comment se passer de poisson ?

lolotte

Jeune bulbe
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Bonjour, je viens tout juste de m'inscrire, mais je suis déjà venue visiter le site en quête d'idées recettes.
Je ne suis pas végétarienne, mais je ne mange quasi plus de viande, je dis quasiment, car si moi je n'en achète plus, je ne refuse pas d'en manger lorsque que l'on m'en sert(c'est surtout par politesse!).En fait, je n'ai jamais vraiment aimer la viande, question de goût (j'en mangeais pas tradition, et éducation), et puis les condition d'élevage et d'abattage ont fini de me convaincre.
Par contre, j'aime le poisson et les crustacés (mon péché mignon les pétoncles et saint jacques). Même si je n'en mange pas tout les jours, et que j'essaye d'acheter bio, j'ai du mal a m'en passer.
Du coups, après ce palabre ma question, comment faire pour se passer de produits issus de la mer, par quelles aliments pourrais je les remplacer, en gardant le plaisir du petit côté iodé!
Si vous avez des suggestion, merci !
 
seitan aux algues
tofu aux algues ^^
plat tout prêt chez umv, boutique-vegan, Paris store ^^
 
Je trouve que le tofu mariné au citron (et bien bien frit) me rappelait un peu certains poissons.
 
Merci pour les réponses si rapide !
Alors, les algues, jamais tenté, et ça ne me semble pas très engageant là comme ça (question de texture) mais a voir ! Le tofu mariner citron peu être, en tout cas, ça me parle plus !
 
Honnêtement les algues ça passe, parole de nerreuse.

Pour la marinade, a toi de voir si d'autres épices et gouts que tu utilisais pour accompagner le poisson peuvent être associés au citron. (perso je mets du gingembre, de l'ail et du tamari et parfois des herbes)
 
Prononc. et Orth.: [neʀø], fém. [-ø:z]. Tuaillon Région. 1978: nâ-, nê-. Étymol. et Hist. 1792 nareu (Dict. du patois du duché de Bouillon ds R. Lang. rom. t.15 1878, p.177); 1807 néreux (Michel (J.-F.) Expr. vic.). Mot dial. du Nord et du Nord-Est (wallon, pic., champ., lorr.), dér., à l'aide du suff. -eux*, d'un type nar «narines, nez» qui survit encore en fr.-prov. et en prov. (cf. FEW t.7, p.15a) et qui a dû exister en fr. (cf. les nombreux dér. servant à désigner le nez et les narines, v. FEW t.7, pp.15a-16a); du lat. naris «narines, nez», v. aussi narine.

Vous croyez que leur hébergement est facturé au caractère ?

Sinon merci pour ce nouveau mot qui m'aurait servi plus d'une fois !
 
J'ai une méthode infaillible : j'ai toujours détesté le poisson et les fruits de mer. Essaie, tu verras, ça marche bien.

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Korbak reste dehors :p

Sinon il y a aussi des haricots de mer qui on bien le gout d'iode, on en trouve en bocal.
 
La salicorne, oui c'est sympa. Pour une fois qu'on trouve un truc de ce genre en Turquie (en restau surtout)
 
Comme les autres, les algues = fantastique.
Et idem, coup de coeur pour la salicorne, qu'on peut trouver en grande surface ! :3

On m'a dit dimanche soir qu'il existait des similis-crevettes qui faisaient très bien illusion cuisinés en beignets, par exemple. C'est à voir.

En dehors de cette liste de réponses concrète, j'ai simplement envie de te dire que j'ai eu très peur d'arrêter de manger du poisson (le saumon et les crevettes) lorsque je suis devenue végétalienne. Mais comme tu le soulignes, c'est parce que c'est une question d'habitude : pour l'instant, tu penses peut-être que tu te sépares de tout un groupe d'aliments, et tu cherches à les remplacer. Tu y es habitué depuis des années, tu aimes, c'est automatique.
Pour ma part, je me suis rendue compte que je laissais un aliment pour en découvrir 10 autres bien plus savoureux, sains, éthiques.
Aujourd'hui peu de choses me manquent sincèrement. Et lorsqu'il m'est arrivé de craquer je n'avais pas le temps de finir mon assiette que je me rendais compte, simplement, que ça n'en valait pas la peine. On fait tout un monde de ce qu'on laisse derrière nous, on ne pense pas à tout ce qui nous attend. Mais c'est pour le mieux, nous sommes plus forts que ça.

Alors approche toi des algues ou de ce qui peut combler ce goût d'iode que tu recherches, mais n'oublie pas de (re-) découvrir ces aliments que tu boudes inconsciemment tous les jours, dont tu as vaguement entendu parler ou que tu n'as (pour le moment !) jamais croisé. Tu as de quoi t'occuper !
 
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