dans les cultures –, la digestion du bétail (39 %) – les pets et rots des vaches émettent du méthane, un gaz 25 fois plus puissant que le CO2 – et la décomposition du fumier (10 %). Le reste est imputable à la transformation et au transport des produits animaux.
Par types d'élevages, les rejets proviennent très majoritairement des bovins (production de viande et lait), qui représentent 65 % des émissions. Ils sont suivis par les cochons (9 %), les volailles et la production d'œufs (8 %) et les bisons (8 %). Au total, ces bêtes émettent à 44 % du méthane (CH4), à 29 % du protoxyde d'azote (N2O) et à 27 % du dioxyde de carbone (CO2).

GESTION DU FUMIER

La FAO recommande aux éleveurs d'utiliser un foin qui se digère mieux, avec plus de fibres.
Comment réduire ces émissions ? Selon la FAO, une baisse de 18 à 30 % serait accessible si les éleveurs adoptaient des pratiques existantes moins émettrices mais actuellement peu répandues – utilisées par seulement 10 % des producteurs. Il s'agit de meilleures pratiques en matière d'alimentation des animaux (du foin qui se digère mieux, avec plus de fibres), de santé (la génétique pourrait être mise à contribution pour croiser des espèces afin qu'elles émettent moins de gaz) et d'élevage (gestion du pâturage). La FAO recommande également une meilleure gestion du fumier (temps de stockage moins long par exemple), ainsi que le développement de technologies actuellement peu utilisées (générateurs de biogaz grâce à la méthanisation, dispositifs d'économie d'énergie).
"Ces gains d'efficacité peuvent être obtenus en améliorant les pratiques existantes, et il n'est pas nécessaire pour autant de bouleverser les systèmes de production. Mais nous avons besoin de meilleures politiques, et surtout, d'une action commune", estime en Wang, sous-directeur général de la FAO en charge de l'agriculture et de la protection des consommateurs.
Avec la demande croissante pour les produits issus de l'industrie agro-alimentaire, notamment de la part des pays en voie de développement, poursuit-il, "il est impératif que ce secteur commence à travailler dès à présent sur la réduction de ces émissions de gaz, afin de contribuer à compenser les hausses d'émissions mondiales que comportera la croissance future de la production animale".

POTENTIEL D'AMÉLIORATION DANS LES PAYS DU SUD

Le plus gros potentiel de progrès réside dans la filière des ruminants d'Asie du Sud, d'Amérique latine et d'Afrique sub-saharienne.
Si des réductions importantes d'émissions peuvent être obtenues dans toutes les espèces, dans tous les systèmes et dans toutes les régions, selon le rapport de la FAO, le plus gros potentiel de progrès réside dans la filière des ruminants d'Asie du Sud, d'Amérique latine et d'Afrique sub-saharienne, dont la productivité pourrait être dans le même temps augmentée.
Dans les pays développés – où l'intensité des émissions est relativement faible, mais où le volume total élevé en raison d'une forte production –, même de légères diminutions de l'intensité pourraient produire des gains importants. C'est le cas, par exemple, des élevages laitiers d'Europe et d'Amérique du Nord.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... _3244.html
Pourquoi se creuser autant la tête alors qu'il suffit de devenir végé pour régler le problème ?
 
Dans Politis de la semaine dernière ou d'avant.
L'argumentation ne parle pas du droits des animaux ni des asso du domaine mobilisées, mais en dehors de cela elle est fouillée et l'article a le mérite de faire une véritable couverture s'opposant au projet.

Non à la ferme aux mille vaches !

Dans la baie de Somme, une association réunissant plusieurs villages se mobilise contre l’installation d’un gigantesque élevage bovin industriel et d’un méthaniseur surpuissant.
Dans les rues de Drucat, village résidentiel de 900 âmes à quelques kilomètres au nord d’Abbeville, en baie de Somme, les pancartes ont fleuri : « Ferme-usine des 1 000 vaches, NON ! » La mobilisation contre l’installation d’une gigantesque ferme d’élevage hors sol et d’un méthaniseur a essaimé bien au-delà du département. « C’est un projet hors norme, du jamais vu ! », assure Claude Dubois, vice-président de l’association Nos villages se soucient de leur environnement (Novissen). Il nous rejoint sur le chantier après avoir traversé les riches terres agricoles des communes de Drucat-le-Plessiel et de Buigny-Saint-Maclou au volant de sa petite voiture électrique.

