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  • Auteur de la discussion Anonymous
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Jusqu’à fin décembre, les dons à L214 sont doublés.
Plusieurs donatrices et donateurs de l’association croient en l’efficacité de notre action : ils ont souhaité aller plus loin dans leur soutien. Cette année, ils ont décidé de doubler tous les dons réalisés jusqu’à fin décembre dans la limite de 185 000 €.
On va proposer ça (parmi d’autres) à des gens qui voudraient nous faire un cadeau pour les fêtes de fin d’année. En plus, c’est déductible d’impôts, y compris dans les autres pays de l’Union européenne.

=> Par ici les soussous ! <=

H.
 
HaricotPrincesse":1kcw7zr4 a dit:
En plus, c’est déductible d’impôts, y compris dans les autres pays de l’Union européenne.

A condition d'être imposable :gné:
 
Merci d'avoir relayé l'info.
Il y a des choses intéressantes dans l'article, notamment l'aveu sur le fait que certains abattoirs auraient du mal à recruter pour "nourrir le monde" tellement la filière serait "montrée du doigt".

Une info sur la sécheresse et le fourrage :
https://www.leprogres.fr/rhone-69-editi ... riculteurs

Dormez, braves gens, les changements climatiques n'existent pas ... :whistle:
 
Balika":1yt8da4q a dit:
Merci d'avoir relayé l'info.
Il y a des choses intéressantes dans l'article, notamment l'aveu sur le fait que certains abattoirs auraient du mal à recruter pour "nourrir le monde" tellement la filière serait "montrée du doigt".

Ils en parlent dans le documentaire "les saigneurs". Du coup, ils augmentent beaucoup les salaires. Un des mecs de l'abbatoir présenté dans le documentaire avait également expliqué après une projection qu'il leur arrive aussi d'avoir du personnel qui parle tres peu français. Car ce sont parfois les seuls à accepter de faire ce travail.
Cet employé était venu en compagnie d'un des réalisateur. Sinon le film à peu d'intérêt. Il dénonce le "travail à la chaîne", ça aurait très bien pu être tourné dans n'importe quel usine. J'ai pas saisit pourquoi faire ça dans un abbatoir sans jamais montrer les animaux (ou trop peu).

Pour ce qui est arrivé à l'antenne lyonnaise de Save Movement. C'est affligeant. Les flics ont assisté sans réagir et en arguant "vous l'avez cherché" quand les militants ont demandé pourquoi ils n'ont rien fait. Sachant que des antennes sont en train de se monter partout, ça promet.

Après les Save Movement étant une asso super "peace and love", ça montre bien une fois encore de quel côté est la violence et la bêtise. Rien que faire des images en France dérange, c'est dingue.
Je comprends vraiment pas en quoi faire une veille et prendre des images d'animaux avant leur dernier instant les dérange. Eux qui sont si fières de leur circuit de proximité pourtant. C'est quoi l'idée, faut pas montrer aux gens que leur viande à la base est vivante, à peur et ressent des émotions ?

Envoyé de mon FRD-L09 en utilisant Tapatalk
 
Les agriculteurs wallons veulent éliminer TOUS les sangliers au Nord du sillon Sambre-et-Meuse et en exterminer 80 % au Sud. :eek:

Pour info, le sillon Sambre-et-Meuse, c’est le cours d’eau qui vient de France à l’Ouest, passe par Charleroi, Namur et Liège :


Le Ministre, plus « raisonnable », veut bien les exterminer au Nord mais n’en laisser « que » 50 % au Sud. :mur:

Poussé par les agriculteurs, le ministre propose l'ÉRADICATION des sangliers au nord du sillon Sambre-et-Meuse

H.
 
Ils sont au courant que les sangliers en ont rien à f***tre des frontières ???
 
