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  • Auteur de la discussion Anonymous
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Hélène Thouy, la tête de liste du parti animaliste est passé aux grandes gueules sur RMC, elle gère :cool: : replay.

Bon les grandes gueules ont fait un jolie florilège du bingo carniste, mais bon :whistle:

Sinon, le Partij vor de Dieren (la version néerlandaise) est crédité de 5% d'intentions de votes :D

J'espère aussi que le parti animaliste belge fera parler de lui. D'ailleurs pour les vegewebiens belges, qu'elle image en avez-vous ? Je suis que de loin...

Leur affiche de campagne pour les européennes m'a tué :)

Affiche.Nationale.2019-1.jpg
 
Tigresse":2pag7m5a a dit:
Cool, l'affiche.
Au fait, t'es installé ici, maintenant ?

Pas encore, mais je désespère pas :)
Je me heurte à mon niveau de néerlandais qui est pas assez élevé pour bosser dans le secteur public sur Bruxelles :whistle:

D'autant que le Beyond Meat est vendu dans les supermarchés chez vous, vous êtes déjà dans le futur. Ça donne encore plus envie de venir :p
 
Bon, alors, je vais un peu te désillusionner : on a goûté : j'ai trouvé que ça avait un goût d'aliment industriel (est-ce que ça se rapproche tant que ça de la viande ? J'en sais rien, ça fait trop longtemps que je n'en ai plus mangé), mon copain trouvait ça très ressemblant aux hamburgers de friterie bon marché (après, ça fait plusieurs années qu'il est végétarien aussi).
Bref, gustativement, c'est pas ce qu'il y a de meilleur comme burgers chez Delhaize. Et vu le prix, on va pas en racheter de si tôt.
 
Skud":31r17nhd a dit:
Hélène Thouy, la tête de liste du parti animaliste est passé aux grandes gueules sur RMC, elle gère :cool: : replay.

Bon les grandes gueules ont fait un jolie florilège du bingo carniste, mais bon :whistle:

J'ai écouté ça.
L'agriculteur se surpasse en faisant une comparaison entre le boeuf qui se contente de manger de l'herbe et le végane pollueur mangeur de soja OGM qui détruit l'Amazonie.
Hélène Thouy avait beau dire que le soja pour fabriquer le tofu provenait de cultures françaises, impossible qu'il écoute. Mais bon ça ne m'étonne pas de cette émission.
 
C'est bien le problème des "Grandes Gueules". Souvent elles disent n'importe quoi mais essayent de convaincre l'auditoire en criant le plus fort. L'agriculteur en es le parfait exemple...
 
Hop une petite news des Pays-Bas, ou c'était tendu hier...

Une centaine de militants de tous pays (néerlandais, belges et allemand surtout) se sont rassemblés dans une ferme. Ils ont bloqué la ferme toute la journée.
Entre temps, de nombreux éleveurs se sont rassemblé autour d'eux...Ces derniers ont d'ailleurs renversé quelques voitures de militants, bien picolé et organisé un barbecue de protestation :rolleyes:

De nombreux activistes ont été arrêtés, reste à voir ce que tout ça va donner.
L'action était coordonnée par l'asso "Meat the Victims". Je suis pas fan d'ordinaire des "actions d'occupations" mais là pour le coup, j'apprécie. Le côté international et avoir profité du fait que des gens de nombreux pays étaient là est une bonne initiative (d'autant plus pendant une période pré électoral européenne ^^)


J'ai pas vu d'articles en français sur le sujet pour le moment, mais il y a toujours celui-ci de Dutch News en anglais : Police end pig farm occupation, dozens of activists arrested
 
Mobilisation à Paris pour des cirques sans animaux sauvages
Plusieurs associations de défense des animaux se sont rassemblées, jeudi, à Paris, pour demander l’interdiction des cirques avec ce genre de spectacles.
Par Mathilde Gérard, Le Monde, 16/05

