Pour les personnes qui se souviennent comment j'ai décrit ma région natale quand j'ai débarqué ici...
Concernant la manif en question
Entrevue de monsieur Mauricio Garcia-Pereira
Et cette question absurde "pourquoi avez-vous été choqué ?". Mais faut répondre "pourquoi tu pose la question ? C'est ça qui est choquant".
Pourquoi on pose jamais cette question aux gens quand il y une affaire de meurtre d'enfant ?
Et la suivante "Pourquoi ne pas avoir agit avant", qui (à mon sens) sous entend toujours un peu de "complicité" et de "responsabilité".
Entrevue avec Sebastien Arsac
Vous noterez la note morale de la vidéo du flash info qui souligne le danger potentiel pour l'ouvrier que la bête puisse le toucher voire le blesser, par contre le danger pas du tout potentiel pour l'animal de probablement mourir conscient, ça ils ne l'ont toujours pas compris.
C'est commode de pointer du doigt le box pas adapté ou la maitrise aléatoire du pistolet par l'ouvrier plutôt que remettre en question la méthode d'abattage elle-même, qui est utilisées parce-que c'est la moins chère, et pour cette raison
uniquement.
Mais ce qui me choque dans la vidéo de L214, c'est qu'il y a encore quelques années je me souviens d'un énorme débat sur des images de vaches saignés (exactement comme ici) mais réalisées dans un box à contention (une "boite" cylindrique fermée avec juste la tête qui dépasse et une sorte d'étrier pour maintenir le menton), et qui étaient relâchées juste après le coup de couteau pour être suspendues la tête en bas, chose qui était parfaitement interdite, il fallait que la pauvre bête soit contenue je ne sais plus si c'était 5 ou 8 minutes afin que l'inconscience soit à peu près sure. Ici elles sont suspendues d'abord puis saignées, et ça semble normal... Je ne comprends pas.
Pour finir, toujours un bon mot de cet abrutit de Giraut :
https://www.youtube.com/watch?v=8pXozoWreUI <br /
br />
— Le 03 Déc 2016, 10:12, fusion automatique du message précédent — <br /
br /> Giraut qu'on entend jamais se plaindre du système agricole mortifère en soit, des succédanés du plan Marshall ou du prix de rachat du litre de lait aux exploitants à 25 centimes.