Je sais pas si ils ont tellement proliféré ou si c'est parce qu'on rase les forêts dans lesquels ils étaient avant et que du coup, on les voit beaucoup plus et ils se rapprochent des habitations...
Mon père a une maison en Ardenne (en Belgique donc) et ces dernières années il y a régulièrement des sangliers qui viennent retourner la prairie derrière la maison alors qu'ils ne faisaient jamais ça avant... mais en même temps, à chaque fois que j'y vais je me rends compte qu'il y a des forêts en moins qui étaient toutes proches et des nouvelles constructions partout, des nouvelles routes ... et du coup, je me disais que c'était sûrement lié...
Il y a par ailleurs déjà beaucoup de chasse au sanglier dans ce coin là...
 
"L'imposture des animalistes"... :gné:
 
Balika":i8yempsp a dit:

L'abattoir "éthique et modèle" de Bourganeuf... On aime l'oxymore dans la creuse.
On disait aussi des abattoirs ECOCERT qu'ils étaient "éthiques", avant qu'on ne découvre les mêmes pratiques qu'ailleurs.


A ce propos, une nouvelle enquête qui fait autant de tapage que les précédentes (et c'est tant mieux), cette fois sur l'élevage des poissons.


CIWF et L214 révèlent la cruauté des conditions d’élevage des poissons
Les vidéos des deux associations montrent les conditions de vie dans les fermes piscicoles. Le poisson est l’animal d’élevage le plus répandu après le poulet

Par Martine Valo, LE MONDE, 30/11/2018

Ils meurent en silence, suffoquant, gelés, sur les ponts des chalutiers, ou asphyxiés dans des caisses en polystyrène, le corps parfois écrasé dans des sennes trop pleines, les yeux sortis de leurs orbites par la décompression brutale. Dans l’univers de la pêche au large, la souffrance des poissons – et des hommes aussi parfois – a peu de chance d’être entendue. Mais leur sort n’est pas forcément plus enviable dans les élevages.

Peu s’en souciaient jusqu’à présent. Mais voilà qu’en ces temps où les humains tendent à changer de regard à l’égard des animaux, des études scientifiques récentes révèlent chez plusieurs espèces une sensibilité et des comportements sociaux plus complexes qu’on ne l’imaginait. Deux associations se saisissent du sujet. L214 rend publique, vendredi 30 novembre, une vidéo sur les conditions d’élevage des truites arc-en-ciel, tournée en caméra cachée dans des installations du groupe Aqualande situées en Nouvelle-Aquitaine. CIWF (Compassion in World Farming) a publié pour sa part, lundi, un film ainsi qu’un rapport sur la façon dont sont abattus les poissons de pisciculture dans l’Union européenne.

Leurs images à toutes deux montrent les mêmes silhouettes de poissons morts flottant ventre à l’air au milieu de leurs congénères, à la surface d’eaux troubles, dans des bassins en béton et des cages installées en mer, ou encore fraîchement mis à mort dans un bain rouge sang. L’équipe de tournage britannique de CIWF a notamment fait escale en Bretagne et dans l’Hérault. L’association dénonce l’entassement des poissons, s’émeut des saumons de 75 centimètres de long ne disposant que de l’équivalent d’une baignoire, des grands migratoires condamnés à nager en rond dans leur cage.

Mais n’est-ce pas peine perdue que de chercher à sensibiliser le public au sort des daurades, bars, truites, saumons ? « Détrompez-vous, notre campagne a reçu le même accueil en France que les précédentes sur les cochons ou sur la volaille, assure Marion Wintergerst, responsable des campagnes de CIWF. Lors des deux premiers jours, 12 500 personnes ont interpellé le ministre de l’agriculture par mail comme nous les y engageons. »

La question des conditions de vie dans les piscicultures constitue potentiellement un dossier énorme. Le poisson est l’animal d’élevage le plus répandu après le poulet. L’aquaculture, qui fournissait à peine 7 % de l’offre mondiale en 1974, fait depuis 2014 presque parts égales avec la pêche dans l’alimentation humaine. En 2015, dans le monde, 50 millions de tonnes de poissons provenaient d’élevages (majoritairement de Chine), selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Rien que dans l’Union européenne, en fonction de leur poids moyen, ce sont 500 millions à 1,7 milliard de spécimens qui sont abattus chaque année, rapporte CIWF.

