Que pensez vous de l'alcool?

C'est intéréssants de voir tous ces points de vues sur l'alcool! C'est très ancré dans notre société en tout cas. Mais il y a une différence entre un verre pendant le repas, et les soirées arrosées qui finissent au petit matin. L'aspect social est évidement au premier plan. ce qui pose problème c'est lorsqu'on en vient à boire tout seul, ou ceux qui on' l'alcool mauvais, sinon, je ne vois où "c'est mal". Personnelement, j'ai arrêté de fumer, et je suis devenue végétarienne, mais je n'ai pas du tout envie d'arrêter de boire! (enfin, la seule raison qui me ferait arrêter à 100% c'est si j'attendais un enfant)
ça fait quelques années que je suis sur bordeaux et j'ai découvers de bons vins, avec du fromage par exemple, c'est un vrai plaisir. J'adore boire du cidre en mangeant des crèpes. Je suis une grande fan de musique, et un bon gros concert de rock sans bière, ça ne me parle pas. (d'ailleurs je fréquente quelques lieux, assos/ clubs de concerts qui sont vg, il y a donc des bières non filtrées a la graisse de porc, et des encas vg proposés également, donc c'est assez cool!) sinon.. Un petit vin blanc pour un apéro en fêtant l'obtention d'exams.. siroter un mojito en terrasse d'un bar, au soleil.. du whisky pour fêter un anniversaire! Bref, c'est un contexte social, et je bois très rarement jusqu'à me sentir mal, car je connais mes limites et finalement, un verre me dure longtemps pendant une soirée donc je ne bois pas tant que ça. Enfin, je bois souvent, mais en petites quantités! Donc ça reste un plaisir. Mais évidement c'est aussi une question de goûts, il y a des alcool que je n'aime pas, donc je n'en bois pas, ce n'est pas juste boire de l'alcool pour être dans un état second. D'ailleurs, parfois je n'ai pas envie de boire et je reste aux jus de fruits en soirées, je ne reçois pas de réfléxions.
Mais vu que je suis encore jeune, je pense que ce point de vue évolue avec l'age, suivant le boulot, les responsabilités etc.. Mais pour l'instant je profite :)
 
mopi je diiirt que k l'"alcoom l faaurt pas en consommeffrr !: end pluis çà sertf à riejsn !ddddddddqd d :bourre:
 
Et une aspirine et un grand verre d'eau pour Roro.
 
Je déteste ça personnellement.

Les antécédents dans ma famille doivent pas aider j'imagine (grand-mère très alcoolique, elle n'a jamais réussi à se sortir de sa dépendance à l'alcool ni de sa dépression, et mon père est un alcoolique notoire, mais c'est loin d'être le pire de ses défauts...).

Quand j'étais toute gamine, je finissais les fonds de canettes de bière de mon père (heureusement qu'il n'en restait pas grand chose...) alors que je trouvais ça dégueulasse. Je sais pas pourquoi je faisais ça, peut être que ça amusait les gens autours ?
Ca n'a pas duré longtemps cela dit.

Arrivée vers mes 16/17 ans, j'ai été entourée de gens qui voulaient me faire picoler et fumer. Je n'ai jamais cédé sur la cigarette, mais j'ai goûté l'alcool vite fait, chez les parents d'une amie, par curiosité (et sûrement parce qu'on me tannait avec ça aussi). J'ai goûté du martini, et je trouve ça dégueulasse. Je pense que si j'ai bu une dizaine de verre d'alcool de toute ma vie, c'est le bout du monde.
J'ai fini par arrêter d'en boire parce que j'aime pas qu'on me force à faire des choses, parce que je trouve l'alcool dégueulasse (et rien que sentir au dessus des verres, ça me brûle alors j'imagine même pas si je devais en boire) et parce que c'est quelque chose que j'éxècre au final.
Je refuse qu'il y ai de l'alcool chez nous (on en achète un peu pour les fêtes), mais sinon bien souvent quand on reçoit des gens y'a pas d'alcool.

J'ai vraiment une vision négative de l'alcool, je comprend pas l'engouement des gens pour ça. Alors à la limite je peux comprendre ceux qui aiment l'alcool pour le goût, et qui le savoure.
Mais j'ai jamais compris mes "potes" qui se déchiraient à finir limite inconscients, ou à plus savoir parler, enfin je sais pas, les gens deviennent lourds quand ils ont bu. J'aime pas ça.
J'ai l'impression que l'atmosphère change autours de moi et ça me met très mal à l'aise (c'est peut être juste dans ma tête).
Après j'ai de la chance, si mon copain a picolé un peu comme tout le monde étant jeune, maintenant il ne boit que très peu (un apéro de temps en temps, ou il apprécie une bière fraîche l'été).