Sur une pancarte se dessine la silhouette de la tigresse Mévy, abattue en novembre 2017 dans Paris après s’être échappée de son cirque. Sur une autre, celle de l’éléphant Tyke, qui avait connu le même sort en 1994 après avoir été pris d’un coup de folie à Honolulu (Hawaï).
A l’appel de Paris Animaux Zoopolis, association née en 2017 qui lutte contre la captivité animale, plusieurs organisations (One Voice, L214, Parti animaliste) et des dizaines de militants ont participé à un rassemblement, jeudi 16 mai, à quelques pas de la place de la République, à Paris, pour demander une loi interdisant les cirques avec des animaux sauvages. Une question sensible, au point qu’une présentation avec des animaux, initialement prévue par des circassiens le même jour et sur cette même place, a été annulée.
Difficile, à ce jour, de savoir précisément combien d’animaux sauvages se trouvent actuellement sous les chapiteaux de France. Un registre doit être établi à partir de la base de données d’identification de la faune sauvage protégée (I-FAP), qui oblige depuis 2017 à renseigner la « fiche d’identité » de chaque animal sauvage en France. L’association Code Animal, qui milite contre la captivité de la faune, estime à deux mille environ le nombre d’animaux sauvages détenus par une centaine de cirques en France, principalement des tigres, lions, macaques, babouins, éléphants et zèbres.

Un « amusement aux dépens des animaux »
Transports longs, déplacements constants, conditions de captivité inadaptées entraînant des stéréotypies (comportements répétitifs), techniques de dressage, positions contre-nature… les associations, à l’instar de L214, dénoncent un « amusement aux dépens des animaux ». En réponse, les circassiens mettent en avant le fait que les bêtes, pour la plupart nées dans les cirques, n’ont pas connu d’autre environnement et ont des besoins différents de leurs congénères en liberté.
« Il faut des milliers d’années pour modifier les besoins physiologiques des espèces », réfute Sophie Dol, vétérinaire praticienne à Paris et présente dans la manifestation. Une position rejoignant celle de la Fédération des vétérinaires d’Europe (FVE), qui regroupe des organisations vétérinaires de plus de trente-cinq pays, et qui considère, dans un avis rendu en juin 2015, que « les animaux [en captivité] ont le même patrimoine génétique que leurs homologues dans la nature et conservent les pulsions et besoins de leur comportement instinctif naturel ». La FVE, dont est membre l’Ordre national des vétérinaires français, s’est ainsi positionnée contre l’utilisation de mammifères sauvages dans les cirques itinérants, arguant de « risques graves tant pour la santé animale que pour la santé et la sécurité publiques ».
Plusieurs pays ont pris, ces dernières années, des mesures interdisant la présence d’animaux sauvages dans les cirques itinérants. Selon un recensement de Code Animal, vingt-huit Etats ont adopté une interdiction totale, parmi lesquels la Belgique, l’Italie ou le Mexique. Le dernier en date à s’être positionné en ce sens est le Royaume-Uni, dont le ministre de l’environnement, Michael Gove, a présenté, le 1er mai, un projet de loi.
Plusieurs autres pays ont instauré une interdiction partielle, locale ou par catégories d’espèces. En France, des dizaines de villes ont pris des arrêtés d’interdiction, mais un grand nombre d’entre eux ont été annulés par la justice. D’autres villes ont émis des souhaits non contraignants, comme Strasbourg ou Lille, qui a adopté, le 4 avril, un vœu de « retrait progressif des animaux sauvages dans les cirques ».

Une détention réglementée en France
Interpellé par une question écrite du député socialiste Régis Juanico, le ministère de la transition écologique et solidaire a répondu, le 30 avril : « En l’état actuel du droit une interdiction générale de cirques avec animaux n’est pas recevable, du moins bien entendu pour les cirques qui respectent la réglementation et ne présentent pas de risque pour la sécurité. »
En France, la détention d’animaux non domestiques dans des spectacles itinérants est réglementée par un arrêté du 18 mars 2011, qui stipule que « les animaux doivent être entretenus et entraînés dans des conditions qui visent à satisfaire leurs besoins biologiques et comportementaux, à garantir leur sécurité, leur bien-être et leur santé ».
A la demande du ministère, un groupe de travail sur le bien-être de la faune sauvage captive a été mis en place au printemps, réunissant douze représentants des professions circassiennes, douze associations de protection animale et des maires. Deux réunions sur quatre ont déjà eu lieu, la prochaine se tiendra le 23 mai. Cette commission doit remettre des propositions au ministre au début de l’été.
« On ne pourra pas se contenter d’aménagements et de tailles de cages », met en garde Sophie Dol. Les associations mettent en avant le fait que les cirques peuvent se réinventer sans animaux à quatre pattes. De plus en plus de compagnies, comme les cirques Phénix, Romanès ou Joseph Bouglione, ne proposent plus de spectacles avec animaux. Le cirque autrichien Roncalli est allé plus loin encore, en investissant 500 000 euros pour créer des hologrammes de fauves et de primates, et compte présenter un numéro avec un… robot acrobate.
 
