Comment trouver une copine vege?faut t'il changer de ville?

kob27g":3khkcl8i a dit:
Fushichô":3khkcl8i a dit:
V3nom":3khkcl8i a dit:
Mon discours c'est : "Si ça arrive c'est super et faut en profiter à mort. Si ça n'arrive pas, c'est pas grave, il y a tout plein de choses à faire qui sont plus faciles voire ne sont possibles qu'en étant célib, et ça ne fait pas pour autant de vous une personne à qui il "manque" un truc, sauf pour les bons soldats de la culture occidentale."

Tjs très facile à dire pour ceux qui sont heureux en couple et/ou ont ou ont eu une vie sentimentale épanouie...
L'humain n'est-il pas un éternel insatisfait ? La personne en couple envie la "liberté" du célibataire, le célibataire envie la vie sentimentale de la personne en couple.
Je n'envie pas tellement les célibataires car si je me retrouvais célibataire ça bouleverserait mon quotidien, ça créerait un vide (pas éternellement certes mais sur le coup oui).
Et puis il y a longtemps je passais longtemps célibataire (de façon plus ou moins épanouie) maintenant ce n'est plus le cas et les fois les plus récentes à peine je commence à m'habituer et pouf je me suis retrouvée en couple.
 
Jezebel":1kjmn036 a dit:
V3nom":1kjmn036 a dit:
sauf pour les bons soldats de la culture occidentale."

Qu'est-ce que la culture occidentale a à voir là dedans? IL y a bien d'autres cultures qui ont des coutumes autrement plus strictes que les notre concernant le fait d'être en couple.

Sinon, d'accord avec Fushichô.

Excuse-moi de parler surtout de ce que je connais (la culture occidentale) et de considérer que c'est très culturel que d'être considéré comme manquant de quelque-chose en étant célibataire. Ok c'est pas propre à la culture occidentale, mais c'est quand même assez violemment ancré dedans, au point d'être une belle arme sexiste notamment.

Et sinon derechef : j'avais déjà ce discours quand je venais de me faire douloureusement jeter et que j'étais dans des affres que surement personne ne m'enviait. Et à part récemment, ma vie sentimentale n'était vraiment pas caractérisée par un "épanouissement" quelconque, bien au contraire.

Je sais que tu ne veux pas l'entendre et n'en a pas grand chose à foutre jezebel, mais j'ai pas mal souffert du patriarcat (entre autre), et au bout d'un temps bien trop long, c'était une question de survie que de m'émanciper de ces injonctions sociales du couple. ça n'a pas fait de miracles (en même temps quand t'es tout seul au fond tu trou...), mais ça m'a aidé à relever la tête et à m'ouvrir d'autres horizons, perspectives et sources d'espoir.

Et c'était même pire pour ma sexualité, je ne suis d'ailleurs pas encore complètement sortit de mon propre dégout ni de problèmes divers et variés vis à vis de mon corps (j'en ai refais la douloureuse expérience il y a 2 semaines), donc bon, me parler de vie sentimentale épanouie et parsemée de bonheur, c'est limite hors de propos dans on cas.
 
@ V3nom

Je ne sais vraiment pas comment tu te débrouilles pour extrapoler tes paragraphes précédents et me faire dire/penser ce que je n'ai ni dit, ni pensé.

Concernant le couple comme arme du sexisme, quel rapport avec la culture occidentale ou non? J'ajouterais que j'étais au courant, par ailleurs.
 
Pour la culture occidentale, ça me semble clair pour moi qu'elle s'est nourrit de ce genre de représentation, donc elle l'a très bien intégrée, donc s'est devenu une partie intégrante de cette culture, voilà pourquoi je parle de la culture occidentale. Le couple comme fondation sociale n'est pas propre à elle, mais elle en use et abuse et se définit notamment par ça. Après je fais peut-être fausse route.