Je vois vraiment ça comme l'un des fléaux de notre société, et je pense que ce qui ne fait que renforcer mon dégoût envers l'alcool c'est le comportement et les réactions des gens quand on boit pas, ou qu'il n'y a pas d'alcool.

Je compte pas me marrier, mais si ça devait arriver un jour, je ferai une cérémonie végé et sans alcool, premièrement parce que je ne verrai pas ça autrement, et pour le plaisir d'aller à l'opposé de tout le monde.
 
Grim":qgyh1aw7 a dit:
. Alors à la limite je peux comprendre ceux qui aiment l'alcool pour le goût, et qui le savoure.
Il y a des boissons alcoolisées savoureuses ,certes , mais ce qui est recherché dans l'alcool , ce n'est pas tant le goût (il n'en a pas) que ses effets psychotropes : détente psychique , désinhibition des processus mentaux primitifs , perte de l'auto-critique (tout ce qui permet de stimuler les échanges sociaux dans un monde étrange où on joue très souvent un rôle)
Grim":qgyh1aw7 a dit:
Mais j'ai jamais compris mes "potes" qui se déchiraient à finir limite inconscients, ou à plus savoir parler, enfin je sais pas, les gens deviennent lourds quand ils ont bu. J'aime pas ça.
C'est dur à comprendre cette mode du "binge-drinking" où on cherche vraiment à se torcher le plus rapidement possible , et à ne plus se souvenir du reste . Les dégâts dans le cerveau sont considérables chez les jeunes ....En plus des conduites à haut risque :mmm:

Beaucoup boivent pour noyer une souffrance , mais ça ne l'enlève pas pour autant : on devient déprimé avec la perte de l'effet de l'alcool , et on est poussé à continuer pour ne pas ressentir cette dépression , qui finit quand même par arriver
Oui , c'est une drogue dure pour certain(e)s, socialement acceptée car admis comme pratique culturelle et associée à toute une économie nationale , responsable de plusieurs dizaines de milliers de morts par an par diverses causes.
:(
 
Je comprends très bien le binge driking, je buvais que comme ça quand j'étais "jeune". Etant donné la pression que la norme sociale exerce sur nous, être saoulx permet d'être autrement, donc une libération ponctuelle par rapport aux impératifs sociaux.

J'en connais aussi qui picol(ai)ent pas mal car c'est plus simple de boire que de consommer d'autre chose.
 
Moi, je buvais pas jusqu'à ce que je rencontre des Végéwébiens. Puis j'ai découvert que je pouvais aimer certains alcools, puis je suis rentré dans une phase où il fallait que je me sociabilise davantage et donc, déjà que je mangeais pas normalement, si je ne buvais pas, c'était pas gérable. Puis y'a eu une période pendant ma thèse où boire des verres avec des gens était ma seule source de décompression de la journée, donc je décompressais souvent. Et puis maintenant, je bois beaucoup moins parce que je supporte de moins en moins les lendemains difficiles. Donc en gros, quand je picole beaucoup, c'est parce que je suis à une soirée où y'a pas grand chose à manger pour un végétalien, ou alors que je suis avec des Végéwébiens. :p

Mais je suis bien d'accord que l'alcool est un fléau et qu'on s'en porterait mieux sans.
 
Je n'ai jamais vraiment aimé. Ca ne m'a pas empêché d'être quelque fois (mais 3-4 fois seulement) bourré (pas à tituber non plus !).

Je n'ai jamais aimé les alcools, vins et bières mais j'appréciais bien un cocktail quand j'allais au resto par exemple. Mais plus maintenant. Ca ne me dit plus rien du tout et je n'apprécie même plus boire un petit verre de kir. Même la Sangria bien fraîche en été ne passe plus. Il n'y a que le cidre doux qui passe bien car on ne sent quasi pas l'alcool (c'est du jus de pomme en fait vu le taux d'alcool).

Donc fini pour moi tout ça. Jamais vraimé aimé et je ne suis plus dans cette mentalité "faisons ce que font les autres pour s'intégrer".
 
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