Les bouchers-charcutiers demandent à être protégés face à « la violence » végane

Du coup il faudrait péter des hublots de cargos (je ne connais pas l'architecture d'un cargo en fait, peut être qu'ils en ont pas) ?

"Si on veut que les choses change, peut-être faudrait-il s'en prendre aux personnes qui dirigent le monde et non aux personnes qui sont déjà très affaiblies."

Cette phrase contredit celle là:

"On ne peut pas imposer notre façon de manger, de vivre ou de penser aux autres sinon nous sommes dans la dictature."
Si on veut faire changer les choses c'est qu'on veut imposer notre point de vue aux autres ( même les riches sont des personnes ).
 
Sauf que tu et nous sommes gouvernés par eux.
Je parle du pouvoir. Des personnes qui dirigent le monde.
Les habitants des différents pays ne dirigent pas le monde.

Le monde c'est la planète toute entière.

Et "s'en prendre" : je voulais dire par là, plutôt que de casser des commerces, il faudrait leur parler à ces hauts dirigeants.

Les médicaments sont testés sur les animaux. Comment on fait si on est malades ? On en prend ou pas ?

Ce que je veux dire dans mes messages c'est que je ne comprends les actes même peu nombreux de violences envers les plus faibles alors que ce sont les plus forts qui font que les personnes n'aient plus aucunes libertés.
(ça dépend avec quelle arme tu tire sur les cargos).
 
HaricotPrincesse":2exshoav a dit:
Faire germer l’idée que L214 puisse porter plainte pour diffamation est déjà pas mal.

Oui, les propos sont très possiblement diffamatoires. Mais, pour les faire cesser, faut-il aller en justice ou simplement faire comprendre qu’on est prêt à le faire si ça continue ? Ça ne m’étonnerait pas que L214 tente cette deuxième approche.

H.

Je ne vois pas de problème à aller en justice. Les plainte pour diffamation sont monnaie courante (surtout entre personnes médiatisées), je ne vois pas pourquoi L214 se priverait alors que c'est gagné d'avance, et ça permettra d'avoir une action supplémentaire qui met symboliquement la justice du côté de L214 contre les bouchers/chasseurs. (C'est d'ailleurs l'option qui a finalement été choisie.). Obtenir une victoire par la justice, c'est gagner des points en légitimité.

HaricotPrincesse":2exshoav a dit:
S’en prendre à des abattoirs ou à des sociétés de transformation (comme l’a fait 269Life LA chez Aoste) me semble plus pertinent : de telles entreprises sont bien plus dépersonnalisées et bien plus symboliques du système carniste généralisé que de petits commerces.

Oui. Et pour moi, bien plus que de savoir si "le vandalisme, c'est bien", "le vandalisme, c'est pas bien", "c'est juste/pas juste", "la fin justifie les moyens" ou "les moyens transforment la fin" (=> si on fait appel à la violence, c'est difficile d'obtenir un but final non violent... Problème : On a peut-être autant d'exemples que de contre-exemples. Des conflits où les escalades de la violence sont interminables pendant des décennies, ou au contraire des conflits où les rapports de forces sont suffisamment disproportionnés pour que le gagnant écrase totalement le perdant et que ça mette fin à l'escalade.)...

Bref, plutôt que de débattre éternellement pour savoir si le vandalisme sur les petits commerçants est moralement justifié pour mettre fin à l'horreur permanente subie par les animaux, il suffit de faire un constat : Les débats que ça engendre dans l'ensemble de la population.
Pour la majorité de la population, c'est manifestement perçu comme une injustice envers des innocents, les petits commerçants vandalisés. Le gain de ces actions pour la cause animale semble être bien maigre comparé aux désavantages. Autrement dit : globalement, les animaux semblent être perdants. (Parce qu'on est déjà dans une réalité déconnectée de ce que vivent les réelles victimes, qui ne sont déjà plus présentes et qu'on a bien du mal à invoquer.)

