Les végétariens tuent 25fois plus d'animaux...

Mathiba":lcgvrveb a dit:
Du coup là je sais pas comment réagir, je suis triste et déçue et je veux pas répondre de manière énervée ni ignorer totalement... je sais que ça vaut pas la peine de se prendre la tête avec ce genre de personnes néanmoins j'éprouve le besoin de faire quelque chose.
Peut-être faire remarquer à la personne que les animaux d'élevage mangent des végétaux, pour la plupart cultivés et que donc, reprocher aux végétariens d'être responsables des terres défrichées, c'est comme reprocher aux cyclistes de prendre de la place sur la voie publique.

Mathiba":lcgvrveb a dit:
je veux éviter le, comme tu l'as bien dit: "on déconne c'est de l'humour rolala on peut rien dire".
Si quelqu'un te sort cela, il y a quelques articles pas mal fait sur le net sur le fait que ce n'est pas une excuse (que de l'humour raciste reste raciste, par exemple et n'est donc pas plus acceptable).
 
Précisément, l'article se base sur le fait que dans le cas de l'Australie, la plupart des animaux d'élevage, d'après l'auteur (70% ? je ne sais plus le chiffre exact mais beaucoup), sont nourris au pré et non aux graines. Je ne sais pas si c'est vrai ceci dit, ni sur quelles sources il se base.
Donc abolir la viande aurait pour conséquence de devoir augmenter la proportion de terres cultivables en Australie, alors que les terres sont, toujours d'après ses chiffres, déjà très exploitées. Et faire ça serait créer un déséquilibre écologique, puisque ça veut dire introduire encore plus de plantes et végétaux étrangers au contexte australien, des traitements adéquats pour la culture etc., et en plus que la culture agricole aurait des conséquences sur la faune avec les machines agricoles qui tuent les petits rongeurs etc.
Si j'ai bien suivi, il se base cependant sur le raisonnement en monoculture et sur le fait que la principale source de protéines des végés est le blé (mais ça j'ai peut-être mal lu parce que c'est bizarre).
A compléter/corriger, j'ai lu assez vite je dois dire...
 
Nurja, merci beaucoup :) je pense que je vais faire une réponse de ce genre.
est-ce que tu pourrais écrire les liens de ces articles s'il te plaît?
Parfois je me demande pourquoi tant de haine...

Fabicha, merci merci ! :) j'ai l'impression que tout a été inversé dans cet article.
Sur toutes les surfaces cultivables que l'on a, 70% servent a nourrir les animaux non humains, 30 % servent à nous (ce qui inclut le coton etc...). on va prendre de la marge et on va dire que 5 protéines vg = 1 protéine animale. on arrête d'élever des animaux, déjà on gagne la surface abandonnée et donc les écosystemes reviennent en ces lieux petit à petit. ensuite, toujours avec 5 pour 1, sur toutes nos surfaces cultivables, il suffirait d'utiliser 44% pour nous au lieux de 30 %¨et le monde serait le même mais sans viande (c'est juste un simple calcul). ensuite on prend en compte qu'il y à 3.5 milliards de personnes qui souffrent de la faim soit 50% de la population => on utilise 100% et tout le monde peut manger à sa faim sans problemes. même moins de 100 pourrait suffire. Ensuite pour le fait que on tue 25 fois plus d'animaux (les souris araignées etc quand il faut labourer les champs,c'est peut être vrai mais dans ce cas là un carniste en tue 125 à 250 fois plus étant donné que il faut aussi labourer des champs pour nourrir les animaux). donc si on devient tout vg, certes des animaux mourront encore mais ce sera une dizaine de fois moins. bien sûr il y aurait aussi des choses très positives pour l'environnement car l'agriculture la plus polluante est celle destinée aux animaux d'élevage. puis il y aurait pas les rejets de crottes dans les mers.
*merci verdure*
 
Fabicha":jrzo4jfa a dit:
Précisément, l'article se base sur le fait que dans le cas de l'Australie, la plupart des animaux d'élevage, d'après l'auteur (70% ? je ne sais plus le chiffre exact mais beaucoup), sont nourris au pré et non aux graines. Je ne sais pas si c'est vrai ceci dit, ni sur quelles sources il se base.
Le truc, c'est que l'Australie importe énormément de viande étrangère. Donc cet exemple non-représentatif est en plus invalidé par le commerce extérieur de l'Australie.
 
