Garma
Jeune bulbe
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Alors à mon tour :
Moi, c’est Marianne, j'ai 36 ans et j'habite entre Dijon et Dole. J’ai fait des études de biologie et de physiologie mais je travaille actuellement dans les statistiques et l’informatique. J'ai mangé de la viande à contre cœur et sans l’apprécier particulièrement pendant presque toute ma vie… sans contre exemple à la culture dominante dans mon entourage et étant de nature plutôt discrète et pas du tout revendicative, j’ai mis du temps à porter la critique sur mon alimentation. Je sentais que quelque chose n’allais pas de ce côté, mais j’ai eu du mal à trouver quoi et que faire…
Je suis devenue peu à peu végétarienne éthique afin de me sentir plus en accord avec ma conscience, puis végétalienne depuis 2 ans (énorme prise de conscience à la naissance de mon fils). Je suis actuellement en bonne passe de devenir vegan (oserai-je dire à 98%... ?). Et sur un plan encore plus spirituelle, je suis bouddhiste pratiquante depuis 1 an.
Je soutiens plusieurs associations militant pour la protection des animaux et le végétarisme.
Côté animaux : je vis avec 2 minettes de 10 et 3 ans, et je songe très prochainement à offrir un nouveau foyer à une pensionnaire des chatteries surpeuplées de la SPA. J’assure la retraite de mon vieux cheval de 22 ans (les chevaux étaient ma grande passion… je les aie tellement aimé que j’ai fini par arrêter de les monter), et j’ai dans mon jardin 2 adorables moutons d’Ouessant dont la difficile mission consiste à surveiller la pousse de l’herbe du jardin.
Mon compagnon a accepté sans problème de manger végétarien puis végétalien à la maison mais conserve ses habitudes omnivores à l’extérieur. Quant à mon fils de 2 ans, il est en garde la journée chez une nounou. Jusqu’à peu, je lui concoctais des repas vgL et il lui arrivait là bas de manger du fromage et des pâtisseries « conventionnelles ». Les choses se compliquent actuellement car il réclame à force et à cri ce que les autres ont dans leur assiette… c’est à dire de la viande, des nuggets, du saucisson… Ma nounou et moi communiquons ensemble dans un respect mutuel mais sommes très embarrassées par cette cohabitation omni/végé assez délicate. L’idée de devoir accepter qu’il mange de la viande me gêne beaucoup (c’est un euphémisme) et j’ai bien peur que pour finir, il n’y ait pas d’autres solutions… Elle aime beaucoup mon fils et c’est sûr que cela va lui être difficile de lui interdire de manger de manger de la viande alors qu’elle-même et sa famille en mange quotidiennement…
Ma mère a résolu le problème des repas en ne nous invitant plus à manger, et n’a pas hésité pas à glisser quelques remarques ironiques et désagréables devant l’assemblée familiale communiant sur la traditionnelle dinde de Noël 2013…
Le reste de mon entourage est plutôt composé d’omnivores indifférents, mais qui ne font aucun effort particulier quand nous sommes invités à manger… alors je jeûne et mange mieux le repas suivant !
Enfin avec tout çà, je me sens très seule et, par manque de confiance en moi et de répartie, j’évite au maximum la confrontation avec les omnis. Je suis contrainte de vivre avec les gens qui m’entourent et le conflit ouvert et de longue durée au quotidien n’est, de mon point de vue, ni pas vivable ni souhaitable.
Pour conclure : comme vous vous en doutez, je vous rejoins ici pour rompre ma solitude de végé !
A bientôt et au plaisir de vous lire sur le forum !
Moi, c’est Marianne, j'ai 36 ans et j'habite entre Dijon et Dole. J’ai fait des études de biologie et de physiologie mais je travaille actuellement dans les statistiques et l’informatique. J'ai mangé de la viande à contre cœur et sans l’apprécier particulièrement pendant presque toute ma vie… sans contre exemple à la culture dominante dans mon entourage et étant de nature plutôt discrète et pas du tout revendicative, j’ai mis du temps à porter la critique sur mon alimentation. Je sentais que quelque chose n’allais pas de ce côté, mais j’ai eu du mal à trouver quoi et que faire…
Je suis devenue peu à peu végétarienne éthique afin de me sentir plus en accord avec ma conscience, puis végétalienne depuis 2 ans (énorme prise de conscience à la naissance de mon fils). Je suis actuellement en bonne passe de devenir vegan (oserai-je dire à 98%... ?). Et sur un plan encore plus spirituelle, je suis bouddhiste pratiquante depuis 1 an.
Je soutiens plusieurs associations militant pour la protection des animaux et le végétarisme.
Côté animaux : je vis avec 2 minettes de 10 et 3 ans, et je songe très prochainement à offrir un nouveau foyer à une pensionnaire des chatteries surpeuplées de la SPA. J’assure la retraite de mon vieux cheval de 22 ans (les chevaux étaient ma grande passion… je les aie tellement aimé que j’ai fini par arrêter de les monter), et j’ai dans mon jardin 2 adorables moutons d’Ouessant dont la difficile mission consiste à surveiller la pousse de l’herbe du jardin.
Mon compagnon a accepté sans problème de manger végétarien puis végétalien à la maison mais conserve ses habitudes omnivores à l’extérieur. Quant à mon fils de 2 ans, il est en garde la journée chez une nounou. Jusqu’à peu, je lui concoctais des repas vgL et il lui arrivait là bas de manger du fromage et des pâtisseries « conventionnelles ». Les choses se compliquent actuellement car il réclame à force et à cri ce que les autres ont dans leur assiette… c’est à dire de la viande, des nuggets, du saucisson… Ma nounou et moi communiquons ensemble dans un respect mutuel mais sommes très embarrassées par cette cohabitation omni/végé assez délicate. L’idée de devoir accepter qu’il mange de la viande me gêne beaucoup (c’est un euphémisme) et j’ai bien peur que pour finir, il n’y ait pas d’autres solutions… Elle aime beaucoup mon fils et c’est sûr que cela va lui être difficile de lui interdire de manger de manger de la viande alors qu’elle-même et sa famille en mange quotidiennement…
Ma mère a résolu le problème des repas en ne nous invitant plus à manger, et n’a pas hésité pas à glisser quelques remarques ironiques et désagréables devant l’assemblée familiale communiant sur la traditionnelle dinde de Noël 2013…
Le reste de mon entourage est plutôt composé d’omnivores indifférents, mais qui ne font aucun effort particulier quand nous sommes invités à manger… alors je jeûne et mange mieux le repas suivant !
Enfin avec tout çà, je me sens très seule et, par manque de confiance en moi et de répartie, j’évite au maximum la confrontation avec les omnis. Je suis contrainte de vivre avec les gens qui m’entourent et le conflit ouvert et de longue durée au quotidien n’est, de mon point de vue, ni pas vivable ni souhaitable.
Pour conclure : comme vous vous en doutez, je vous rejoins ici pour rompre ma solitude de végé !
A bientôt et au plaisir de vous lire sur le forum !