Et si on se met un peu dans la tête de la population non-végétarienne, de la majorité de la population, on comprend bien que c'est beaucoup plus facile d'obtenir leur soutien, leur compréhension, de renverser leur point de vue en choisissant correctement ses cibles.
Et choisir comme cibles les abattoirs, c'est infiniment plus intelligent. Les consommateurs ne vont pas acheter leur viande dans les abattoirs, ils n'ont pas de lien affectif avec :><: les abattoirs. Les abattoirs sont le lieu que les consommateurs préfèrent faire sortir de leur esprit. C'est le lieu où les victimes sont tuées, torturées, dépecées. C'est là qu'est la violence (celle qui est impossible à nier, parce qu'elle y est permanente, contrairement à la violence des élevages).
Ca demande beaucoup plus d'efforts pour se rendre incapable de comprendre les actions dirigées contre les abattoirs. C'est donc beaucoup plus facile d'obtenir l'assentiment de la population grâce à ces actions.

(Et finalement, ça n'est peut-être pas tellement le fait que les bouchers soient des petits commerçants, le problème. Le problème, c'est qu'eux ne tuent pas, ils ne font que travailler de la matière morte qu'ils achètent. S'ils tuaient les animaux juste devant leur boutique, comme ça s'est fait par le passé, les vandales auraient probablement moins de mal à obtenir le soutien de la population. Quand un individu isolé torture ou tue publiquement un animal, la vindicte populaire n'a aucun mal à s'exprimer -même de la part des spécistes-.)
 
Tigresse, je pensais à ma situation: je suis végéta*ienne, mon compagnon omni, nos enfants mangent viande et poisson.
Pour changer les comportements, je devrais "imposer" mon végéta*isme à mes enfants, ça ferait autant d'animaux sauvés. Mais quel respect de leur libre choix ferais-je alors?
 
@Patronette

Je pense que cette seule question pourrait être le sujet d'un post à lui tout seul, je vais tenté de donner mon avis sur la question...
Pour moi tout dépend de comment fonctionne le couple de parents sur la question.
-> Si tu es dans une optique d’acceptante mutuelle des choix de chacun auxquels cas pourquoi ne pas faire de même avec ses enfants sans attendre de changement de comportement
- Soit ce n'est pas le cas et il est difficile d'amener, je pense, des enfants sur le sujet avec un des deux parents ayant une approche complètement opposée.

Et de manière générale, plutôt que "imposer", j'emploierais plutôt le terme (ou méthode) "informer" si je souhaitais faire changer les choses.

Pour ma part, je ne me vois pas avoir un enfant sans (tenter de) lui transmettre les valeurs qui m'animent, dont entre autres celles qui font que je ne considère pas normal de faire souffrir / tuer des animaux pour un simple plaisir gustatif.
 
Patronette":1m9oeu57 a dit:
Tigresse, je pensais à ma situation: je suis végéta*ienne, mon compagnon omni, nos enfants mangent viande et poisson.
Pour changer les comportements, je devrais "imposer" mon végéta*isme à mes enfants, ça ferait autant d'animaux sauvés. Mais quel respect de leur libre choix ferais-je alors?

Je suis dans la même situation que toi. Pour l'instant, la règle appliquée le plus souvent est "c'est celui qui cuisine qui décide". J'ai parfois de bonnes surprises, comme ce midi, où ma fille a dit qu'elle préférait les haricots rouges aux saucisses de Strasboug !
 
Je n'"ai" pas encore d'enfant mais c'est en projet.

Ma copine n'est pas végétalienne mais à la maison, oui (en dehors elle mange de temps en temps les oeufs/fromages et poissons).

On a déjà pas mal discuté du végétalisme et des enfants, et je lui ai dit que pour moi, si on avait des enfants, ils mangeraient végétaliens à la maison et que j'attendais d'elle qu'on soit le plus cohérent possible dans la transmission de ces valeurs (respect des animaux).

Pour moi, si elle n'est pas d'accord avec cela, je préfère ne pas avoir d'enfants car sinon il y aurait trop de conflits.

Ma position peut paraître un peu dure j'imagine de l'extérieur mais bon ...

