janic
Fait crier les carottes
Dans les discours VG revient souvent ce mot secte avec la volonté de se distinguer des autres « véritables » sectes.
Le terme secte (dont Monsieur et Madame Tout Le Monde se servent sans connaître le sens exact) vient du grec HAIRESIS qui signifie choix, élection, intention, recherche, règle de conduite, école, faction, et qui deviendra en latin secta de sequi, suivre. Ce terme a pris un sens péjoratif qui signifie aujourd’hui : laid, méchant, pas bon.
C’est ce dernier sens qui est retenu suite à certains scandales religieux ou pas d’ailleurs.
Mais aux yeux de l’Etat, représentant la partie majoritaire de la population d’un pays, ce qui est retenu c’est l’aspect séparé, non dans la norme ; aussi tous les efforts (louables en soi et même nécessaires) ne changeront rien à l’affaire. Secte sont les VG, secte ils resteront jusqu’à ce que la majorité de la population s’y soit convertie.
Pour prendre un exemple historiquement connu de tous : le christianisme ! Considéré comme une secte au sein du judaïsme, puis dans l’empire romain, il obtiendra ses lettres de noblesse lorsque l’empereur romain Constantin 1° en fera la religion d’Etat et de ce fait les autres religions en place deviendront à leur tour des sectes. Lorsque le protestantisme se distinguera du catholicisme par ses revendications à la liberté de conscience et de choix de sa foi, il sera considéré comme une hérésie, une secte qui au fil du temps trouvera aussi ses lettres de noblesse pour être considéré comme une véritable religion et tous les courants minoritaires resteront de ce fait des sectes.
Pour faire une distinction entre les sectes, certaines vont être considérées comme dangereuses par les détenteurs du pouvoir. Or toute séparation est dangereuse puisqu’elle est le résultat d’une remise en question du bien penser, du conformisme.
Une maxime biblique dit : « On reconnait un arbre à ses fruits » Or combien parmi ceux et celles cataloguées comme secte par les Etats sont effectivement dangereuses ? Deux, trois, dix et combien sont des minorités actives cataloguées comme telles mais gênant seulement des systèmes en place ? Si la MIVILUDES considère le végétalisme comme dangereux, ce n’est pas parce que par-ci, par là quelques enfants ou adultes sont décédés pour ne pas avoir suivi la ligne directrice, mais parce que cela sert de repoussoir pour de futurs adeptes et conforte ainsi le dogme de la bidoche indispensable à la santé prêchée par les incontestables scientifiques officiels.
Donc plutôt que d’essayer de convaincre autrui que les VG ne sont pas des sectes, pourquoi ne pas expliquer ce que c’est qu’une secte au sens étymologique du mot et en montrer la pertinence par l’aspect positif d’être différent ?
Le terme secte (dont Monsieur et Madame Tout Le Monde se servent sans connaître le sens exact) vient du grec HAIRESIS qui signifie choix, élection, intention, recherche, règle de conduite, école, faction, et qui deviendra en latin secta de sequi, suivre. Ce terme a pris un sens péjoratif qui signifie aujourd’hui : laid, méchant, pas bon.
C’est ce dernier sens qui est retenu suite à certains scandales religieux ou pas d’ailleurs.
Mais aux yeux de l’Etat, représentant la partie majoritaire de la population d’un pays, ce qui est retenu c’est l’aspect séparé, non dans la norme ; aussi tous les efforts (louables en soi et même nécessaires) ne changeront rien à l’affaire. Secte sont les VG, secte ils resteront jusqu’à ce que la majorité de la population s’y soit convertie.
Pour prendre un exemple historiquement connu de tous : le christianisme ! Considéré comme une secte au sein du judaïsme, puis dans l’empire romain, il obtiendra ses lettres de noblesse lorsque l’empereur romain Constantin 1° en fera la religion d’Etat et de ce fait les autres religions en place deviendront à leur tour des sectes. Lorsque le protestantisme se distinguera du catholicisme par ses revendications à la liberté de conscience et de choix de sa foi, il sera considéré comme une hérésie, une secte qui au fil du temps trouvera aussi ses lettres de noblesse pour être considéré comme une véritable religion et tous les courants minoritaires resteront de ce fait des sectes.
Pour faire une distinction entre les sectes, certaines vont être considérées comme dangereuses par les détenteurs du pouvoir. Or toute séparation est dangereuse puisqu’elle est le résultat d’une remise en question du bien penser, du conformisme.
Une maxime biblique dit : « On reconnait un arbre à ses fruits » Or combien parmi ceux et celles cataloguées comme secte par les Etats sont effectivement dangereuses ? Deux, trois, dix et combien sont des minorités actives cataloguées comme telles mais gênant seulement des systèmes en place ? Si la MIVILUDES considère le végétalisme comme dangereux, ce n’est pas parce que par-ci, par là quelques enfants ou adultes sont décédés pour ne pas avoir suivi la ligne directrice, mais parce que cela sert de repoussoir pour de futurs adeptes et conforte ainsi le dogme de la bidoche indispensable à la santé prêchée par les incontestables scientifiques officiels.
Donc plutôt que d’essayer de convaincre autrui que les VG ne sont pas des sectes, pourquoi ne pas expliquer ce que c’est qu’une secte au sens étymologique du mot et en montrer la pertinence par l’aspect positif d’être différent ?