Salutations, c'est Zigzag.
J'habite Paris, chausse du 36 et, tout en exprimant violemment mes émotions (pas sur Internet, et pas ici!), tout en répondant à tout (répartie qui arrive parfois APRES la conversation, on a tous.tes connu ceci!), je veux tout dévorer, et m'engouffrer toute la joie du monde (et je suis mal coiffé).
Concernant le thème du forum, je suis une jeune pousse (17 ans!) devenue végétarienne peu avant le Bac de Français qui portait sur... la souffrance animale. Je trouvais la dissonnance cognitive insupportable : la conscience implique le devoir (ou adultes et nourrissons auraient les mêmes attitudes... qui me contruit une piscine à balles? )Selon trois pôles, donc : les Autres Animaux (le bien-être d'une part, l'antispécisme d'autre part), le Développement Durable (écologie et développement des pays du Sud), et accessoirement la santé. Même si je trouve l'engouement un peu exagéré (tous.tes des obsédé.e.s! )
Végétarisme puis végétalisme,transition d'une semaine pour le premier, de deux pour le deuxième. C'est rapide, mais cela témoigne d'idées que j'avais des le début : comme certains bambous qui grandissent par segments. Pas le véganisme, dans la mesure où je vis chez mes parents (et n'achète donc pas les produits vaisselle ni lessive), cela dit pas de cuir ni de spectacles animaliers ni exploitations de mon plein gré.
J'ai évoqué ma répartie, et de fait, je réponds à tous les arguments anti-végan avec éloquence (sauf quand je m'énerve que tuer des milliards d'animaux par caprice paraisse normal à 98 % des Français). J'ai d'ailleurs remarqué que les arguments spécistes et antivégan se répètent alors que je découvre chaque jour de nouveaux avantages au véganisme. Aux welfaristes qui ne comprennent pas le véganisme, j'explique généralement que c'est un double combat : contre la cruauté d'une part (les animaux sont maltraités) ,contre le specisme d'autre part (quant bien même ils vivraient chez les Bisounours, la "gentille exploitation" reste de l'exploitation). Les welfaristes ne prenant en compte que le premier combat. Et que oui , la crevette est un animal (c'est un animal ce truc?). Je ne sais pas si mon explication est pertinente, j'espère car je l'ai utilisée une cinquantaine de fois.
Sinon, c'est simplissime, cela parait radical et complexe mais non, c'est rapide, même pour un gastronome qui n'aime pas beaucoup les pâtes, qui adorait le saumon et qui a du mal avec la texture des graines.
Vous pouvez me dire elle (mon genre) ou iel (je ne suis non binaire qu'à l'interieur!)
Je ne pense pas être assidue. Cela dit je lis vos messages depuis une semaine.
Ce post est 10 fois trop long. Je vous aime tous.tes.
J'habite Paris, chausse du 36 et, tout en exprimant violemment mes émotions (pas sur Internet, et pas ici!), tout en répondant à tout (répartie qui arrive parfois APRES la conversation, on a tous.tes connu ceci!), je veux tout dévorer, et m'engouffrer toute la joie du monde (et je suis mal coiffé).
Concernant le thème du forum, je suis une jeune pousse (17 ans!) devenue végétarienne peu avant le Bac de Français qui portait sur... la souffrance animale. Je trouvais la dissonnance cognitive insupportable : la conscience implique le devoir (ou adultes et nourrissons auraient les mêmes attitudes... qui me contruit une piscine à balles? )Selon trois pôles, donc : les Autres Animaux (le bien-être d'une part, l'antispécisme d'autre part), le Développement Durable (écologie et développement des pays du Sud), et accessoirement la santé. Même si je trouve l'engouement un peu exagéré (tous.tes des obsédé.e.s! )
Végétarisme puis végétalisme,transition d'une semaine pour le premier, de deux pour le deuxième. C'est rapide, mais cela témoigne d'idées que j'avais des le début : comme certains bambous qui grandissent par segments. Pas le véganisme, dans la mesure où je vis chez mes parents (et n'achète donc pas les produits vaisselle ni lessive), cela dit pas de cuir ni de spectacles animaliers ni exploitations de mon plein gré.
J'ai évoqué ma répartie, et de fait, je réponds à tous les arguments anti-végan avec éloquence (sauf quand je m'énerve que tuer des milliards d'animaux par caprice paraisse normal à 98 % des Français). J'ai d'ailleurs remarqué que les arguments spécistes et antivégan se répètent alors que je découvre chaque jour de nouveaux avantages au véganisme. Aux welfaristes qui ne comprennent pas le véganisme, j'explique généralement que c'est un double combat : contre la cruauté d'une part (les animaux sont maltraités) ,contre le specisme d'autre part (quant bien même ils vivraient chez les Bisounours, la "gentille exploitation" reste de l'exploitation). Les welfaristes ne prenant en compte que le premier combat. Et que oui , la crevette est un animal (c'est un animal ce truc?). Je ne sais pas si mon explication est pertinente, j'espère car je l'ai utilisée une cinquantaine de fois.
Sinon, c'est simplissime, cela parait radical et complexe mais non, c'est rapide, même pour un gastronome qui n'aime pas beaucoup les pâtes, qui adorait le saumon et qui a du mal avec la texture des graines.
Vous pouvez me dire elle (mon genre) ou iel (je ne suis non binaire qu'à l'interieur!)
Je ne pense pas être assidue. Cela dit je lis vos messages depuis une semaine.
Ce post est 10 fois trop long. Je vous aime tous.tes.