Courant électrique ou percussion
Sa campagne actuelle vise à imposer des méthodes de mise à mort moins cruelles à l’avenir. Car s’il ne bénéficie guère de normes précises s’appliquant aux différentes étapes de sa vie, le poisson est cependant régi par le principe fondamental, selon lequel, dans l’UE, tout animal d’élevage « doit être épargné de douleurs, détresse ou souffrance pouvant être évitées au moment de la mise à mort (…) ».

Avant d’être tué, l’animal devrait, selon CIWF, être étourdi de façon efficace, soit au moyen d’un courant électrique dans l’eau du bassin, soit par percussion. C’est ce qui se pratique pour les truites au Royaume-Uni, où l’on se soucie du bien-être animal. Toutes les autres méthodes sont à proscrire : tremper le poisson dans un bain glacé ou bien contenant du dioxyde de carbone, du sel, voire de l’ammoniaque, le laisser s’asphyxier hors de l’eau, le décapiter ou lui sectionner les branchies sans l’avoir rendu groggy au préalable.

Chez Aqualande, on a choisi le dioxyde de carbone. Une pratique « inacceptable » pour les truites arc-en-ciel, estime CIWF, citant à l’appui une étude d’une agence européenne selon laquelle il faudrait 9,5 minutes pour que celles-ci perdent conscience avec ce procédé. L214 a bien d’autres griefs à l’égard du groupe coopératif, un des leaders du marché européen, qui compte une quarantaine de piscicultures dans les Landes, les Pyrénées, le Languedoc et en Espagne, plus des centres de sélection et de transformation. Les trois quarts des truites fumées vendues en France viennent de chez Aqualande, qui produit 17 000 tonnes de truites, plus 400 tonnes de bars et de daurades par an.

Une truite sauvage sautant dans un torrent bucolique : telle est l’image qu’avance Aqualande sur son site Internet. Comme dans toute filière intensive, la réalité des élevages est très éloignée de ce que le consommateur peut imaginer. Les militants de la cause animale ont voulu lui ouvrir les yeux. Ils indiquent avoir eu du mal à entrer dans les lieux où ils filment clandestinement l’intérieur de bassins surpeuplés. Ils montrent des poubelles pleines de poissons morts, des bidons de vaccins et des truites déversées sans ménagement vers l’entonnoir de l’abattoir.

« Leurs élevages bio ne nous ont pas semblé très différents, ils ont seulement un peu moins de densité dans les bassins, confie Sébastien Arsac, porte-parole de L214. Ce qu’on a vraiment découvert sur place, c’est la façon dont ils obtiennent des truites triploïdes stériles, qui grossissent plus que les autres. On a appris qu’ils donnent à des alevins femelles de la méthyltestostérone afin d’en faire des “néomâles” qui à leur tour ne donneront que des femelles. »

Aqualande fait valoir qu’il a réduit par quatre l’utilisation d’antibiotiques en dix ans. « L’alimentation et l’oxygénation de l’eau ont aussi beaucoup progressé », assure Stéphane Dargelas, directeur marketing et communication du groupe. Et la surpopulation ? « Dans les installations bio, la densité maximum est de 35 kg par mètre cube, il n’y a pas de normes fixées pour les autres, répond-il. Le matin, toutes les truites se regroupent naturellement en banc dans un coin de leur bassin qui mesure 30 mètres de long avant de se disperser. L’entreprise a tout intérêt à ce que le poisson – qui est un produit hypersensible – soit dans les meilleures conditions possibles. »

Les pratiques du groupe sont-elles représentatives de ce qui se fait en Europe ? L’Institut national de la recherche agronomique dispose d’experts travaillant sur l’amélioration des techniques d’élevage : alimentation, reproduction, conditions de vie. Nos demandes d’entretien sont restées sans réponse.

Martine Valo
 
Non ;) !
(ah pardon c'était pas une blague ? :D)

Plus sérieusement, il y a déjà le parti animaliste, donc cette thématique va peut-être être encore plus présente médiatiquement.
Après, personnellement, je trouve dommage les partis mono-thématiques, certes ça fait émerger des idées (comme les Verts à leurs débuts), encore faut-il avoir accès aux media (mais je ne me fais pas de souci pour Caron), en revanche ça manque d'un corpus général, comment cette thématique s'insère dans le reste d'un programme politique (en économie, social, sociétal, géopolitique, etc...).