De toutes façons il y en a plein sur internet des articles comme ça, ça sert à rien de se mêtre dans tout ses états, ce genre de choses et ces personnes n'en valent pas la peine. A mon avis ce sont plus des trolls qu'autre chose et ils ont réussit : maintenant on est là à éplucher tout ce qui est faux dedans. Mieux vaut juste passer à coté.
 
En l'occurrence, en version anglaise, c'est publié par une revue scientifique (ceci dit, j'ai pas été creuser, faut toujours se méfier) et par un universitaire... Donc pas forcément du troll.
La version française est tellement mal traduite qu'elle ne rend pas du tout compte de l'article d'origine pour ce que j'en ai vu.
 
C'est drôle, on vient de m'envoyer cet article aussi.

Je n'y ai pas encore répondu en entier, mais il est trés clairement mauvais..
Rien n'a de sens, c'est des propos bricolés les un aux autres pour essayer d'embrouiller l'esprit du lecteur non avertis..
 
Même pour l'australie, si les animaux n'ont vraiment pas d'apport, ils leur faut plus de terrain qu'un animal avec apport, donc plus de place que des céréales. Ça ne marche toujours pas. Le texte est biaisé dès le départ, car il omet sciemment la nourriture du bovin. Un boeuf ça mange de l'herbes pour grossir, les éleveurs pour qu'ils soient "rentable" les veulent gros, donc leurs pâtures doivent être immense.
C'est pour ça qu'ils leurs font un apport céréaliers, pour avoir des pâtures plus petites.
 
Personne peut être "parfait". Parce que si tu es Végétariens on te dis "Deviens Vegan" Quand tu es Vegan on te dis "Sa sert à quoi d'être Vegan si tu fais ta vaisselle avec 125 Litre d'eau, ou que tu prends ta douche pendant 15 minutes (limite faudrait se laver à l'eau froide au gant de toilette). Ce que j'essaie de dire c'est qu'on devrait tous faire selon notre coeur et pas selon des normes et des définitions inscrite dans un dictionnaire "Un végétarien c'est tatatatata" "Un Végan c'est tatatata". Il y aura toujours des pseudos études scientifiques financée par des lobby plus ou moins discret (d'ailleurs peut être que dans quelques decennies on trouvera des études scientifiques financer par les nouveaux lobbies des simili carné".
Je ne manges pas d'animaux, ni d'oeuf, ni de produits laitiers, je n'achète pas de cuir ni de fourrure, je suis juste moi. Si je dis sa comme cela, sa passe.
Si je dis "je suis Vegan : Je ne manges pas d'animaux, ni d'oeuf, ni de produits laitiers, je n'achète pas de cuir ni de fourrure" bizarrement là on va me prendre pour une taré.

C'est comme mon compagnon qui m'affirme qu'en mangeant des végétaux je tue des milliers de Micro-organismes et que ce n'est pas en accord avec le Veganisme...(encore que là c'est risible mais bon bref). Il y a bien un moment ou je faire mal, tuer un moustiques ou une araignée pour ceux qui en ont peur. Sa ne fais pas de vous des mauvaises personnes ou des personnes "pas totalement accomplis".
 
Tigresse":j1t75ihh a dit:
On a vraiment l'air d'1 extrémiste si on se lave à l'eau froide avec une éponge (végétale, l'éponge) ?