« Depuis une semaine, ça y va ! Ils ont monté un hangar en peu de temps », raconte Henri Gauret, maire de Drucat, qui affirme n’avoir « rien signé du tout. On n’a pas le droit à la parole ! Le préfet a signé le permis de construire et l’autorisation d’exploitation de 500 vaches laitières, soit plus de 800 bêtes hors sol avec les génisses et les veaux. Et ce n’est qu’une étape ». À la suite d’actions menées par Novissen, les travaux ont cependant été retardés. Ils n’ont débuté qu’en avril dernier alors que « l’enquête publique est arrivée en plein mois d’août 2011, poursuit Henri Gauret. Cela nous a troublés, alors on a mis un courrier dans chaque boîte aux lettres pour avertir la population et on a demandé une prolongation de quinze jours, qu’on a obtenue. Il y a eu par la suite des réunions houleuses ». Malgré les recours de Novissen et de la mairie, une pétition de 37 000 signatures, des lettres aux élus et aux ministres de l’Écologie et de l’Agriculture, le chantier avance à grands pas. Sous un soleil de plomb, les ouvriers manœuvrent les pelles mécaniques du groupe Ramery, propriétaire des lieux, pour achever le gros œuvre sur près de 3 hectares. Une étable de plus de 200 mètres de long doit bientôt voir le jour, explique Claude Dubois, plan en main.

Michel Ramery, industriel du BTP dans le Nord-Pas-de-Calais (voir encadré), a en effet obtenu en février dernier l’autorisation d’exploiter sur le territoire de la commune un élevage bovin d’une capacité de 1 000 vaches laitières, auquel est associé un méthaniseur de 1,5 mégawatt. Soit « treize fois plus puissant que les méthaniseurs agricoles ordinaires. Il serait interdit en Allemagne, car trop proche des habitations ! », s’inquiète Novissen. Pour les quelques membres de l’association réunis à la mairie de Drucat, la « ferme des 1 000 vaches » présente « un risque majeur au niveau environnemental, sanitaire et social ». Pourtant, « Michel Ramery s’appuie sur un décret de 2011 qui vise à favoriser le développement de la production et de la commercialisation de biogaz dans les exploitations agricoles », souligne Marc Dupont, secrétaire de Novissen. Sollicité par l’association, Philippe Mauguin, directeur de cabinet de Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, reconnaît que « ce projet demeure très éloigné du modèle d’exploitation familiale traditionnellement développé sur le territoire qu’[il] entend défendre prioritairement ». Mais il estime qu’il « s’appuie sur des méthodes et technologies innovantes, dont les résultats, s’ils sont vérifiés, pourraient être exploités dans le cadre de projets collectifs ». « Nous sommes en quelque sorte des cobayes. La ferme est à moins de 600 mètres des premières maisons du Plessiel ! », s’exclame Claude Dubois, pilote, qui a réalisé des photos aériennes du site. « Et la ferme est sous les vents dominants », ajoute Henri Gauret, retraité de Météo France. « La loi française n’a pas prévu le cas de fermes de plus de 1 000 vaches hors sol », s’inquiète Michel Kfoury, médecin urgentiste, chef du pôle « anesthésie-réanimation » de l’hôpital d’Abbeville et président de Novissen. Ce formateur aux risques de la grippe aviaire, qui a travaillé avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), affirme que celle-ci « recommande d’éviter les concentrations d’animaux, source de maladies infectieuses avec des risques de transmission à l’homme. Un élevage en masse, doit être loin des habitations pour éviter la proximité entre l’animal et l’humain ».

