Très franchement j'ai fait des périodes avec et sans supplémentation ces dernières années et j'ai pas vu de lien direct avec mes phases de progression.
Les points qui ont en revanche une vrai incidence :
- La qualité de la nourriture, donc le passage au veganisme déjà, l'arrêt des sucreries, même végane (exit les oréos et les cookies granola !), un max de bio et local, et depuis peu, je teste le sans-gluten, à voir ce que ça va donner mais ça à l'air pas mal !
- La quantité de nourriture, oui, pour prendre en masse, il faut vraiment bouffer jusqu'à ne plus avoir faim, en tout cas les périodes ou j'ai pris du poids, c'était un facteur commun.
- L'adaptation de l'entrainement aux objectifs, on ne progresse pas en faisant n'importe quoi, chacun réagit différemment aux différents type de stimuli (je sais pas trop comment l'écrire XD) et en fonction des objectifs y'a des choses productives et des choses contre-productives. En gros un changement de programme permet souvent de briser la stagnation.
- Le stress et les préoccupations extérieures, quand j'étais étudiant et en période d'exams (par exemple), je ne progressait plus, même en m'entrainant, en mangeant bien et même en me supplémentant.
Tout ça je suis sûr de l'impact que ça a, les suppléments, je ne dis pas que ça sert à rien, mais je ne pense pas que ça soit la première préoccupation à avoir quand on fait face à une stagnation par exemple(et puis c'est vraiment dégeulaaaaasse ^^).