Moi Vivant pas Végane

Chocogrenouille":1mtc4vwl a dit:
Je reformule alors : oui pour moi il est important de nommer, de qualifier (ce que tu appelles étiqueter)

"étiqueter" J'ai dis: Je n'ai pas envie d'avoir une étiquette, toi si ?

Bref, coller des adjectifs génère une réaction souvent improductive et il vas falloir au moins 3 félicitation pour contrebalancer l’effet désiré. Par ce que la manipulation/influenciation positive fonctionne mieux en donnent des libertés qu'en fabriquant de nouveaux mur.

Chocogrenouille":1mtc4vwl a dit:
...et de mieux les combattre.

Donc c'est un combat contre les carnistes le véganisme?

Je comprends très bien que le "good cop bad cop" fonctionne pour manipuler le comportement culinaire des gents. De là à dire à quelqu’un qu'il est carniste, nécrophage ou inconscient ça ne vas que créer un conflit ou tout une plaidoirie à élaborer. Résultat: les Véganes peinturlurés se retrouve entre eux et les autre c'est tous des cons.

Alors vraiment, non je ne vois pas l’intérêt de ces mots, désolé.
Je suis végane donc je suis plus légitime de vivre que toi pauvre carniste c'est bien ça?

Spéciste ça veux rien dire, car oui je n'aime pas les punaises de lit et j'adore les chats. Bref c'est un ramassis d'idéologie totalitariste tout ça.

Pour faire avancer les consciences il faut rester connecté avec le vivant.

Tiens j'ai inventé un nouveau mot: Commentariste... :whistle:



Plantte on ne fait pas remettre les gents en question en leur collant le nez dans leur excréments. C'est la méthode pédagogique frontale du passé ça.
Pour faire remettre en question les gents il faut leur apporter du factuel. Dans le cas de la cause animale les exemple ne manque pas: l’espérance de vie d'un végétalien, les grands sportifs, monter sois même l'exemple, explique l'action des acides aminés qui fabrique les protéines, le cris de la carotte et l'interdépendence des plantes d'utiliser l'homme/animal pour transporter ces graines dans leur caca...

Montrer des image d’abattoir ça fonctionne bien car le lien de cause à effet est indirect et c'est le sujet qui fait ou pas le lien avec sa consommaction.

Merci de cultiver la réflexion en tout cas! Sinon ta "dissonance cognitive" je la nome "culpabilité inconsciente" ou encore carma...

les animaux souffrent ? non c'est pas possible :'(
 
"Les combattre" s'applique aux oppressions dans mon message, y'a pas de confusion possible. Donc oui le véganisme combat l'exploitation des animaux par l'espèce humaine, le spécisme combat le traitement différencié des espèces domestiquées, le féminisme combat l'oppression systémique des hommes sur les femmes, etc ... Nommer ces luttes les mets en valeur, ne pas le faire les invisibiliserait et ferait croire qu'il n'y a plus de problème.
Et non je n'ai pas peur des étiquettes, elles ne s'appliquent pas à moi mais à mes choix de vie, à mes combats politiques et servent à les identifier, à les revendiquer et à les propager.
 
Gaston":2vvk62wk a dit:
Plantte on ne fait pas remettre les gents en question en leur collant le nez dans leur excréments. C'est la méthode pédagogique frontale du passé ça.
Pour faire remettre en question les gents il faut leur apporter du factuel. Dans le cas de la cause animale les exemple ne manque pas: l’espérance de vie d'un végétalien, les grands sportifs, monter sois même l'exemple, explique l'action des acides aminés qui fabrique les protéines, le cris de la carotte et l'interdépendence des plantes d'utiliser l'homme/animal pour transporter ces graines dans leur caca...

Et bien en fait, je te dirais que oui et non.

On peut tous s'accorder sur le fait qu'il n'y a qu'une toute petite minorité de la population qui va devenir végane. Pour le moment, le profil de ceux qui vont faire le choix de devenir et de rester végane c'est : de la confiance en soi, une certaine discipline de vie, un contrôle de soi, une capacité à sortir de la norme, etc.

Il est tout à fait possible que les personnes qui fassent ce choix aujourd'hui dans des sociétés ou le véganisme est si marginal soient des personnes pour qui la méthode frontale fonctionne bien. Et demain, lorsque le véganisme sera un choix beaucoup plus simple et accessible à monsieur et madame tout le monde, peut-être que la méthode que tu proposes aura plus de sens.
 
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=fatfDUPiJ5U[/youtube]
 
Carniste ?