Par les temps électoraux qui courent où dominent l'ultralibéralisme et la xénophobie , c'est toujours ça de pris... :)

Avec plus de 2% des voix, le Parti animaliste estime avoir obtenu "un beau succès"
JDD / le 26 mai 2019 / Par Mathilde Durand
Le Parti animaliste français obtient entre 2,2 et 2,4% des votes aux élections européennes selon les premières estimations. Un "beau succès" estime la tête de liste Hélène Thouy.
Le Parti animaliste obtient plus de 2% des votes lors de ces élections européennes, selon les dernières estimations. Classé parmi "les petits partis", il se hisse finalement au-dessus de la liste Alliance jaune de Francis Lalanne ou encore l’Union Populaire Républicaine (UPR) de François Asselineau. Une victoire, juge pour le JDD la tête de liste Hélène Thouy, avocate girondine engagée pour la cause animale. "A la lumière de notre budget, de nos moyens de communication et de notre exposition médiatique, c’est un beau résultat."
Si le score est évidemment insuffisant pour obtenir un eurodéputé - il faut 5% pour envoyer un élu à Bruxelles -, il a doublé par rapport au dernier sondage Ipsos pour France Info et Radio France, dans lequel le parti était crédité d'1,5% des intentions de vote. Au niveau européen, les défenseurs des animaux obtiennent deux eurodéputés allemands. Au Pays-Bas et en Espagne, les partis de défense de la cause animale obtiennent respectivement 3,6% et 1,5% des voix.
Le parti dénonce les conditions de vote
En France, le parti animaliste dénonce toutefois les conditions du scrutin. "Nous avons reçus des signalements de fraude", assure Hélène Thouy. Nous avions livré comme prévu nos bulletins de votes, tout notre budget y est passé, et dans certains bureaux ils n’étaient pas sur la table." L'avocate dit envisager des recours, évoquant un "potentiel électoral énorme".
Né en 2016, le parti pour la défense des animaux avait décidé pour cette élection de présenter un programme de 148 mesures sur le thème unique de la défense de la cause animale. Lors des élections législatives de 2017, la formation avait obtenu environ 1,1% des voix.
https://www.lejdd.fr/Politique/avec-plu ... es-3901000 <br /:><:br /> — Le 27 Mai 2019, 04:32, fusion automatique du message précédent — <br /:><:br /> Bis...

Européennes 2019 : le Parti animaliste crée la surprise parmi les « petits »
Le parti, créé en 2016, obtient 2,2 % des voix, doublant son score des législatives de 2017. C’est presque autant que les voix obtenues par le Parti communiste (2,3 %).
Par Mathilde Gérard, Le Monde, Publié le 27/05