Quant à ce que j'ai dis à propos du patriarcat, tu dis "d'accord avec fushi" qui me répondait directement quant au fait que je suis actuellement non seulement plus célibataire et plutôt heureux, donc j'en ai fatalement déduis que tu partageais son sous entendu, et c'est également lié à de vieilles discussions sur le sujet dans lesquelles tu n'avait vraiment pas l'air d'accord pour entendre des choses de l'ordre de ce que je viens de narrer. ça a peut-être changé depuis c'est vrai, je m'en excuse si c'est le cas.
 
V3nom":2qlvct9b a dit:
Jezebel":2qlvct9b a dit:
V3nom":2qlvct9b a dit:
sauf pour les bons soldats de la culture occidentale."

Qu'est-ce que la culture occidentale a à voir là dedans? IL y a bien d'autres cultures qui ont des coutumes autrement plus strictes que les notre concernant le fait d'être en couple.

Sinon, d'accord avec Fushichô.

Excuse-moi de parler surtout de ce que je connais (la culture occidentale) et de considérer que c'est très culturel que d'être considéré comme manquant de quelque-chose en étant célibataire. Ok c'est pas propre à la culture occidentale, mais c'est quand même assez violemment ancré dedans, au point d'être une belle arme sexiste notamment.

Et sinon derechef : j'avais déjà ce discours quand je venais de me faire douloureusement jeter et que j'étais dans des affres que surement personne ne m'enviait. Et à part récemment, ma vie sentimentale n'était vraiment pas caractérisée par un "épanouissement" quelconque, bien au contraire.

Je sais que tu ne veux pas l'entendre et n'en a pas grand chose à foutre jezebel, mais j'ai pas mal souffert du patriarcat (entre autre), et au bout d'un temps bien trop long, c'était une question de survie que de m'émanciper de ces injonctions sociales du couple. ça n'a pas fait de miracles (en même temps quand t'es tout seul au fond tu trou...), mais ça m'a aidé à relever la tête et à m'ouvrir d'autres horizons, perspectives et sources d'espoir.

Et c'était même pire pour ma sexualité, je ne suis d'ailleurs pas encore complètement sortit de mon propre dégout ni de problèmes divers et variés vis à vis de mon corps (j'en ai refais la douloureuse expérience il y a 2 semaines), donc bon, me parler de vie sentimentale épanouie et parsemée de bonheur, c'est limite hors de propos dans on cas.

Je relève un point que je ne comprends pas (sûrement parce que je ne connais pas bien le sujet) c'est quoi pour un homme être victime du patriarcat ?
 
En ce qui concerne le couple dans la culture occidentale, celle-ci a ceci de particulier qu'elle fait l'apologie de l'amour. Dans d'autres cultures on a conscience de se marier par convenance, pour entrer dans la norme. Le livre "L'invention de la culture hétérosexuelle" de Louis Georges Tin est très intéressant à ce sujet. En fait ça parle surtout de l'invention de l'amour dans le couple (qui ne pouvait être qu'hétéro). L'amour hétérosexuel était à une époque moins important que l'homosocialité entre hommes. Voir cet article sur la chanson de Roland dont il parle également dans le livre.
 
Mandy_paris":3vcex2m2 a dit:
Je relève un point que je ne comprends pas (sûrement parce que je ne connais pas bien le sujet) c'est quoi pour un homme être victime du patriarcat ?
Je vais répondre intuitivement (si je me trompe, on me reprendra) :

Déjà, c'est être victime des mythes du patriarcat. Comme tout le monde donc. Donc croire aux dispositions naturelles des hommes et des femmes (là où elles sont socialement construites), et croire aux mythes sur le viol, et être capable de sortir spontanément tous les points du bingo féministe, sans hésiter. Donc c'est une "victimisation" un peu abstraite, puisque ça n'implique pas forcément de se rendre la vie plus difficile, mais j'appelle quand même ça "être victime", personnellement, parce que je ne vois pas ce qu'il y a de particulièrement glorieux et positif à être broyé par une machine sociale qui nous rend foncièrement con.

