Comment ça va (version sport) ?

Je ne savais pas qu'il existait des elliptiques avec une selle
 
Quand mes pbs n'étaient pas encore trop lourds, on m'avait conseillé le vélo, mais jamais "en danseuse". D'où l'intérêt pour moi d'un elliptique avec selle

vaclo-elliptique-marcy-xc50-2.jpg
 
Tu ne préfères pas t'inscrire en salle ?
En ce qui me concerne, j'ai payé 300 E pour 1 an + 2 mois gratuit.
 
Etant donné mon état je suis pas super chaud.
ll y a une quinzaine d'années je faisais des exercices de muscu dans ce genre de salle. Je me sentais pas super à l'aise et j'avais toujours l'impression de déranger un-e pro qui attendait en squattant une machine. Ca a sans doute changé depuis, l'ambiance a l'air plus sympa. Mais pour le moment je préfère faire mon truc chez moi.
 
Je connaissais pas avec selle non plus, je suppose que ca permet une polyvalence avec le velo, mais je sais pas du tout si c'est bien, un expert est demandé svp :p
 
Le coach qui me demande si j'ai mangé du lion et si je me suis mis à la savate boxe française récemment (c'est ça quand on s'amuse avec ses pieds à jouer à Hwoarang dans tekken ^^).

- Haha :) Heu non j'en ai juste fait deux ans en fac et j'ai détesté ça :><:

Tu carbures toujours autant aérobiose ?
 
aérobiose":5qbvzade a dit:
Me manquerait bien une petite aérobiette mais bon, wait & see ;)
Il faut en trouver une qui court vite aussi ! <br /:><:br /> — Le 16 Mai 2017, 07:08, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br />
Faut-il (vraiment) courir lentement pour perdre du poids ?

http://runners.fr/faut-vraiment-courir- ... dre-poids/

A haute intensité, on brûle peu de graisses
Lorsque l’on souhaite perdre un peu de poids, l’équation est assez simple : il faut déséquilibrer la balance énergétique en faveur des dépenses plutôt que des apports. Et ce durant une période suffisamment prolongée.
Lorsqu’il s’agit d’entraînement running, on pense souvent à tort que la meilleure manière d’accélérer le processus de combustion des graisses est d’augmenter la durée des séances et de privilégier les efforts de basse intensité.
En courant lentement, disons à une allure qui permet d’entretenir une conversation sans difficulté ni essoufflement, les muscles mobilisent en effet davantage leurs réserves de lipides pour renouveler leur énergie. Lorsque l’effort est intense, ce sont à l’inverse davantage les sucres qui sont mis à contribution. Partant de ce constat, il semble donc logique de privilégier les footings aux séances fractionnées si l’objectif est de perdre quelques kilos.

La dépense énergétique se fait durant l’effort mais également durant la phase de récupération…
Raisonner en ne tenant compte que des sources d’énergie brûlée durant l’effort, c’est toutefois omettre une pièce importante du puzzle. L’entraînement running, il ne faut pas le perdre de vue, impacte en effet la dépense énergétique de l’organisme durant les heures qui succèdent chaque effort.
L’organisme dépense certes des calories durant l’effort mais également après. Deux raisons principales à cela : il se doit de réparer les fibres musculaires abîmées par l’entraînement et de reconstituer les stocks énergétiques.
La dépense énergétique indiquée par le tapis roulant de la salle de sport ou le cardio-fréquencemètre à la fin d’une séance sous-estime ainsi largement le surcoût énergétique total de l’entraînement. Des études scientifiques ont ainsi montré que certaines séances d’entraînement augmentent la quantité d’énergie que dépense le corps au repos, ce que l’on appelle le métabolisme de base, jusqu’à parfois 48 heures après la fin d’une séance d’entraînement !

Les séances intenses augmentent davantage la dépense énergique lors de la phase de récupération
Il est intéressant de noter que les séances fractionnées présentent deux avantages (de poids) par rapport aux séances en endurance. Tout d’abord, elles augmentent la dépense énergétique durant la période post-exercice. On brûle davantage d’énergie au repos après une séance VMA qu’après un footing. Et ce même si la durée du footing compense l’intensité de la séance fractionnée en termes de calories dépensées. Les séances intenses sont en effet bien plus stressantes pour l’organisme, ce qui oblige à dépenser davantage d’énergie pour récupérer.
Le second point-clé tient au fait que si les séances fractionnées favorisent la dégradation des sucres durant l’effort, c’est l’inverse durant la récupération. Etant donné que les réserves de sucres sont fortement sollicitées lorsque l’on court à une allure soutenue, l’organisme privilégie de les épargner durant la récupération afin de constituer ses stocks. Pour maintenir son bon fonctionnement, le métabolisme de base puise alors davantage dans les graisses. Autrement dit, si les séances tranquilles permettent de davantage brûler les graisses durant l’effort, les séances intenses sont au moins tout aussi intéressantes pour perdre du poids car elles engendrent une mobilisation accrue des réserves de graisses durant de longues heures après la séance d’entraînement.