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=518NaebJgpA[/youtube]

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[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=NZXJ7zh3PJM[/youtube]
 
Je déterre un peu et revient à ton propos de départ. (je suis le fossoyeur de sujets ouai)

Tu dis entre autre qu'il ne faudrait pas définir personne selon les actes. Pourquoi donc ?
C'est bien ce qui définit le sens même d'une vie non figée et interconnectée. Il y a même ce qu'on appellera des religions (bases plutôt saines, elles) qui ont notamment comme fondation le rappel que toute existence et chose est vide par essence, et que ce sont les interactions avec le vivant, le monde, les autres et les transferts d'énergies qui font que les choses sont choses. (des actes)

Encore plus dans la sphère sociale. Toi qui semble être un puis de science et de connaissance, tu as surement au moins une fois entendu le vieux dicton "bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée", que l'ont pourrait mettre au gout du jour en disant "il vaut mieux

Au pourrait également dire que chez de plus en plus de personne, il est difficile de se sentir "fier d'être" quelque-chose qui nous est tombé du ciel (une nationalité, né dans telle commune, un patronyme), alors qu'être reconnu pour ce qui a été fait, c'est déjà bien plus investit comme démarche, et surtout bien moins passive. (sinon on reste dans la royauté, le régime des bien nés et la féodalité)

Bref, tout ça pour dire que définir (je et tu n'avons pas dis "réduire" hein) quelqu'un par ce qu'il fait, et à fortiori ce qu'il fait au temps présent (éventuellement donc en passant l'éponge sur des erreurs passées) me semble pas nécessairement une chose néfaste et à fuire comme la peste.

Et sinon accessoirement, je suis d'accord avec le discours global qu'on tenu les autres : la pensé étant induite par le langage (et non l'inverse), il est important de se réapproprier le langage (confisqué par nos grands prêtres médiatiques) et ainsi donner des mots aux maux, pour pouvoir les penser, et ainsi pouvoir penser les perspectives de solutions. (c'est le sujet du roman on ne peux plus d'actualité 1984 de Georges Orwell, ou les travaux actuels de conférenciers gesticulants comme Gaël Tanguy ou Franck Lepage, qui font un formidable boulot d'éducation populaire)

Et cet attachement au fait de savoir si l'emploi des mots en "-isme" c'est positif ou négatif me semble aussi pertinent que de savoir s'il faut interdire les marteaux parce-qu'il arrive que des gens s'en servent pour blesser ou tuer. (faire le focus sur l'outil plutôt que les mauvais emplois de celui-ci, une autre forme d'invisibilisation du problème)
 
Ton déterrage est mû par ce que je t'intrigue ou que tu aime batte le fer quant il est chaud ?

V3nom":ahhqrjus a dit:
Tu dis entre autre qu'il ne faudrait pas définir personne selon les actes. Pourquoi donc ?

Uniquement par les actes non en effet on en reviens au sujet de l’endoctrinement, du volontarisme.

Définir c'est un moyen servant à approcher l'illusion de comprendre les choses et un outil près-cieux pour savoir de quoi on parle dans un dialogue/échange.


V3nom":ahhqrjus a dit:
Toi qui semble être un puis de science et de connaissance, tu as surement au moins une fois entendu le vieux dicton "bonne renommée vaut mieux que ceinture dorée", que l'ont pourrait mettre au gout du jour en disant "il vaut mieux

Merci pour ton compliment qui me vas droit dans mon indifférence mais, non, culture et intelligence ne sont pas toujours de paire malheureusement. Mon plumage est bien ingrats et ma renommé est le cadet de mes soucis. Tant que l'on ne fait pas de mal au truies...

Tu as raison réapproprions nous le langage j'ai beaucoup de référence en commun avec toi en passent. Mais supprimons ce qui peut être toxique, évitons le langage SMS et l'anglicisme à outrance et surtout la langue de bois. Inspirons nous de ce qui à déjà été sondé par l’auto-hypnose la CNV, la communication bienveillante...


V3nom":ahhqrjus a dit:
Et cet attachement au fait de savoir si l'emploi des mots en "-isme" c'est positif ou négatif me semble aussi pertinent que de savoir s'il faut interdire les marteaux parce-qu'il arrive que des gens s'en servent pour blesser ou tuer. (faire le focus sur l'outil plutôt que les mauvais emplois de celui-ci, une autre forme d'invisibilisation du problème)
je suis bien d’accord avec toi, qu'esse qui t’empêches de croire le contraire?

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Gaston":f9bm9j90 a dit:
Ton déterrage est mû par ce que je t'intrigue ou que tu aime batte le fer quant il est chaud ?

La troisième option : donner une autre voix, un autre point de vue.

Mais bon, ce n'est plus d'actualité apparemment pour toi ici :! <br /:><:br /> — Le 25 Sep 2017, 19:21, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br /> Tiens je viens de voir qu'un bout d'une phrase a sauté dans mon dernier post de la page précédente. "il vaut mieux avoir essayé de faire qu'être resté passif, quand l'heure du bilan de sa vie arrive".

Et qui trouve écho dans nombre de dictons de tout plein de pays, et qui bizarrement se trouve assez en contradiction avec pas mal de discours dominants français qui tendent à diaboliser l'erreur, à cracher sur le doute, à voler l'actions non "non savants", à expertiser les champs d'études et finalement infantiliser la population entière.
 
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