Projet étudiant de création d'entreprise : Compléments alimentaires à base d'insectes

Ou c'est comment faire compliqué quand on peut faire simple :rolleyes:
 
Tiens sinon il y a les légumes secs :Les légumes secs au secours du climat

Quelques mois après l’accord de Paris sur le climat, il est nécessaire de rentrer dans une phase d’action pour maintenir l’élévation de la température moyenne mondiale en deçà de 2°C, voire de 1,5°C. L’agriculture et l’alimentation peuvent et doivent contribuer à cet objectif. Et aussi étonnant que cela puisse paraitre, les légumes secs y ont toute leur place ! (lol) D’une part, leur introduction dans les rotations culturales permet de diminuer les apports d’engrais azotés, fortement émetteurs de gaz à effet de serre.

D’autre part, leur introduction dans les régimes alimentaires humains permet de diversifier les sources de protéines, notamment par la substitution de la part des produits animaux au profit des produits végétaux, contribuant ainsi à des régimes alimentaires moins émissifs en gaz à effet de serre. Pourtant, la France est un faible consommateur de légumes secs (niveau deux fois plus faible que la moyenne européenne) mais également faible producteur avec l’importation de près de 80% de nos besoins en légumes secs pour l’alimentation humaine.

Il y a peut être une entreprise à faire la dedans en France :kiss:
 
framboise":2qaca585 a dit:
Je ne connais aucun végé qui le soit pour éviter les famines humaines ...
Ca a été une grosse part du déclic qui m'a fait devenir végé (le fait de ne pas "voler de la nourriture à d'autres" + éviter la pollution/le gaspillage).
Mais très vite, je me suis rendue compte que le problème ne s'arrêtait pas là.
 
Du coup je rectifie en disant que je n'en connais pas beaucoup :whistle:
 
Moi ça faisait partie de la raison. En fait ce qui m'a vraiment convaincu c'est le côté "tout en un". En changeant une seule chose on a un impact positif pour les animaux, pour l'environnement, pour éviter d'aggraver les inégalités nord/sud, etc.
 
Idem pour ma part : je me dis qu'on a vraiment, vraiment, vraiment AUCUNE raison de continuer à consommer comme nous le faisons.
 
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