Parmi les petites listes, c’est celle qui a le plus créé la surprise : sans avoir été invité à aucun des débats entre candidats organisés sur les principales chaînes télévisées, le Parti animaliste a recueilli, selon les estimations, 2,2 % des suffrages exprimés en France aux européennes du dimanche 26 mai. C’est plus que la liste Urgence écologie de Dominique Bourg (1,8 %), l’Union populaire républicaine de François Asselineau (1,2 %) ou Lutte ouvrière (0,8 %) et presque autant que les voix qui se sont portées sur le Parti communiste emmené par Ian Brossat (2,3 %).
Pour sa deuxième participation à un scrutin, le jeune parti créé en novembre 2016 double son score obtenu aux élections législatives de 2017 (1,1 %) et ce malgré des accusations d’irrégularités et de non-distribution de ses bulletins dans certains bureaux. Sa tête de liste, Hélène Thouy, avocate au barreau de Bordeaux, qui a notamment défendu l’association L214, peut se targuer d’une enviable progression qui s’explique notamment par un positionnement monothématique sur un sujet longtemps dédaigné par les partis politiques – la condition animale –, mais qu’un nombre croissant d’associations veut porter à l’agenda.
A Bruxelles, des organisations en défense de la cause animale se sont regroupées au sein d’une plateforme, Eurogroup for animals, pour faire avancer leurs dossiers au sein du Parlement et de la Commission européenne, et ont fait signer un « plaidoyer pour les animaux » par plus de 1000 candidats. Car c’est bien à l’échelon bruxellois que se jouent de nombreux dossiers affectant le bien-être animal, notamment à travers la politique agricole commune, mais aussi plusieurs directives déterminant les conditions de transport d’animaux d’élevage, ou les modalités de pêche, pisciculture ou d’expérimentation animale.
Le soutien de personnalités médiatiques
Le parti animaliste propose près de 150 mesures dans son programme, ciblant dans leur grande majorité la souffrance des animaux d’élevage, mais portant également sur la chasse, la corrida, les cirques ou les expérimentations scientifiques. La formation peut compter sur un militantisme de terrain, qui permet à ses drapeaux violets de figurer en bonne place dans les rassemblements anti-corridas ou contre l’utilisation de la faune sauvage dans les cirques, et sur une présence marquée sur les réseaux sociaux.
Le parti a par ailleurs reçu le soutien de personnalités médiatiques. Quelques jours avant le scrutin, une cinquantaine d’acteurs, animateurs et chanteurs - parmi lesquels, outre l’incontournable Brigitte Bardot, figurent Claude Lelouch, Laurent Baffie, Laura Smet, Virginie Lemoine, Anny Duperey, Dave… - ont signé une tribune appelant à « prendre le parti des intérêts des êtres sensibles ».
Si le score de la liste animaliste en France ne lui permet pas d’envoyer d’eurodéputé à Strasbourg, ni d’obtenir un remboursement de sa campagne, en Allemagne, le Parti de la protection des animaux obtient 2 sièges avec 1,5 % des voix.
 
Vu dans le métro ce matin, sur les grands panneaux d'affichage :
affiche-metro-couic2019-actu-web.jpg

Welfarm est controversée mais c'est toujours mieux qu'une pub pour McDo.
 
Leur position est vraiment curieuse : ils cherchent à améliorer les conditions d'exercice de la violence sur les animaux. Imaginons qu'en quelques années, ils obtiennent des lois qui réduisent à (presque) rien les mutilations, séquestrations et autres violences apparentes sur les animaux d'élevage. Est-ce qu'ils arriveraient à cette conclusion logique : "en France, 1 milliard d'animaux terrestres sont toujours assassinés chaque année ?"
 
Comme beaucoup, j'oscille entre deux réactions (le militantisme n'est pas une science exacte) : juger les incohérences de la posture welfariste du point de vue de l'abolitionnisme ; être malgré tout en faveur de tout ce qui peut réduire la souffrance animale, ici et maintenant.
 
René Dumont":16a3zbf0 a dit:
Si nous voulons protéger l’environnement, il faut freiner du même coup la consommation de viande, la fabrication des autoroutes et des autos, l’urbanisation délirante, l’anarchie des résidences secondaires, l’industrialisation sans frein, la surconsommation d’énergie…
Voilà l’actualité, dans Le Monde diplomatique, en aout… 1974.

H.
 
René Dumont, un des pères de l'écologie en France. Il n'avait pas la langue dans sa poche surtout en comparaison avec les leaders d'EELV actuels...

Et pendant ce temps là :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=s4mbiZ51lho[/youtube]
 
On avance...

L’interdiction de la vente d’éléphants sauvages à des zoos est en bonne voie
La capture de pachydermes dans la nature pour des structures de maintien en captivité est une pratique considérée comme « cruelle » par les défenseurs de la cause animale.