Et ensuite, plus concrètement, pour un homme, être victime du patriarcat, c'est être victime des normes de couple et d'hétérosexualisation. Les célibataires sont victimes de la norme de couple, et les homos/bi sont victimes de la norme hétéro. (Deux normes qui sont quand même des outils inventés par le patriarcat, puisque la norme de couple et la norme hétéro servent la domination masculine sur les femmes.)

Et enfin, être victime du patriarcat, en tant qu'homme, c'est subir les diverses injonctions à se comporter comme un dominant ("viril", codes esthétiques masculins, insensible, séducteur, carriériste, prédateur, viandard, fort, sûr de soi, expansif, chef de famille respecté, etc.) et se retrouver à en souffrir (puni/humilié/lésé financièrement, socialement ou autre) si on ne se sent pas en accord avec ces injonctions par tempérament, si on est régulièrement ou ponctuellement incapable de les suivre, ou si on est politiquement/volontairement opposé à ces injonctions. (En règle générale, ce que subit toute minorité qui remet en cause la norme.)
 
Mandy_paris":2cg4m295 a dit:
Je relève un point que je ne comprends pas (sûrement parce que je ne connais pas bien le sujet) c'est quoi pour un homme être victime du patriarcat ?
Quand mon mari se prend des réflexions par ses "copains" comme quoi il vit à mes crochets, il est victime de l'image patriarcale "l'homme travaille et finance le fonctionnement du foyer, la femme fait les gosses et le ménage".

Personne n'a jamais eu l'idée de dire que ma mère vivait aux crochets de mon père parce qu'elle avait renoncé à travailler à la naissance de ma sœur aînée ; par contre je ne compte plus le nombre de gens qui ont sous-entendu que mon mari avait bien de la chance d'avoir trouvé une bonne poire comme moi.
Heureusement il a appris à s'en moquer, mais les premières fois ça pique un peu.
 
Moineau":1ucabgw4 a dit:
Mandy_paris":1ucabgw4 a dit:
Je relève un point que je ne comprends pas (sûrement parce que je ne connais pas bien le sujet) c'est quoi pour un homme être victime du patriarcat ?
Quand mon mari se prend des réflexions par ses "copains" comme quoi il vit à mes crochets, il est victime de l'image patriarcale "l'homme travaille et finance le fonctionnement du foyer, la femme fait les gosses et le ménage".

Personne n'a jamais eu l'idée de dire que ma mère vivait aux crochets de mon père parce qu'elle avait renoncé à travailler à la naissance de ma sœur aînée ; par contre je ne compte plus le nombre de gens qui ont sous-entendu que mon mari avait bien de la chance d'avoir trouvé une bonne poire comme moi.
Heureusement il a appris à s'en moquer, mais les premières fois ça pique un peu.
Ok par contre à une certaine époque ça passait pour une femme mais aujourd'hui je pense que beaucoup diraient la même chose comme quoi elle vit à ses crochets.
La norme est devenue d'avoir 2 salaires dans un foyer.
Les gens devraient cesser de juger les autres et les laisser vivre comme ils l'entendent.


Pers0nne":1ucabgw4 a dit:
Mandy_paris":1ucabgw4 a dit:
Je relève un point que je ne comprends pas (sûrement parce que je ne connais pas bien le sujet) c'est quoi pour un homme être victime du patriarcat ?
Je vais répondre intuitivement (si je me trompe, on me reprendra) :

Déjà, c'est être victime des mythes du patriarcat. Comme tout le monde donc. Donc croire aux dispositions naturelles des hommes et des femmes (là où elles sont socialement construites), et croire aux mythes sur le viol, et être capable de sortir spontanément tous les points du bingo féministe, sans hésiter. Donc c'est une "victimisation" un peu abstraite, puisque ça n'implique pas forcément de se rendre la vie plus difficile, mais j'appelle quand même ça "être victime", personnellement, parce que je ne vois pas ce qu'il y a de particulièrement glorieux et positif à être broyé par une machine sociale qui nous rend foncièrement con.

