Sacha":3s6y3hrr a dit:
Le pessimiste loupe la joie qu'il regrette, et l'optimiste loupe aussi la joie qu'il espère. Pour moi, ce sont les personnes les plus joyeuses, engagées ou non, qui changent le plus le monde. Car les joyeux ne sont ni optimiste ni pessimiste !
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Alors, voilà, moi, je travaille dans l'aménagement des territoires, pour mon humble avis, il serait tellement plus productif de créer des synergies en permettant à tous de travailler ensemble simultanément et de mobiliser tous les idées au service du projet. Parce qu'à l'heure actuelle, un projet se construit de la façon suivante: la société d'aménagement établit son programme, l’architecte conçoit son œuvre architecturale, puis les entreprises exécutent et après basta ; Maintenant, il serait temps qu'il y ait plus de convergence et de ne pas toujours vouloir tout segmenter, sectoriser, dissocier par métier et de de pas travailler les uns après les autres, bref, à la chaine.
Voilà, maintenant pour le futur de nos villes:
- J'imagine la fin des espaces et des bâtiments mono-fonctionnels, comme le quartier d'affaires de Défense par exemple, et l’étalement urbain. Ce sont des projets urbains aberrants.
Pour la petite histoire, nos villes deviennent proches des villes romaines (des mégalopoles) qui d'ailleurs se sont terminées par un effondrement. En fin de compte, un petit retour aux sources des cités médiévales seraient une bonne chose avec toutefois une ouverture de la ville.
- Des constructions et villes intégrés à la nature. L'architecte Frank Lloyd Wright, en est un bon exemple pour l'intégration de ses constructions dans la nature, en suivant l'exemple des maisons japonaises.
Oh toi mon maître Sacha, pour tout le respect que dois, je vais répondre a cette magnifique réflexion. Ma réponse et un peu tardive, je m'en excuse, mais cela ma demandé du temps et de la réflexion pour analyser ce que tu a écris. J'écris ce texte particulièrement pour Sacha, pour les autres, ce que j'ai écris et intéressant mais horriblement long...même si j'ai essayer de faire court pour répondre a une question complexe. Je m'excuse pour les faute d'orthographes d'avances, j'en suis désolé.
Tu a bien raison de parler de la "joyeuseté" car c'est très important, il n'y aura pas de changement collectif, au contraire si l'image véhiculer par ce changement et positif, et amusant,et qu'on dit au gens de faire attention a leur consommation, de baisser leur consommation, de réduire leur achat,d'aller vers la simplicité de vie, peut être 1% des gens vont changées, mais 99% ne feront rien si la contrainte du changement et trop importante, de plus il n'est pas joyeux de réduire ces achat qui peuvent nous procurer du plaisir, ou encore il est désagréable de changer d'habitude.
Donc ce qu'il faut, c’est quelque chose de POSITIF
Un changement par communauté, dans des villages, ou on écoute l'avis de chacun sur les mesures a prendre pour changer, tout le monde ce sens Concerné, on nous écoute, c’est POSITIF, c’est ce que tu propose Sacha, et cela me semble être une bonne idée, c’est un peu l'esprit des "ville en transition" qui instaure des solutions écologiques pour faire face a l'avenir.
Les villes que tu propose, avec un retour en arrière semble bien, mais que faire d'une grande ville comme PARIS ? Peut on vraiment la rendre "bien armée" face a l'avenir ?
Je ne pense pas... ces villes existent parce qu'il y a du pétrole, elle ont grandi en même temps que la disponibilité en pétrole augmentait. Mais on voit des initiative intéressante comme le fait de transformer les villes en immense potager.
Et pour cette dernière initiative sa semble un pas vers le fais d'intégrer la nature dans les villes, a vouloir réimplanter les ressources vitales pour l'homme dans les villes, a faire revivre un peu de végétation si utile a l'homme, dans ces villes.
Réinstauré une sorte de lien avec la nature mais je pense que l'idée a des limites car les villes sont beaucoup trop éloigner de la nature de part leur fonctionnement et logique d'équilibre. En faite je doute de la possibilité de crée une sorte de cycle naturel dans ces villes.
Mais le problème de ce que tu propose, est ce que c’est assez radical pour changer les choses, pour faire face a l'avenir, n'y auras t'il pas des barrière trop importante au niveau politique mais aussi économique ?
Je pense que pour l'instant on teste un peu plein de méthode pour changer, et faire face a ce monde mais aucune ne semble pouvoir faire changer les choses, pourtant nombre d'initiative sont en train de faire irruption, comme les Colibris, ou encore les "ville en transition" ou encore plein d'autre mouvement qui sensibilise les gens au problèmes du futur. Mais le soucie majeur, c’est qu'on a pas le pouvoir, le pouvoir de faire changer les choses.