Le Monde avec AFP Publié le 19/08/2019

La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (Cites) a fait dimanche 18 août un pas important vers l’interdiction de la vente d’éléphants sauvages à des zoos. Une « victoire historique » saluée par les écologistes.
Une large majorité de pays ont décidé de limiter strictement les ventes d’éléphants sauvages d’Afrique à celles destinées à maintenir les animaux dans leur environnement naturel. Ils ont donc, de fait, interdit la capture pour des structures de maintien en captivité (parcs zoologiques, parcs de loisirs…), une pratique considérée comme « cruelle » par les défenseurs de la cause animale.
La proposition, qui a rassemblé 46 votes pour, 18 contre et 19 abstentions, a donc atteint dans l’une des deux commissions la majorité des deux tiers requise pour être adoptée. Il faudra néanmoins qu’elle soit approuvée en séance plénière le 28 août, lors de la réunion de clôture de la conférence de la Cites sur les espèces menacées.
« Cette décision va sauver un nombre important d’éléphants arrachés à leurs familles dans la nature et contraints de passer leurs vies emprisonnés dans des zoos dans des conditions médiocres », s’est félicitée Iris Ho, du groupe de protection animale Humane Society International (HSI) à Washington, citée dans un communiqué.

Modifier le degré de protection accordé aux animaux
La vente d’éléphants d’Afrique de l’Ouest, du Centre et de l’Est, qui figurent depuis longtemps parmi les espèces protégées, était déjà interdite, à la différence de ceux d’Afrique australe, moins menacés. Le Zimbabwe a ainsi capturé et vendu plus de 100 bébés éléphants à des zoos chinois depuis 2012, selon la HSI.
« Cette décision préliminaire affirme de manière forte que les éléphants n’appartiennent pas à l’industrie du divertissement », a réagi dans un communiqué Cassandra Koenen, responsable de la faune sauvage au sein de la Société mondiale de protection des animaux (WSPA). « C’est un pas considérable dans la bonne direction », a-t-elle ajouté.
Ce vote est le premier de la conférence de la Cites de l’ONU sur les espèces menacées qui se tient depuis samedi et jusqu’au 28 août à Genève, en Suisse. Des milliers de délégués – responsables politiques et des experts de la conservation – venus de plus de 180 pays y débattent de 56 propositions visant à modifier le degré de protection accordé aux animaux et aux plantes sauvages.
Créée il y a plus de quarante ans, la Cites fixe les règles du commerce international de plus de 35 000 espèces de faune et de flore sauvages et dispose d’un mécanisme qui lui permet d’imposer des sanctions aux pays qui ne respectent pas ces règles. Cette réunion survient après la publication d’un rapport de l’ONU en mai annonçant qu’un million d’espèces étaient menacées de disparaître.
 
L'Allemagne envisage de tripler la TVA sur la viande.
Le plus extraordinaire, c'est que même le porte parôle des affaires agricoles en positif. C'est pas demain la veille qu'on verra autant d'ouverture dans l'oeil de nos dirigeants...
https://dailygeekshow.com/surtaxer-viande-allemagne/
 
Avertissement pour les personnes sensibles : les images illustrant l'article sont des photos de morceaux de viande en boucherie

Je crains un peu que les allemands proches des frontières fassent leurs courses carnées dans les pays limitrophes, et donc davantage de pollution causés par les déplacements motorisés.
 
Tout ce qui pollue et/ou est (assez) mauvais pour la santé doit être cher (cigarettes, alcools, sodas, charcuteries, etc). La taxe est le moyen le plus efficace de modifier le comportement des "consommateurs réfractaires" même si certains trouveront toujours des combines pour acheter ailleurs et moins cher (comme faire 200 bornes en bagnole pour passer la frontière).

Bravo à l'Allemagne pour cette décision ! :)
 
Je me demandais pourquoi l'entreprise "Drôme Cailles" ne répondait plu à mes courriels répétés sur l'enquête L214 en début d'année. Leur première réponse (en début d'été) indiquait que l'enquête avait relevé une parfaite conformité aux règles (alors même que les images révélées par L214 étaient insoutenables), depuis : silence radio ...

Et bien cette entreprise a fermé grâce à L214 ! Bravo à toutes celles et ceux qui se sont mobilisés d'une manière ou d'une autre.

Article L214 : https://www.l214.com/enquetes/2019/elev ... nce/caille
Article FRANCE 3 région : https://france3-regions.francetvinfo.fr ... 97984.html

les clients ont tourné le dos à l’entreprise qui se retrouve en liquidation judiciaire.

Montrer l'horreur que subissent les animaux semble fonctionner parfois. On lâche rien ...
 
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