C'est pire que tout ! ;)
 
J'ai lu l'article en anglais... merci PersOnne d'avoir fourni le lien. ;)
Personnellement je le trouve intéressant.
Mais comme je n'ai jamais été en Australie et que je ne connais pas leur économie agraire et leurs modes de production, je ne me permettrais pas de commenter l'article... de dire si ceci est juste ou si ceci est faux.
Par contre, ça me fait faire un rapprochement avec une économie pastorale et les modes de productions d'un environnement que je connais bien puisque j'y suis né et j'y ai grandit.
La montagne.
Dans toutes les zones de montagne, et pas seulement en Europe, les céréales, les légumes ne poussent plus ou très difficilement à partir de 1300 mètres.
J'habite à cette altitude et j'essaie depuis plusieurs années de tourner en auto suffisance partielle avec un système de production extensive.
Ben c'est pas facile.
Au niveau cultural, pour ma production de légumes, j'ai grosso modo trois semaines à un mois de retard pour les semis par rapport à la plaine, un ensoleillement moindre du à notre position dans la vallée et une saison estivale raccourcie du fait des températures, fait que mes choix de variétés sont limitées.
Les légumes comme les tomates par exemple (pour citer un basique) ne m'apportent pas un rendement suffisant pour que leur culture soit rentable, puisque les dernières tomates ne parviennent jamais à maturité.
La seule céréale qui pousse jusqu'à maturité à cette altitude c'est le seigle, et le maïs arrive au stade de graine mais ne sèche pas suffisamment pour pouvoir être stocké.

C'est pour cette raison que dans nos régions, traditionnellement, le pastoralisme a pris tant d'importance.

C'est le moyen le moins coûteux et le plus rationnel de valoriser des fourrages grossiers, prairies naturelles, alpages jusqu'à 2500 mètres, sous-bois, haies, que l'être humain ne peut pas consommer tel quel.
C'est aussi un gage de biodiversité, puisqu'il permet de maintenir des paysages ouverts qui favorisent des espèces rares, comme le torcol fourmilier, le lièvre brun, la rainette verte, l'alouette des champs, le bruant jaune, le grillon champêtre, la pie-grièche...
Sans compter tout le gibier qui profite aussi de ces surfaces ouvertes, cerfs, chevreuils, chamois, sangliers qui pâturent dans les prés et pâturages ouverts par l'agriculture locale.

Quand j'entend dire qu'il ne faudrait plus se nourrir que de végétaux, même si je pense que techniquement et économiquement ce challenge doit être réalisable, je trouve qu'on ne tient pas assez compte des réalités contextuelles et géographiques.
Faire que les animaux, la production de fromages d'alpage et l'élevage ne rentrent plus en compte dans l'écologie alpestre reviendrait à rendre les habitants des montagnes complètement dépendants des importations de la plaine ou à délocaliser ces populations.
Mais aussi à intensifier les productions de plaine, et qui dit intensification dit plus de moyens phytosanitaires et un plus gros impact sur l'environnement.

Le fromage par exemple, n'est rien d'autre qu'un moyen de stocker le lait à long terme, le lait qui est un moyen de valoriser des terres qui ne produisent que des fourrages grossiers assimilables par les ruminants et les autres herbivores strictes.
Dans le même temps, la pâture fertilise les sols naturellement.

Je pense que l'article qui parle de l'Australie va dans ce sens aussi, je ne le trouve pas illogique.

Moi aussi j'aime bien l'idée du "tout végétal"... mais à mon avis c'est un concept qui reste encore complètement flou et dont on ne peut encore absolument pas calculer l'impact global, d'un point de vue écologique ou même économique. Mais aussi d'un point de vue du respect des animaux, puisque toute action culturale engendre des pertes animales, que ce soit tant au niveau de la production (protection des cultures, défrichage) que du stockage, élimination des rongeurs. Et à ce moment... comment l'évaluer? Est-ce que la vie d'un campagnol mort en vain empoisonné dans un silo à grain est moins ou plus importante que la vie d'un lapin tué et consommé en entier? :gné: <br /:><:br /> — Le 02 Aoû 2016, 15:39, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br /> En tout cas, si je trouve que d'un point de vue éthique l'argumentaire végane est absolument imparable, d'un point de vue écologique et environnemental il y a encore du chemin à faire.
Le seul truc que je vois c'est que plein de gens balancent des chiffres et des pourcentages à tout va... alors qu'on en sait juste rien.