Établir des règles, transmettre des valeurs, éduquer cela fait parti de notre rôle.

Le respect du libre arbitre de la vie animale me parais bien plus important que le libre arbitre culinaire humain quand bien même il s'agirait de nos enfants.
 
Les adultes imposent tout à leurs enfants : là où ils vivent, leur rythme de vie, s'ils voient beaucoup leurs parents (il y a des parents qui travaillent plus que d'autres), où ils partent en vacance, s'ils ont leur propre chambre, une pratique religieuse (parfois)… et leur alimentation. C'est vrai pour tous les parents. Je ne vois pas ce qu'il y a de si particulier à imposer un régime végétalien à son enfant. Les autres leur imposent leur régime omnivore.

Après, on peut envisager de laisser les enfants choisir ce qu'ils mangent chez les autres mais, sur d'autres sujets, certains parents imposent leurs idées et pratiques à leurs enfants même chez les autre et ça n'est pas forcément considéré comme illégitime.
 
Patronette, je viens d'une époque où si tu bouffais pas ce qu'il y avait dans ton assiette, t'allais au coin. Donc bon, sans aller jusqu'à cette extrémité, tu proposes un menu (sans viande) et t'acceptes en compromis qu'on puisse pas aimer les chicons ou les brocolis. Mais sûrement pas faire trois menus différents ! Tes enfants peuvent toujours manger viande et poisson ailleurs (cantine, grands-parents, jours où c'est le père qui cuisine,...)
 
Je ne vois pas ce qu'il y a de si particulier à imposer un régime végétalien à son enfant.

J'irais même plus loin: si tu n'enseignes pas tes idées et valeurs à tes enfants (en imposant bien sûr leur application), c'est le reste de la société et l'Etat qui va le faire à ta place, de manière bien plus coercitive (via l'école, et via un conformisme social dans les groupes dans lesquels ils se retrouveront). L'idée de "libre choix éclairé", est une arnaque.
On peut même dire que dans le système actuel, ce sont les parents qui sont les plus investis dans la transmissions de leurs idées et valeurs à leurs enfants qui ont le plus d'influence sur tous les autres. Ceci, parce que dans le contexte de l'école, ce sont ces valeurs qui ressortiront le plus souvent dans les groupes d'enfants (ces valeurs étant par ailleurs très souvent racistes, homophobiques, etc).

Apprendre à ton enfant que ce qui compte, ce n'est pas de faire comme les autres, mais bien de prendre en considération tous les autres, ça n'est pas forcément ce qui le rendra le plus heureux ou épanoui; mais comme il n'y a pas que lui qui compte, c'est quelque chose qu'il doit comprendre et intégrer. Je dirais même lui apprendre à ouvrir sa gueule sur ce qu'il voit (c'est quelque chose qui s'apprend, oui).
 
Une vitrine cassée à Saint-Julien, je crois que c'est la première en Haute-Savoie.
http://www.lemessager.fr/genevois/video ... 932n204110

La réaction pas du tout carniste du maire :rolleyes: :
« Les fascistes antispécistes qui veulent vous interdire de manger de la viande contre votre gré se sont attaqués cette nuit à une boucherie de Saint-Julien. En parallèle de l’enquête en cours et par solidarité avec les excellents bouchers de Saint-Julien, je vous propose cette semaine de vous souvenir en mangeant beaucoup de viande que l’on peut débattre, échanger et dialoguer sans violence. »
 
James64":ungs2kw9 a dit:
Je n'"ai" pas encore d'enfant mais c'est en projet.

Ma copine n'est pas végétalienne mais à la maison, oui (en dehors elle mange de temps en temps les oeufs/fromages et poissons).

On a déjà pas mal discuté du végétalisme et des enfants, et je lui ai dit que pour moi, si on avait des enfants, ils mangeraient végétaliens à la maison et que j'attendais d'elle qu'on soit le plus cohérent possible dans la transmission de ces valeurs (respect des animaux).