Le pouvoir politique on ne l'a pas, et sa c'est un handicape majeur, et la je rejoint ce que dit Etienne Chouard, ce qu'il faut c'est ce battre pour pouvoir écrire la constitution car c'est "sa", cette CONSTITUTION qui limite le pouvoir de ce qui nous gouverne mais le problème actuellement c'est que c'est ceux qui on le pouvoir qui on écrit la constitution, donc il écrive leur propre limite au pouvoir alors forcement il y a de l'abus. Nous ne vivons pas dans une démocratie, le monde et gouverner par les riches, ce qui nous gouverne sont dirigées par les banques, les banques sont dirigées par l'argent. Les riches et ceux qui on le pouvoir, agisse pour leur propre intérêt et non pour le peuple, il ce foute du peuple de leur avis, mais alors on est pas en démocratie ? EXACTEMENT, nous le peuples sont en quelques sorte les pauvres, nous on ce soucie de l'environnement car nos vie en dépende, c’est nous qui seront le plus touché, eux il s'en foute, il assurez leur arrière avec l'argent, eux pourront survivre s'il le faut.
D’ailleurs quelque part nous faisons la même chose, est ce que l'on se soucie des pauvres, les pauvres de l’Afrique, des pays emmargeant que l'on exploite ? Je ne pense pas.
Ces pays seront les premiers toucher par la guerre, la famine, les épidémies. Nous irons chercher les ressources cruciales pour notre survie au dépend de leur survie. Les riches contre les pauvres, c’est la loi qui dirige notre monde actuellement.
Donc revenons au pouvoir politique.
Combattre pour l'écologie, c’est peine perdue, les gens ne change pas, entre les optimistes, les pessimistes, rien ne change, ou du moins même si le changement a lieux, je ne suis pas sûr qu'il soit assez rapide...
Comme pour la cause animal, on ce bat depuis des années pour la libération animal mais sans résultat, on ce heurte au gens. Les gens ne change pas, car anesthésier par des techniques de manipulation de masse comme la télévision mais aussi le divertissement a outrance, la consommation et plein d'autre. Les gens ne sont plus que dans l'illusion, car les messages que veulent faire passer les "gens qui ont le pouvoir" il ont réussis a le faire passer via ses techniques de manipulation de masse. Les médias leur rabâche la même chose tout les jours, toute les heures, nous ne pouvons lutter contre sa...
Tu parlais de la "joyeuseté" mais essaye de convaincre une personne d'être végétarienne tout en étant joyeux, aller sur 100 personnes combien vont être convaincue et vont réellement changer ? Peut être une et encore. Tu va les convaincre avec la bouffe ? Et ... La santé peut être.
Mais la négativité semble être tout aussi impuissante aussi malheureusement....
Mais justement ces techniques de manipulation de masse, le pouvoir, tout ce qui nous empêche de crée le changement qu'elle est la solution.
Et puis comment être joyeux avec des sujets t'elle que la cause animal, ou encore l'écologie ? Si on veux faire comprendre au gens l'enjeux du changement il faut leur dire la vérité, une vérité ni malheureusement n'est ni joyeuse ni heureuse.
De toute les solutions j'en retient une et UNE SEULE.
Lutter pour avoir le pouvoir politique, on doit s'unir tous sur un seul objectif, faire plier les gens qui on le pouvoir, faire une RÉVOLUTION !
(Je sais déjà ce que vous penser rien qu'a l'entente de ce mot "révolution", vous le trouvé ringard, ancien, ou peut être utopiste, alors ceux qui on le pouvoir on gagner, il essaye a tout pris que la population ne pense plus au mot "révolution" comme tout mot qui pourrait faire PENSER au gens certaine forme de lutte ou de critique a l'égard du pouvoir. Le mot lutter remplacer par le mot manifester qui est bien moins fort que "lutter" plus raisonnable que "lutter". Nous n'avons plus les mots pour critiquer le pouvoir cela et du a l'éducation, au médias...)
revenons donc, il faut faire une RÉVOLUTION, une révolution ou nous lutterons pour avoir le pouvoir, le pouvoir d'écrire la constitution pour limiter le pouvoir des riches"
Mais il faut construire une révolution intelligente, et faire attention a ne pas mettre des gens néfaste au pouvoir, ne pas recrée les même erreur que notre système.
Ensuite nous pourrons réfléchir au changement et au mesure a prendre pour lutter contre notre avenir, et ce changement ce feras plus rapidement, car on auras le fameux pouvoir.
Alors que la nous ne l'avons pas, alors rien ne change...
Voila, ce n'est que mon point de vue, mon analyse, influencer par différente personne comme Etienne Chouard, je ne sais pas si je vise vraie, mais cela me semble être un résonnement assez plausible.
Et puis je pense que l’instant de changer de voie et important car avant nous 33 civilisations on déjà disparue alors pourquoi pas nous ?
et puis je pense pas être alarmiste car Wangari déclarais quelque chose de très significatif "Vu la direction que nous avons prise, au rythme ou nous allons il y a de forte chances qu'un jour cette planète ne soit plus habité"
Et enfin je finirais par l'avis d'Edgar Morin ' nous sommes arrivées à une époque tellement critique ou l'humanité n'arrive pas en naître qu'humanité et dans cette effort agonique pour naître, elle risque de mourrir"
Ce n'est pas n'importe qui, ces mots viennes d'une personnes qui connait très bien le sujet.
Sacha j'espère avoir répondue clairement et de façon complète a tas question et essayer de te faire comprendre en quoi je crois plus ou moins en ce que tu déclare, et d'ou vient mon pessimisme.