Autant ça m'énerve quand les gens défendent leur bout de bidoche en barquette acheté à mini prix alors qu'ils n'ont jamais eu le courage de mettre fin à la vie d'un animal, autant ça m'énerve d'entendre des théories sur les cultures australiennes faites par des gens qui ont jamais fait pousser un poireau chez eux, se sont jamais battus à main nue contre des limaces pour protéger leurs salades ou ont jamais engagé un chat pour la garde rapprochée du sellier.

Sinon, le point de vue d'une flexivégé sur le pastoralisme et les "fermes-maisons":
https://reporterre.net/Voici-pourquoi-j ... -la-viande
 
Toi aussi tu restes enfermée dans un paradigme : celui où des espèces animales sont au service d'une autre.
Ça n'est pas parce que le pastoralisme fonctionne bien pour "valoriser" les espaces de moyenne montagne que c'est forcément le seul.
Et puis, si l'humain a besoin d'exploiter des animaux pour pouvoir vivre en montagne, le problème est peut-être la vie en montagne, justement.

Les impacts écologique et économique du véganisme sont réfléchis par des personnes, ça s'appelle de la politique.

Et deux rappels au passage : une alimentation entièrement végétale au niveau mondial a besoin de moinss de surfaces agricoles que les modes d'alimentation actuelle.
Et deux : le véganisme c'est la non-exploitation des espèces non humaines par l'espèce humaine, les rongeurs ou les insectes dans les champs de céréales n'ont aucun rapport avec le schmilblick. Champs de céréales qui seront de toute façon moinss nombreux si tout le monde mange végétal.

:)
 
Chocogrenouille":1vvmrr42 a dit:
Toi aussi tu restes enfermée dans un paradigme : celui où des espèces animales sont au service d'une autre.
Ben... dans mon paradigme les espèces animales se rendent service les unes aux autres, enfin je vois ça de cette manière, dans une forme de réciprocité.

Chocogrenouille":1vvmrr42 a dit:
Ça n'est pas parce que le pastoralisme fonctionne bien pour "valoriser" les espaces de moyenne montagne que c'est forcément le seul.
Et puis, si l'humain a besoin d'exploiter des animaux pour pouvoir vivre en montagne, le problème est peut-être la vie en montagne, justement.
Vu sous cet angle... mais ces populations de montagne... Où vas-tu les loger? Sur les surfaces agricoles de plaine qui devaient servir aux cultures?

Chocogrenouille":1vvmrr42 a dit:
Les impacts écologique et économique du véganisme sont réfléchis par des personnes, ça s'appelle de la politique.
C'est qui ces personnes?
T'en connais qui s'occupent de ce genre de planification toi en ce moment, des politiques? Moi j'ai plutôt l'impression qu'ils s'occupent des planifications de leur porte monnaie. Enfin si tu en connais, j'aimerais bien en savoir plus. Des exemples?

Chocogrenouille":1vvmrr42 a dit:
Et deux rappels au passage : une alimentation entièrement végétale au niveau mondial a besoin de moins de surfaces agricoles que les modes d'alimentation actuelle.
Je suis preneuse d'une étude qui en parle si tu as ça sous la main.
Et tu parles d'un système mondial, donc d'un système global et organisé. Personnellement, je me méfie beaucoup de la globalisation... et des circuits longs... une crise et PAF, fini les circuits de grande distribution qui assuraient l'approvisionnement des endroits reculés...

Chocogrenouille":1vvmrr42 a dit:
Et deux : le véganisme c'est la non-exploitation des espèces non humaines par l'espèce humaine, les rongeurs ou les insectes dans les champs de céréales n'ont aucun rapport avec le schmilblick.

