Hello,
Apprentie végane, j'essaie de me renseigner un maximum pour étayer ma réflexion et donc mes futures comportements. Car pour moi, le véganisme n'est pas que changer sa façon de cuisiner et ne pas porter de produits animaux.
Après avoir la tribune de Libération du 18 mars et les réponses d'Aymeric Cameron et L214, je m'interroge.
OK, le premier texte était un ramassis de non-arguments fumeux. Mais sur l'exploitation animale et les relations avec les animaux, les réponses étaient peu claires. Elles visaient probablement à ne pas diviser davantage les véganes, les végétariens...
Cela étant, à moins de se couper du monde animal, il est difficile de ne pas avoir de relations avec eux. Or, je me demandais du coup si travailler avec les animaux était si atroce que cela.
Ce que j'ai en tête serait une commune qui sauverait des abattoirs ou d'une exploitation des chèvres, des moutons... et leur offrirait des conditions de vie sympas avec l'argent des impôts locaux. serait-ce si terrible qu'elle amène (à pattes) le "troupeau en question" brouter les espaces verts ou entretenir les parties boisées. Un animal qui broute est, en la matière, productif jusqu'à sa belle mort (de vieillesse). Exit tondeuses et vive les clochettes (je sais qu'il y a eu des procès contre les clochettes et les chants de coq, mais bon...)
Apprendre à jardiner les espaces verts avec ces animaux serait plutôt sympa, non?
Dans la même veine de questions, comment apprendre le respect (et l'amour) dû aux animaux si on n'a pas d'interactions avec eux dès le plus jeune âge. Comment apprendre à communiquer et susciter le désir de communiquer avec eux si on ne les fréquente pas? Je ne parle pas d'animaux sauvages et de zoos mais d'animaux domestiqués. Sauver une vache ou une poule, c'est cool mais comment susciter cette envie chez les enfants? chez les adultes? Du coup, je me dis que la fameuse commune qui aurait des animaux pourrait les laisser dans un pré (avec des protections et des étables, des poulaillers...) pour que les classes puissent venir faire des activités pratiques comme donner des soins, nourrir..., pour que les maisons de retraites fassent une sortie "on va voir les vaches" afin d'apaiser les retraités (ben oui, voir des vaches, des moutons... ça peut sans doute apaiser autant qu'un aquarium et en plus, ça fait marcher et prendre l'air).
Bref, je pensais à ce type de travail pour les animaux avec bonne nourriture, soins vétérinaires, accès libre à la nature, pas de transport en camion... Serait-ce si terrible? Qu'en pensez-vous?
Apprentie végane, j'essaie de me renseigner un maximum pour étayer ma réflexion et donc mes futures comportements. Car pour moi, le véganisme n'est pas que changer sa façon de cuisiner et ne pas porter de produits animaux.
Après avoir la tribune de Libération du 18 mars et les réponses d'Aymeric Cameron et L214, je m'interroge.
OK, le premier texte était un ramassis de non-arguments fumeux. Mais sur l'exploitation animale et les relations avec les animaux, les réponses étaient peu claires. Elles visaient probablement à ne pas diviser davantage les véganes, les végétariens...
Cela étant, à moins de se couper du monde animal, il est difficile de ne pas avoir de relations avec eux. Or, je me demandais du coup si travailler avec les animaux était si atroce que cela.
Ce que j'ai en tête serait une commune qui sauverait des abattoirs ou d'une exploitation des chèvres, des moutons... et leur offrirait des conditions de vie sympas avec l'argent des impôts locaux. serait-ce si terrible qu'elle amène (à pattes) le "troupeau en question" brouter les espaces verts ou entretenir les parties boisées. Un animal qui broute est, en la matière, productif jusqu'à sa belle mort (de vieillesse). Exit tondeuses et vive les clochettes (je sais qu'il y a eu des procès contre les clochettes et les chants de coq, mais bon...)
Apprendre à jardiner les espaces verts avec ces animaux serait plutôt sympa, non?
Dans la même veine de questions, comment apprendre le respect (et l'amour) dû aux animaux si on n'a pas d'interactions avec eux dès le plus jeune âge. Comment apprendre à communiquer et susciter le désir de communiquer avec eux si on ne les fréquente pas? Je ne parle pas d'animaux sauvages et de zoos mais d'animaux domestiqués. Sauver une vache ou une poule, c'est cool mais comment susciter cette envie chez les enfants? chez les adultes? Du coup, je me dis que la fameuse commune qui aurait des animaux pourrait les laisser dans un pré (avec des protections et des étables, des poulaillers...) pour que les classes puissent venir faire des activités pratiques comme donner des soins, nourrir..., pour que les maisons de retraites fassent une sortie "on va voir les vaches" afin d'apaiser les retraités (ben oui, voir des vaches, des moutons... ça peut sans doute apaiser autant qu'un aquarium et en plus, ça fait marcher et prendre l'air).
Bref, je pensais à ce type de travail pour les animaux avec bonne nourriture, soins vétérinaires, accès libre à la nature, pas de transport en camion... Serait-ce si terrible? Qu'en pensez-vous?