Jedétesteleslégumes
Jeune bulbe
Bonjour à tous !
Je viens vers vous parce que j'ai besoin de personnes douées avec les mots parce que je suis face à une situation pas facile.
Alors voilà, depuis quelques semaines je suis de retour chez mes parents pour les vacances. Au delà du fait que j'en ai marre de les entendre se plaindre de leurs problèmes de mal au ventre, je m'inquiètes surtout pour ma mère.
C'est quelqu'un qui a toujours eu du mal à grossir, mais là c'est pire, ça devient un peu impressionnant, parce que visiblement c'est pas comme si elle était maigre de manière stable.
Alors bien sur la petite végétalienne que j’étais il y a deux ans lui avait bien lancé des petits piques (manière de parler, c'était bienveillant) sur le fait que si visiblement elle arrivait pas à résoudre le problème, il fallait peut être s'intéresser à la base de tout, son carburant : ce qu'elle mange.
Je lui avais même pas parlé de produit d'origine animal, mais du gluten, en lui disant que j'ai déjà vu des témoignages comme quoi ça changeait tout (moi je mange du gluten donc j'en sais rien) et que du coup son problème était peut être de là. Donc je lui ai dit, mais pourquoi ne pas arrêter rien qu’un mois, et voir ce que ça fait.
Mais elle se cherchait tout le temps des excuses, du style « nan mais au final j’en mange pas tant que ça du gluten blablabla ». Mais oui bien sûr mis à part le pain que tu manges à tous les repas, les gâteaux pour le goûter parfois, sans compter les pâtes etc, à part ça elle en mange à peine.
Je sais bien que vous allez me dire, y a un moment si les gens veulent pas d’aide on peut pas les forcer… Mais ce qu’elle a dit aujourd’hui m’a hérissé le poils : mon père lui a fait une reflexion sur le fait qu’elle devait manger plus (famille agréable je vous dis), scénario habituel elle lui répond qu’elle mange mais qu’elle arrive pas à grossir, que de toute façon elle a les artères bouchées.
Moi, qui pourtant n’y connait pas grand chose à tout ça, artères bouchées, pour moi, ça sous entend corps obstrué par à cause d’ingestion de produit de merde, style produits laitiers, pour ne citer qu’eux.
Pour lui faire dire d’elle même d’où venait le problème et qu’elle se remette en question, je lui demande d’où vient les artères bouchées dans ce cas ? Qu’il faut traiter le problème à sa source… Réponse toute faite : le médecin a dit que c’était du stress, et puis sois disant apparemment c’est héréditaire de toute façon, que sa grand mère est morte d’un avc blablabla…
Cette manière de mettre ça sur l’hérédité m’a énervé, comme si elle pouvait vraiment rien y faire du tout.
Le truc, c’est qu’aujourd’hui, à chaaaaque fois que j’ai le malheur de dire quelque chose sur l’alimentation, j’ai l’impression de la perdre directe et qu’elle ne prend plus en compte ce que je dis à partir du moment où je parle de ça, comme si tout ce que je disais n’était pas objectif à cause de ma manière de m’alimenter, et comme si elle avait peut d’être contaminer par mon végétalisme.
Mais ça me frustre tellement, parce que je suis tellement sure que si elle m’écoutait ça irait déjà bien mieux…
Bref désolée pour le pavé et merci pour ceux qui ont eu le courage de me lire, au final la question est, avez vous été dans ce genre de situation ? Comment vous avez géré ça ?
Devrais je abandonner étant donné que clairement elle a pas l’air prête à entendre ce qui fâche et ce qui pourrait changer son quotidien et ses habitudes ?
Je viens vers vous parce que j'ai besoin de personnes douées avec les mots parce que je suis face à une situation pas facile.
Alors voilà, depuis quelques semaines je suis de retour chez mes parents pour les vacances. Au delà du fait que j'en ai marre de les entendre se plaindre de leurs problèmes de mal au ventre, je m'inquiètes surtout pour ma mère.
C'est quelqu'un qui a toujours eu du mal à grossir, mais là c'est pire, ça devient un peu impressionnant, parce que visiblement c'est pas comme si elle était maigre de manière stable.
Alors bien sur la petite végétalienne que j’étais il y a deux ans lui avait bien lancé des petits piques (manière de parler, c'était bienveillant) sur le fait que si visiblement elle arrivait pas à résoudre le problème, il fallait peut être s'intéresser à la base de tout, son carburant : ce qu'elle mange.
Je lui avais même pas parlé de produit d'origine animal, mais du gluten, en lui disant que j'ai déjà vu des témoignages comme quoi ça changeait tout (moi je mange du gluten donc j'en sais rien) et que du coup son problème était peut être de là. Donc je lui ai dit, mais pourquoi ne pas arrêter rien qu’un mois, et voir ce que ça fait.
Mais elle se cherchait tout le temps des excuses, du style « nan mais au final j’en mange pas tant que ça du gluten blablabla ». Mais oui bien sûr mis à part le pain que tu manges à tous les repas, les gâteaux pour le goûter parfois, sans compter les pâtes etc, à part ça elle en mange à peine.
Je sais bien que vous allez me dire, y a un moment si les gens veulent pas d’aide on peut pas les forcer… Mais ce qu’elle a dit aujourd’hui m’a hérissé le poils : mon père lui a fait une reflexion sur le fait qu’elle devait manger plus (famille agréable je vous dis), scénario habituel elle lui répond qu’elle mange mais qu’elle arrive pas à grossir, que de toute façon elle a les artères bouchées.
Moi, qui pourtant n’y connait pas grand chose à tout ça, artères bouchées, pour moi, ça sous entend corps obstrué par à cause d’ingestion de produit de merde, style produits laitiers, pour ne citer qu’eux.
Pour lui faire dire d’elle même d’où venait le problème et qu’elle se remette en question, je lui demande d’où vient les artères bouchées dans ce cas ? Qu’il faut traiter le problème à sa source… Réponse toute faite : le médecin a dit que c’était du stress, et puis sois disant apparemment c’est héréditaire de toute façon, que sa grand mère est morte d’un avc blablabla…
Cette manière de mettre ça sur l’hérédité m’a énervé, comme si elle pouvait vraiment rien y faire du tout.
Le truc, c’est qu’aujourd’hui, à chaaaaque fois que j’ai le malheur de dire quelque chose sur l’alimentation, j’ai l’impression de la perdre directe et qu’elle ne prend plus en compte ce que je dis à partir du moment où je parle de ça, comme si tout ce que je disais n’était pas objectif à cause de ma manière de m’alimenter, et comme si elle avait peut d’être contaminer par mon végétalisme.
Mais ça me frustre tellement, parce que je suis tellement sure que si elle m’écoutait ça irait déjà bien mieux…
Bref désolée pour le pavé et merci pour ceux qui ont eu le courage de me lire, au final la question est, avez vous été dans ce genre de situation ? Comment vous avez géré ça ?
Devrais je abandonner étant donné que clairement elle a pas l’air prête à entendre ce qui fâche et ce qui pourrait changer son quotidien et ses habitudes ?