Pour moi, si elle n'est pas d'accord avec cela, je préfère ne pas avoir d'enfants car sinon il y aurait trop de conflits.

Ma position peut paraître un peu dure j'imagine de l'extérieur mais bon ...

Établir des règles, transmettre des valeurs, éduquer cela fait parti de notre rôle.

Le respect du libre arbitre de la vie animale me parais bien plus important que le libre arbitre culinaire humain quand bien même il s'agirait de nos enfants.

Bonsoir,

Avoir des enfants est un choix.
On leur donne la vie et la mort.
Comment peut-on imposer nos choix d'adultes à des enfants ?
L'alimentation est au départ biologique. Ensuite nous avons nos idées. Mais on ne peut pas imposer une alimentation à des enfants ni à personne d'autres. C'est comme imposer de la nourriture végane à des chats ou des chiens alors que Biologiquement ils ne sont pas du tout fait pour cela.

Comment allez-vous faire si vos enfants ont des problèmes de santé ? Si il leur faut des apports nutrutionnels qui sont à l'encontre de vos idées ?
 
Bonsoir,

Il y a tout un tas de choses qui nous sont imposé lorsque l'on naît. Que cela soit par les règles du pays, les valeurs du moment et autres règles de la famille. Le régime alimentaire n'en serait qu'une de plus. (tu remarqueras qu'on ne fait pas non plus ce que l'on veut avec la nourriture, on n'a pas le droit de manger des chiens, chats, gorilles, humains et autres).

A partir du moment où l'alimentation végétalienne comble tous les besoins, pourquoi auraient ils des problèmes de santé ? Qu'est-ce qu'il manquerait à leurs régimes en partant du principe que le régime végétalien est bien mené/équilibré ?

Donc à moins d'avoir pas de chance/une mauvaise génétique, il n'y a pas de raison que le régime végétalien ne soit pas adapté. Et si par mal chance ils appartiendraient à ces 1% pour qui cela ne serait pas adapté, alors il y a toujours possibilité de se diriger vers des fruits de mer, oeufs poule house et ou lait du genre ahimsa milk.
 
Oui on naît avec les "codes" de la société et selon le pays.

La nourriture n'est pas la même selon les pays. Au Vietnam par exemple, on mange le chien. D'ailleurs à Hanoï on vient d'interdire cette "pratique" à cause du tourisme.
J'ai pu voir le marché aux chiens. C'est atroce. Mais c'est leur mode de vie.


Je voulais dinstinger ce que nous devons faire et respecter en tant qu'enfant et ce que nous pouvons avoir comme liberté.

La liberté ne veut pas dire faire tout et n'importe quoi.

En tant que parents, nous ne pouvons pas imposer des convictions personnelles. Que ce soit la nourriture, la religion, le travail futur de nos enfants, les goûts musicaux ou cinématographiques, ou autres...


J'ai adoré être à la ferme petite. Et j'ai adoré manger du pâté le matin. J'ai tué les lapins, les cochons et puis j'ai grandi et j'ai tout arrêté. Mais au moins j'ai eu cette liberté.
Comme pour la religion.


Nous sommes parents, mais peut-être que nos enfants ne sont pas à notre image. Et si les parents veulent que leurs enfants soient à leur image, alors pour ma part, c'est une injustice totale. Les enfants n'ont pas demandé à venir au monde, aussi je ne pense pas qu'il faille leur imposer nos idées personnelles. Leur expliquer oui. Mais pas imposer.
 
Tout le monde a le droit à des libertés mais de manière générale elles ont pour limites là ou commence celles des autres. (ne pas tuer, ne pas voler, ne pas être violent etc)

Personnellement je ne souhaite pas éduquer mes éventuels enfants à la loi du plus fort. Je ne vais pas lui donner ma bénédiction par exemple si il prend la liberté de s'en prendre à d'autres humains plus faibles que lui. C'est pareil avec les animaux, comme dit précédemment : Le respect du libre arbitre de la vie animale me parais bien plus important que le libre arbitre culinaire humain quand bien même il s'agirait de nos enfants.