On retiendra que la meilleure stratégie pour perdre du poids reste finalement de se dépenser davantage et de courir selon ses envies, sans s’enfermer dans un programme d’entraînement ne privilégiant que les séances à faible intensité.
 
mais ça ne concerne que les coureurs très réguliers qui font minimum 4-5 séances hebdo dont 2 à VMA.
Les gens à qui je répondais avec le refrain habituel donné en début d'article, ne courent pas à VMA, ils ne savent pas ce que c'est, ne connaissent pas leur FCM et courent rarement parce qu'ils aiment ça (et donc une pratique régulière) mais parce qu'ils veulent perdre du poids. Ils se mettent ainsi souvent dans une filière énergétique intermédiaire hyper batarde, entre 80 et 88%FCM: essoufflement, forte sudation qui leur fait croire qu'ils se dépensent. Alors que c'est juste la fourchette qui n'est pas décrite dans l'article, c'est celle d'un effort soutenu et soutenable longtemps (filière marathon). Côté perte de poids, santé cardio vasculaire, travail de la vitesse ou de l'endurance c'est la moins intéressante (on ne la bosse qu'en prépa marathon).
Par ailleurs, c'est pas trop avec un ou deux footing de 30 à 45mn du genre qu'on casse de la fibre mais bien avec des séances plus dures. Et le plus dur étant ici propre à chacun et pas élitiste.
 
Une petite interview de Scott Jurek en Vostfr

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=t3EK9bsZWQI[/youtube]
A partir de 19'50.
 
Bon bah toujours pas repris le trail moi, ostéo vendredi, repos obligé 2j, hier j'etais en mode larve, grosse semaine qui arrive donc je pourrait pas courir le weekend prochain non plus, je crois qu'on verra l'an prochain, je vois deja la belle saison me passer sous le nez, a tous les coups je pourrais reprendre qu'a l'hiver sous la pluie lol
Sur ce je m'en vais manger des cochonneries devant la tv en mode larvesque ahah ^^
 
Nysaah":9rn7uapl a dit:
Sur ce je m'en vais manger des cochonneries devant la tv en mode larvesque ahah ^^
Regarde au moins du sport à la tv pour te donner bonne conscience ;)
 
La conscience va bien, pis le sport a la tv vraiment ca m'interesse pas du tout, meme regarder du sport tout court en fait, jsuis pas une vraie moi lol
J'ai fais du gateau de semoule en fait ca va niveau cochonnerie finalement :p et demain boulot 15km de marche alors je fais le plein (oui la c'est pour la conscience hihi)
 
L’« ultraterrestre » Kilian Jornet gravit l’Everest, en vingt-six heures et sans oxygène

Le programme de la journée était chargé. Plus de 3 800 mètres de dénivelé positif, dont 30 kilomètres de moraines, et 2 300 mètres d’ascension sur une pente à plus de 50 degrés. En vingt-six heures, l’Espagnol Kilian Jornet a conquis, dans la nuit du 21 au 22 mai, les 8 848 mètres de l’Everest, sans oxygène et sans corde fixe.

Le champion d’ultratrail a choisi la voie nord, par le Tibet, pour grimper le mythique sommet. Cette ascension, considérée comme plus difficile que par la voie népalaise, prend en moyenne entre trois et cinq jours pour un alpiniste acclimaté.

Kilian Jornet est parti à 22 heures du monastère de Rombuk (5 100 m). Dans un communiqué publié sur son site Internet, le Catalan a donné une brève analyse de son ascension :

« Jusqu’à 7 700 m d’altitude, je me sentais bien, et tout s’est passé comme prévu. Ensuite, j’ai commencé à avoir des problèmes d’estomac, certainement dus à un virus. A partir de là, j’ai dû progresser plus lentement, et m’arrêter très souvent pour récupérer. Malgré tout, je suis parvenu au sommet à minuit [le lendemain]. »

Cette douleur l’a toutefois empêché de remplir son programme initial, puisque l’Espagnol a choisi de ne pas redescendre jusqu’au monastère de Rombuk et de récupérer des forces au camp de base avancé, à 6 500 m, où il est arrivé le 22 mai, à 12 h 15.

Avec cette ascension exceptionnelle, le Catalan, surnommé « l’ultraterrestre », boucle ainsi son projet Summits of my life, qui lui a permis d’affoler les chronomètres sur les points culminants de chaque continent (Cervin, MacKinley, Aconcagua, Kilimandjaro, etc.). En 2014, son expérience extrême lui avait valu le titre d’« aventurier de l’année » décerné par le magazine américain National Geographic.