Et ensuite, plus concrètement, pour un homme, être victime du patriarcat, c'est être victime des normes de couple et d'hétérosexualisation. Les célibataires sont victimes de la norme de couple, et les homos/bi sont victimes de la norme hétéro. (Deux normes qui sont quand même des outils inventés par le patriarcat, puisque la norme de couple et la norme hétéro servent la domination masculine sur les femmes.)

Et enfin, être victime du patriarcat, en tant qu'homme, c'est subir les diverses injonctions à se comporter comme un dominant ("viril", codes esthétiques masculins, insensible, séducteur, carriériste, prédateur, viandard, fort, sûr de soi, expansif, chef de famille respecté, etc.) et se retrouver à en souffrir (puni/humilié/lésé financièrement, socialement ou autre) si on ne se sent pas en accord avec ces injonctions par tempérament, si on est régulièrement ou ponctuellement incapable de les suivre, ou si on est politiquement/volontairement opposé à ces injonctions. (En règle générale, ce que subit toute minorité qui remet en cause la norme.)

D'accord.
Enfin en tant que femme je ne suis pas fan de certains traits décrit (insensible, séducteur, prédateur, viandard) et d'autres ça peut être des qualités (ou pas ça dépend), mais maintenant avec cette liste je comprends mieux les conseils donnés par les sites de séduction (pick up artist comme kamal & co) car au final l'idée c'est de correspondre à cette liste.
L'intérêt recherché est de correspondre à ce que les hommes attendent voir ce que la société attend et pas forcément ce que les femmes attendent.
 
Je ne suis pas une femme au foyer donc je ne sais pas si elles se prennent des remarques au quotidien mais à mon avis ça passe mieux si il y a des enfants à s'occuper. Remarque, peut-être que c'est vrai aussi pour les hommes au foyer.

Pour les hommes victimes du patriarcat je dirais aussi que la violence peut déborder sur eux, même si elle est très souvent dirigée contre les femmes et les enfants. Quand des hommes sont victimes de violences, y compris sexuelles, les agresseurs sont eux aussi presque toujours des hommes.
 
Bonjour à tous!

Sans vouloir faire dévier le sujet, une femme chef d'entreprise et autant mal perçue qu'un homme au foyer.. Surtout si en plus elle veut des enfants...
Comme si une entreprise donnait une paire de testicules à finalement un garçon manqué...

Conclusion, si il y a écart par rapport aux codes sociaux établis = sanction/ reproche/humiliation par le groupe.
 
Pers0nne -et les autres- ont bien résumé, ça et des image de paternités bien désastreuses, dont la plus proche de moi, et j'ajouterais juste que j'ai subit jusqu'à des agressions physiques parce que j'étais "bizarre"... En gros on a cherché à me faire entrer la norme à coups de pieds dans le dos. En pleine salle de classe ça n'aide pas à aimer les hommes... (et c'est un homme hétéro -enfin à ce qu'il semble- qui dit ça)
 
Ca arrive à des hommes comme des femmes ce genre de comportements.

Adolescente j'avais des problèmes relationnels avec les garçons pour d'autres raisons, des raisons à en croire les critiques féministes c'est lié à ma condition de femme. Au final certains ne supportent pas qu'ont leur disent "non" et donc se montre agressif ou alors tentent l'agression sexuelle.
Et ce que je trouve déplorable c'est que beaucoup leur cherchent des excuses quand j'ai raconté ça (des proches de sexe féminin sur qui je comptais): "les pauvres ce sont des hommes et adolescents par dessus le marché ils ont les hormonones en ébullition".
Maintenant ce genre de choses arrivent moins, il y a juste les harceleurs de rue qui me suivent par exemple ou m'insultent, mais j'ai de la chance ça m'arrive toujours moins qu'à d'autres.