Dans son exploitation d’Hallencourt, au sud d’Abbeville, le producteur céréalier Sylvain Vaquez, un des rares agriculteurs à s’exprimer sur le projet, est très critique : « La prévention des maladies, c’est l’enfer dans ces mégastructures ! » En ce qui concerne les résidus du méthaniseur, il est catégorique : « Jamais je ne prendrai l’épandage de cette ferme. On sait que, dans les déjections, on a toujours des reliquats d’antibiotiques. Je n’ai pas envie d’épandre ces reliquats sur mes parcelles. » Marc Dupont sort une carte du département : « Il faut savoir que la zone d’épandage prévue concerne 24 communes, et à terme 50. Cela représente 40 000 tonnes de résidus à épandre sur une courte période, sans parler du transport ». Or, précise Michel Kfoury, « dans le projet, seulement 50 % des déchets sont agricoles. Le reste, ce sont des déchets alimentaires et industriels. Le promoteur annonce des “risques acceptables de cancer” pour la population locale ». Pour Vincent Chombart, producteur et porte-parole de la Confédération paysanne dans la Somme, les petits producteurs de lait sont en outre menacés de disparition : « L’industriel est en mesure de vendre le lait à un prix inférieur à celui du marché car son projet s’équilibre avec la vente de l’électricité produite par le méthaniseur ainsi que la vente des résidus de déchets. » Où est l’intérêt général ?, lance Novissen. L’association a déposé une requête en excès de pouvoir contre le permis de construire, et déployé le 6 septembre une banderole à l’entrée du chemin qui mène au chantier. Avant bien d’autres actions.

L'encadré :
Comment Ramery fait son beurre

Le propriétaire du site de la ferme usine des Mille vaches, Michel Ramery, est la 349e fortune de France, et le chiffre d’affaires de son groupe (540 millions d’euros) en fait la dixième fortune du BTP. « Si Michel Ramery a fait son ascension dans le monde du BTP, c’est en s’inspirant du milieu agricole, dont il est issu », explique la biographie mise en ligne sur le site du groupe. À partir de 2006, Michel Ramery se découvre un vif intérêt pour le secteur de l’environnement et du tri des déchets. Le groupe se fait connaître pour ses nombreux achats d’entreprises agricoles du nord de la France, tout en poursuivant des activités de promotion immobilière à Paris. Cette double casquette consolide l’implantation de Michel Ramery en Picardie, en Haute-Normandie et dans le Nord-Pas-de-Calais. Le groupe a en effet remporté plus de 700 marchés publics depuis 2007 dans ces régions, contre 74 pour Bouygues, pourtant numéro un mondial du BTP. L’initiateur de la ferme des Mille vaches est devenu un interlocuteur incontournable pour les collectivités locales. Son nom apparaît aussi dans plusieurs enquêtes judiciaires, notamment sur les conditions du prêt concédé au président du club de football le RC Lens. Dans une autre enquête, le nom du groupe est cité dans le cadre du présumé financement occulte du Parti socialiste dans le Nord-Pas-de-Calais.
 
Happening aujourd'hui et demain par L214 devant de grands restos parisiens pour sensibiliser au sujet de la production du foie gras.

Dates et lieux des happenings ciblant les grands restaurants :

Jeudi 7 novembre :
de 12h à 12h30 devant le Georges V, 31 Avenue Georges V
de 13h à 13h30 devant le Fouquet’s, 99 Avenue des Champs-Élysées
de 14h à 14h30 devant le Royal Monceau, 37 Avenue Hoche

Vendredi 8 novembre :
de 12h à 12h30 devant Le Meurice, 228 Rue de Rivoli
de 13h à 13h30 devant l’Altelier de Joël Robuchon, 5 Rue Montalembert
de 14h30 à 15h devant le Jules Verne au pied de la Tour Eiffel

http://www.l214.com/communications/20131106-enquete-foie-gras-palaces
 
Le une de Minute : "Maligne comme un singe, Taubira retrouve la banane".

Pays de merde... :mmm:
 
J'arrive toujours pas à comprendre pourquoi tout le monde prend ça pour des propos racistes.

A la base, ce n'est même pas une insulte c'est un fait : l'humain est un singe.

Dire à un singe que c'est un singe, ça me choque pas tellement.

Alors dire que c'est raciste.....

Racisme qui ne peut pas exister puisqu'il n'y a qu'une seule race d'humain.

Donc en fait, cette phrase et la cohorte de réactions qui la suivirent n'ont aucun intérêt.
 
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