En France, l’ambassadeur de l’alpitrail avait même réussi à grimper deux fois en une journée le mont Blanc — sachant que l’ascension moyenne nécessite deux journées entières. Douze heures d’effort et près de 6 700 m de dénivelé positif. « Un bon entraînement en altitude », avait conclu le sportif, qui réside désormais en Norvège.

L’entraînement, c’est la clé de Kilian Jornet. Ces dernières semaines, il avait grimpé le Cho Oyu (8 201 m). Comme à son habitude, le sportif avait fait le choix du dénuement extrême pour ce défi physique exceptionnel :

« Je veux pouvoir me déplacer plus vite. En utilisant du matériel léger, nous pouvons avancer plus vite, même si nous savons que cela implique un risque plus grand. Nous sommes conscients de ce risque et nous l’assumons, car c’est de cette façon que nous aimons aller en montagne. »
La performance est extra-ordinaire, par contre on peut déplorer les risques pris pour en arriver là...
 
Question pour tous les grands sportifs (surtout pour ceux alignant les kms en course à pied) : comment se prémunir des tendinites ?

Je galère depuis assez longtemps avec ça. L'année dernière, j'en ai trainé une pendant plusieurs semaines au genou droit.
Cette année, j'ai débuté avec une au pied gauche. A peine partie, qu'une autre est apparue au genou gauche :'(
Bref, je limite la course...

Niveau chaussure, je suis maintenant plutôt bien équipé, j'ai des semelles faites par un podologue.

Niveau alimentation : un régime végétarien (quasi végétalien) aide bien à limiter l'alimentation acide qui peut être un facteur de tendinite. Je bois 3-4 cafés par semaine, presque pas d'alcool (2 bières semaine en moyenne). J'ai tendance à boire pas mal de thé (2/jours). Je pense m'hydrater correctement.

Je m'étire et me masse quotidiennement avec un rouleau de massage trigger point.

En cas de douleur => niflugel + HE de Gaulthérie.

Avez vous une recette miracle ?
 
Les remèdes et palliatifs ça va un temps. Il te faut trouver la source du pb. Les pompes c'est bien mais la bonne foulée c'est mieux, le souci peut être là mais aussi ailleurs. A voir avec un médecin du sport, un coach cap digne de ce nom, etc.
Pour les remèdes/solutions préventives:
Vire les tomates et sauce tomate (ketchup y compris); massages transversaux profonds (regarde sur le net) avec un mélange d'huile essentielle de lavande et d'arnica ou amande; les étirements et les semelles mouais, tous les kinés et coach disent ça mais pour moi ça n'a jamais rien changé. La vraie bonne idée qui m'a sauvé c'est d'acheter un electro-stimulateur d'occaz (un compex à 100 balles pour moi) et de me faire une demie douzaine de séances par jour en TENS (douleur) et recapilarisation (stimulation des vaisseaux sanguins pour reconstruire les tissus); quand tu vas chez le kiné il te fais une série à raison de 2 fois par semaine, vois la différence avec l'intérêt de s'équiper.
Ma dernière tendinite je l'ai soigné avec tout ça et elle s'est finalement solutionnée en 1H22'45 après un semi marathon, rien compris, j'aurai du finir en boitant mais au contraire ça l'a fait passer. Depuis c'est terminé, ça fait 3 ans que je n'ai plus un soupçon de symptome. Le mal par le mal
 
Ca je suis d'accord avec le compex, dans le meme genre on a un Cefar (qui a été racheté par la marque compex depuis je crois) et ca aide enormement, que ca soit pour la recup ou pour une douleur, j'en fais après chaque seance (enfin quand je reprendrait) et aussi la apres le boulot du coup pour detendre (enfin quand j'y pense), couplé avec l'arnica et les HE et la bouillotte l'hiver ou du froid selon la douleur, le combo magique ^^
 
Je m’immisce, mais j'aimerais comprendre.
Comment la stimulation des muscles guérit une tendinite alors que la tendinite est généralement due à un mouvement trop souvent répété ?
Normalement, après un effort, on s'étire, non ? On étire donc ses muscles. Donc quel est l'intérêt de les contracter ? Comment ça fonctionne ?
 
Merci pour les conseils.
Niveau alimentation, je vais m'inspirer aussi de ce site : http://www.medecinedusportconseils.com/ ... nutrition/
Je pioche souvent des infos sur ce site, le gars a l'air sérieux et compétant.
Je suis un gros consommateur de tomate (dont ketchup), il va falloir que je limite ça...

Je vais accentuer la partie boisson même si j'ai déjà l'impression de beaucoup boire.

Je vais aussi tenter les MTP.

Tu dois avoir un abonnement chez le kiné ;)
 
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