Je crois que c'est surtout pour ça que je disais que les femmes sont méfiantes à l'auteur du topic.

Enfin il faut se persuader que la majorité des hommes sont différents et respectent vraiment les femmes.
 
Mandy_paris":19ephozs a dit:
Enfin il faut se persuader que la majorité des hommes sont différents et respectent vraiment les femmes.

Quand mes collègues ont sorti aujourd'hui "qu'ils ne faut pas pénaliser les clients des prostituées, sinon les viols vont augmenter", je me suis senti seul. Très seul. :mmm:

[Mode excuse bidon]
Bon, il faut aussi admettre que la majorité de mes collègues sont des chasseurs... faut les comprendre "les pauvres"... :rolleyes:
[/Mode excuse bidon]
 
Ca le sera toujours moins que le viol.
Le viol étant un crime au niveau juridique, on est loin de la simple infraction.
Les clients préfèreront payer une prostituée que d'aller jusqu'à là.

J'en ai déjà rencontré des clients de prostituées et parlé avec eux de ça, ils aiment se voiler la face à ce sujet.
C'est mieux de faire la méthode Coué et de se répéter que après tout les prostituées elles aiment ça.


Enfin le niveau des chasseurs est encore pire que ce que je pensais et pourtant mon taux d'estime était déjà pas très élevé.
 
pour la prostitution, mon point de vue est que tant que les prostituées n'auront pas un statut correct et contrôlable, afin de s'assurer qu'elle puisse exercer dans de bonnes conditions, sans être dans un réseau mafieux, on doit considérer que les filles qui font cela n'ont pas d'autres choix. Et quand tu te prostitue parce que tu n'a pas le choix, selon moi, ça reviens a se faire violer a chaque passe. En revanche, si un jour, les filles ont la possibilité (l'obligation ?) d'avoir un lieu de travail correct (oui on appelle ça un clandé) avec un contrôle des clients, des rapports librement choisi et consentis, LA on pourra dire que les filles ont choisi ce métier en toute liberté. Parce qu'il y aura toujours des gens près a payer pour coucher, parce que l'interdiction de la prostitution ne l'a jamais arrêté, autant s'assurer que les filles sont pas "trop mal".
 
Je ne suis pas convaincue car comme je l'ai dit sur un autre topic il y a quand un côté autodestructeur dans le métier.
J'ai discuté avec une femme qui avait été violer et qui était devenue prostituée. Ce n'était pas pour de l'argent, mais c'était un peu comme une drogue difficile à arrêter et destructeur.
Alors je me demande où se trouve le consentement et le bien être là dedans ?

De toute façon le porno c'est pareil et on en trouve partout sur internet.
 
Je te rejoins Mandy, la prostitution est très loin d'être un métier sain et épanouissant. Cependant, combien de nos semblables font des métiers qui sans être aussi terribles ou destructeurs (psychologiquement ET physiquement) sont quant même pas la panacée. De plus on (et quand je dit on je parle essentiellement des journaleux) trouvera toujours des filles pour dire "moi j'aime ce métier","j'ai choisi librement ce métier", ou autre. Tant que la prostitution sera reléguée aux bords des routes surveillée par un mafieux, le métier ne pourra pas être sain. Alors que si on permet aux prostituées de faire ce métier dans des conditions d'hygiène, de sécurité (physiques, pécunières, sociales) correctes, leur vie n'en serait que meilleure, et potentiellement, elle auraient aussi le choix d'en sortir beaucoup plus facilement. Parce qu'un métier que tu peux choisir de faire, c'est aussi un métier que tu peux choisir de ne plus faire. Mais je crois qu'on s'éloigne de beaucoup du sujet initial, peut-etre un modo pourrai-il scinder le sujet pour regrouper ces interventions sur un topic plus adéquat (comme Sheila, parce que Sheila, elle a des couattes)
 
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