SuperResistant
Jeune bulbe
Bonjour,
J'ai 23 ans. On m'a élevé en me faisant manger de tout et donc de la viande et des laitages.
Un peu avant l'adolescence je suis devenu très intolérant au lait de vache : ça me donnait la nausée. Je refusais d'en prendre à la maison et chez les autres, à mon souvenir ce fût ma première remise en cause et refus de "manger comme les autres et comme on veux que je mange".
J'ai ensuite éprouvé du dégoût pour le gras de la viande car à l'adolescence j'étais préoccupé par mon physique (encore aujourd'hui).
Mon père essaye très tôt de me faire aimer la chasse et je lui explique que je préfère les animaux sauvage en liberté plutôt que dans mon assiette.
En tant que "bon chasseur", mon père adopte un chien de chasse. J'ai considéré ce chien comme un membre de la famille plus qu'un animal domestiqué pour la chasse. J'ai certainement plus aimé ce chien que certains de mes proches.
Durant mon enfance je passe toutes mes vacances à la campagne, ou je deviens ami avec le fils d'un agriculteur-éleveur.
Je garde longtemps cette image traditionnelle de l'élevage d'animaux : dans de grand espace verts, sous un soleil éclatant, à l'ombre des arbres, les vaches, qui écoutent le ruissellement de la rivière et baillent à notre passage... et co
Ce fût donc un choc lorsque je vis des reportages sur l'élevage intensif et industrialisé.
Mon frère est un "gros viandar" et cela m'écoeure.
Quand mon chien meurt, je ne peux supporter le vide laissé par la perte de cet animal, je me renferme.
Je remange de tout (mais pas beaucoup de viande) et ne me pose plus trop de questions.
Dernièrement, ma fiancé devient végétarienne, ne pouvant plus éprouver suffisamment de compassion et d’empathie (étant blasé), j'ai du mal à la comprendre.
- SuperResistant
J'ai 23 ans. On m'a élevé en me faisant manger de tout et donc de la viande et des laitages.
Un peu avant l'adolescence je suis devenu très intolérant au lait de vache : ça me donnait la nausée. Je refusais d'en prendre à la maison et chez les autres, à mon souvenir ce fût ma première remise en cause et refus de "manger comme les autres et comme on veux que je mange".
J'ai ensuite éprouvé du dégoût pour le gras de la viande car à l'adolescence j'étais préoccupé par mon physique (encore aujourd'hui).
Mon père essaye très tôt de me faire aimer la chasse et je lui explique que je préfère les animaux sauvage en liberté plutôt que dans mon assiette.
En tant que "bon chasseur", mon père adopte un chien de chasse. J'ai considéré ce chien comme un membre de la famille plus qu'un animal domestiqué pour la chasse. J'ai certainement plus aimé ce chien que certains de mes proches.
Durant mon enfance je passe toutes mes vacances à la campagne, ou je deviens ami avec le fils d'un agriculteur-éleveur.
Je garde longtemps cette image traditionnelle de l'élevage d'animaux : dans de grand espace verts, sous un soleil éclatant, à l'ombre des arbres, les vaches, qui écoutent le ruissellement de la rivière et baillent à notre passage... et co
Ce fût donc un choc lorsque je vis des reportages sur l'élevage intensif et industrialisé.
Mon frère est un "gros viandar" et cela m'écoeure.
Quand mon chien meurt, je ne peux supporter le vide laissé par la perte de cet animal, je me renferme.
Je remange de tout (mais pas beaucoup de viande) et ne me pose plus trop de questions.
Dernièrement, ma fiancé devient végétarienne, ne pouvant plus éprouver suffisamment de compassion et d’empathie (étant blasé), j'ai du mal à la comprendre.
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