Une question de Politiscales (le test d'opinion politique) m'a semblée intéressante et peut se rapporter au véganisme :
Les changements individuels peuvent provoquer des changements de société.
Un ami, tout en étant presque végétarien (il consomme de la viande lorsqu'il est invité) reproche au véganisme de n'être qu'un changement individuel : ce n'est pas en arrêtant les produits animaux chez soi qu'on aura une chance de mettre fin à l'élevage. Il a donc répondu non à la question ci-dessus. Certes, il y a un aspect économique (le boycott), mais à notre échelle, c'est insignifiant. Le véganisme en soi n'est pas politique, ce sont ses extensions (l'antispécisme et l'animalisme) qui le sont. Le véganisme relève de la sphère privée, l'antispécisme et l'animalisme, de la sphère publique.
Mais peut-on seulement compter sur la sphère privée pour provoquer un changement ? Une autre question de politiscales, assez proche, dit : c'est par la consommation (et non par des lois) qu'on change les choses (ce n'est pas le texte exact, mais peu me chaud, le sens est le même). Autrement dit : qui vient en premier, des moeurs ou de la loi ? (une question très classique parait-il).
Bref, je voulais savoir ce que vous en pensiez : changement individuel, changement social... ?
Les changements individuels peuvent provoquer des changements de société.
Un ami, tout en étant presque végétarien (il consomme de la viande lorsqu'il est invité) reproche au véganisme de n'être qu'un changement individuel : ce n'est pas en arrêtant les produits animaux chez soi qu'on aura une chance de mettre fin à l'élevage. Il a donc répondu non à la question ci-dessus. Certes, il y a un aspect économique (le boycott), mais à notre échelle, c'est insignifiant. Le véganisme en soi n'est pas politique, ce sont ses extensions (l'antispécisme et l'animalisme) qui le sont. Le véganisme relève de la sphère privée, l'antispécisme et l'animalisme, de la sphère publique.
Mais peut-on seulement compter sur la sphère privée pour provoquer un changement ? Une autre question de politiscales, assez proche, dit : c'est par la consommation (et non par des lois) qu'on change les choses (ce n'est pas le texte exact, mais peu me chaud, le sens est le même). Autrement dit : qui vient en premier, des moeurs ou de la loi ? (une question très classique parait-il).
Bref, je voulais savoir ce que vous en pensiez : changement individuel, changement social... ?