Ben in fine... des animaux meurent pour assurer notre consommation humaine... donc moi si, je vois le rapport avec le schmili... schimilibi.... schmiliblick.
Même si tu n'appelles pas ça "exploitation" et que ça n'entre pas dans la définition du véganisme, le problème éthique reste, on élimine des vies non humaines à tour de bras pour que notre population humaine se sustente.
Alors que son degré d'évolution, si il lui permet d'avoir des raisonnements éthiques qui lui dictent de ne plus tuer son prochain pour le manger, devrait aussi lui permettre de ne plus avoir envie que son prochain meure dans un silo à blé ou sous une moissonneuse pour pouvoir manger des céréales en ville... Ou en montagne.

Un faon avec les 4 pattes sectionnées par une faucheuse... c'est quoi... un dommage collatéral?

C'est justement la globalisation et l'industrialisation le problème... et notre expension démographique...

Si chacun cultivait ses légumes, ses fruits, ses céréales pour sa famille... il n'y aurait pas de dommages collatéraux. :><:
 
Le problème c'est que dans la société actuel, et étant donnée l'état actuel des choses, c'est devenu trop compliqué de tout cultiver soi même (problème de temps dans une société ou tout va toujours plus vite, problème de terres, problèmes de moyens financiers avec une populations de plus en plus pauvre, ou de moins en moins riche si vous voulez) Quand j'étais petite je me rappelle que c'était le bonheur d'aller à la villa de mes grands parents ou on cultivait juste assez et bien, tomates, poireaux, carottes, radis, oignons, les surplus étaient en cadeau pour les voisins. Evidemment ce n'était peut être pas bio au sens strict du terme tel qu'on l'emploi aujourd'hui. Mais c'était authentique, sans pesticide sans ceci ou cela. Des tomates aux tomates quoi.
Après je crois que c'est aller un peu loin dans le raisonnement (je veux froisser personne) que de penser à la petite souris qui va mourir pour les cultures de céréales.
A un moment, on ne peut pas TOUT faire parfaitement, c'est impossible!
Déjà refuser l'exploitation industrielle, privilégier les circuits courts, le biologique. Si tout les omnivores faisaient cela, sa seraient déjà parfait en soi.
Oui je sais, il n'y a pas de mort bio. Mais vous préférez quoi entre l'industriel et le biologique? A choisir? Moi je préfère Vegan ^^ Mais bon on ne peut forcer personne à changer, juste à réfléchir.
Pour en revenir à nos moutons inutile de lancer le débat sur les "études", il y en a autant qui prouve que aller vers le végétal c'est bien, que d'études qui prouvent qu'un végétarien tue 25 fois plus d'animaux.
Demain je peux faire une étude poussée sur un sujet, sa ne veut pas dire que sa soit vrai si tant est que mon père soit journaliste par exemple, et que je puisse faire publier mon article et bien des centaines de personnes vont croire ce que je dis sans que les sources soient pour autant vérifier.
 
Kahte":3juo3w1d a dit:
Par contre c'est un article débile, on peut pas faire "Plus" puisque pour produire de la viande on produit des céréales. Donc une personne qui mangent de la viande, tue l'animal pour la viande, et les animaux pour les céréales. Sachant que on mange moins de céréales qu'une vache par exemple. On tue donc moins qu'une personne qui mangent de la viande, CQFD.

Le fond de l'article dit que 98% des bovins d'élevage broutent de l'herbe et que l'herbe c'est « gratuit » en terme de souffrance animale, car pas besoin de déforester contrairement aux céréales. Déjà, c'est à mon avis complètement faux car les pâturages sont tout sauf
naturels et le bétail mange très probablement autant de céréales en Australie qu'en France.

Ensuite, n'hésitez pas à dire à ceux qui partageront ce torchon que s'ils y croient, il faut alors qu'ils retirent complètement le végétal de leur assiette. Finies les tomates, pâtes, riz et haricots en accompagnement de leur steak tellement éthique. 100% barbaque, on va bien voir ce qu'ils en disent ... :zen:
 
Cet article est sans doute un des pires ramassis de bullshits que j'ai jamais lu ... et y a presque pas d'arguments en plus, si ce n'est qu'ils ont ni queue ni tête.
 
Cet article et ce site sont mensongers.
Ce site fait partie des sites "bullshits" qui véhiculent des buzz.
Voilà pourquoi il est visible.
 
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