Seule la survie/la santé me forceraient à m'en prendre aux animaux pour moi et ou mes enfants.

Que à la maison cela soit interdit pour bien comprendre que c'est "mal" (de mon point de vu en tout cas) je ne pense pas que cela soit une mauvaise chose. Il pourra toujours braver cet interdit à l'extérieur si il le souhaite vraiment ou bien lorsqu'il quittera le foyer.

Edit : je ferais tout pour les sensibiliser au respect de la vie animale là où d'autres parents de manière inconsciente transmettront à leurs enfants que les animaux n'ont pas plus de valeur que des objets.
 
J'avais répondu à ton dernier message.
Un enfant, ta femme, je ne met pas cela sur le même plan que la vie des animaux.
je respecte ton opinion malgré que cela me dépasse.

Et je n'ai jamais compris que l'on puisse imposer aux êtres que l'on aime des choses qui vont à l'encontre de leur épanouissement personnel.
P.S : La survie. Si tous les médecins, les industriels, et autres n'imposaient pas leur lois, des miliions et des millions de personnes ne seraient pas dans la survie.

Merci en tout cas.
 
Je ne vois pas en quoi apprendre le respect des animaux et ou à les aimer irait contre l'épanouissement personnel, c'est même tout le contraire...

Moi non plus, je ne met pas sur un même plan les humains avec les autres especes. Mais entre un plaisir égoïste et la vie d'un animal intelligent, je fais la part des choses.

Si l'on devait suivre ton raisonnement, quelqu'un qui prendrait du plaisir à taper les chiens ne devrait pas se le voir interdire comme c'est actuellement le cas (passible de deux ans de prison).
 
En quoi tuer c'est moins une idée personnelle que ne pas tuer ?
Tu as eu la liberté d'arrêter de manger des anh en grandissant, et les enfants nés vgl auront la liberté de commencer en grandissant également.
Ton argumentaire suppose que faire suivre la masse à un enfant est une liberté et l'en distancier est une restriction, je ne vois pas en quoi ce présupposé est évident.

Je te rejoins sur le fait que personne n'a demandé à naître, c'est peut être le problème de base sur lequel il faudrait se pencher après tout.
 
James64":2rg00r4e a dit:
Je ne vois pas en quoi apprendre le respect des animaux et ou à les aimer irait contre l'épanouissement personnel, c'est même tout le contraire...

Moi non plus, je ne met pas sur un même plan les humains avec les autres especes. Mais entre un plaisir égoïste et la vie d'un animal intelligent, je fais la part des choses.

Si l'on devait suivre ton raisonnement, quelqu'un qui prendrait du plaisir à taper les chiens ne devrait pas se le voir interdire comme c'est actuellement le cas (passible de deux ans de prison).

Pensez vous que de tuer des animaux toute la journée soit une partie de plaisir pour les personnes qui ont ce métier ?

Comment serions nous, nous même nés si on regarde l'histoire de l'humanité ? Nous ne sommes que les descendants de plusieurs générations. Ont-ils été tous végétaliens ou véganes avant ?

Comment pensez-vous le monde et quelles sont vos idées pour que les humains et les animaux soient en totale harmonie sur cette planète ? Nous sommes des milliards. Comment allez-vous faire pour les ressources naturelles, comment allez-vous faire pour les maladies des animaux ? C'est peut-être mes questions essentielles.

Comment faire si des animaux sont malades ou porteurs de maladies mortelles ? Allez vous les soignez, les faire enfermer ou les tuer ?
Avez vous assez d'argent pour soigner tous les animaux ? Et aussi avez vous les connaisances pour faire vivre tout ce "monde" en harmonie (Humains et animaux).

Je ne suis ni médecin, ni vétérinaire. Et je n'ai même pas toutes les connaissances encore pour faire un potager bio.

Pour finir, la violence n'est pas que physique. C'est aussi psychologique. Et nous ne pouvons pas imposer nos idées à des enfants. Ce sont des enfants pas des adultes.

Merci de votre réponse.
 
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