Picatau
Fait crier les carottes
Je me posais cette question dernièrement : comment parvenir à articuler l'individuel et le collectif ? L'être humain est un être social mais dans nombre de sociétés, particulièrement en Occident, l'individu a fini par être reconnu comme ce que je désignerais "élément conscient essentiel et indivisible" (définition toute personnelle). Néanmoins, chaque individu a besoin des autres pour subvenir à ses besoins, pour exister.
Le libéralisme constitue à mon sens une dérive de l'individualisme mais on trouve d'autres formes d'individualisme dans l'anarchisme par exemple. Le communisme, lui, prône un collectivisme parfois maximaliste et exacerbe le groupe, si bien qu'on considère qu'il est difficile de se dire anarcho-communiste, les deux concepts étant plutôt antagonistes, bien qu'on puisse se dire anarcho-syndicaliste, le groupe étant dans ce cas vu uniquement comme la réunion, momentanée ou non, d'individus ayant un objectif commun, mais n'ayant pas de réalité propre, pas de singularité, ne se conjuguant en somme qu'au pluriel.
Voilà, je voulais recueillir vos réflexions sur ce sujet. Prônez-vous un individualisme total et indépassable ? Pensez-vous que l'individu puisse exister au sein d'un groupe ? Un groupe est-il une entité isolable, analysable, qu'il soit homogène ou hétérogène ? Le groupe nie-t-il nécessairement l'individu ? Quid de la sociologie (des groupes) ?
Le libéralisme constitue à mon sens une dérive de l'individualisme mais on trouve d'autres formes d'individualisme dans l'anarchisme par exemple. Le communisme, lui, prône un collectivisme parfois maximaliste et exacerbe le groupe, si bien qu'on considère qu'il est difficile de se dire anarcho-communiste, les deux concepts étant plutôt antagonistes, bien qu'on puisse se dire anarcho-syndicaliste, le groupe étant dans ce cas vu uniquement comme la réunion, momentanée ou non, d'individus ayant un objectif commun, mais n'ayant pas de réalité propre, pas de singularité, ne se conjuguant en somme qu'au pluriel.
Voilà, je voulais recueillir vos réflexions sur ce sujet. Prônez-vous un individualisme total et indépassable ? Pensez-vous que l'individu puisse exister au sein d'un groupe ? Un groupe est-il une entité isolable, analysable, qu'il soit homogène ou hétérogène ? Le groupe nie-t-il nécessairement l'individu ? Quid de la sociologie (des groupes) ?