Et puis ça favorise l'émiettement des voix, certes le scrutin législatif permet d'accéder au financement public des partis politiques, et le scrutin européen est proportionnel (même si le seuil de 5% pour avoir des élus est élevé), mais ça n'est pas pour moi la meilleure stratégie pour porter ces idées (surtout que sur la thématique animaliste il y a déjà les assos qui portent ces idées vers la sphère publique, médiatique et politique).
 
Tigresse":ow5ermd3 a dit:
Mais pourquoi ils ont autant proliféré ces 20 dernières années, les sangliers ?
Nourrissage, comme l’explique le Médor automne 2018 dans son dossier sur la chasse en Wallonie. Entre gros propriétaires voulant un tableau de chasse impressionnant, lobbies des chasseurs, et partis à la solde des chasseurs (surtout le cdH), tout était là pour faire proliférer les cerfs (population doublée) et sangliers (triplée) en 35 ans.

Seul Carlo Di Antonio (ministre de l’Agriculture, donc de la chasse), en 2012, veut drastiquement limiter le nourrissage. « Ni chasseur ni issu de la province de Luxembourg, Carlo Di Antonio restera une aberration statistique dans la liste des “ministres de la Chasse”. »
Il y a une légère baisse des populations mais, à cause des pressions, la mesure est affaiblie. En 2014, il est remplacé par René Collin, et ça repart.

H.
 
Au moins Caron on sait qu'il est à gauche. Et il ne ménage pas ses efforts pour élargir sa réflexion au-delà de la condition animale même si celle-ci reste à la base de son engagement. Je ne dis pas que tout ce qu'il fait est convaincant.
Avec le Parti animaliste, j'ai moins de certitudes. Je ne crois pas que la question animale transcende les clivages politiques (c'est ce que m'avait affirmé une dirigeante de ce parti lors d'une veggie pride). On ne peut pas dire que la réflexion critique sur les formes de domination et d'asservissement en général, ou sur le capitalisme, soit présente dans tous les partis politiques. Or la question animale est indissociable de ces phénomènes.
 
Face au mouvement végan, les fourreurs montrent les dents
La fédération de la fourrure française raille « l’hypocrisie » des marques de mode sacrifiant au marketing « végan-animaliste ».
Par Juliette Garnier Le Monde/2018/12/05


L’association People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) a dévoilé, le 25 novembre, ses « Fashion Awards ». La liste des lauréats 2018 est plus longue que celle de l’an passé. En 2017, pour avoir décidé de ne plus utiliser de fourrure naturelle à partir du printemps de cette année, seule Gucci, marque du groupe français Kering, avait remporté le prix de l’association qui défend la cause animale.

Cette fois, PETA a distingué Coach, Michael Kors, Diane von Fürstenberg et Burberry, les dernières marques à avoir rallié la Fur Free Alliance (mouvement opposé à l’utilisation de la fourrure dans l’habillement).

A Londres, dans le sillage de Stella McCartney, grande militante de la cause animale, Riccardo Tisci, le directeur artistique de Burberry, a lui aussi dit abandonner pelisses, poils longs et autres moumoutes. L’annonce a été faite début septembre à la veille de son défilé consacré à la collection printemps-été 2019. Or « le vison n’a jamais été la star des plages », raille Pierre-Philippe Frieh, porte-parole de la Fédération française des métiers de la fourrure.

Volte-face de Jean-Paul Gaultier
L’agacement des tailleurs d’astrakan et de chinchilla devrait durer. Mi-novembre, Jean Paul Gaultier a annoncé à son tour renoncer à la fourrure. Le Français a longtemps été la cible des actions punitives de PETA. En 2010, des militants avaient ensanglanté les vitrines de l’une de ses boutiques parisiennes au cri de « Gaultier, assassin ».

Ses défilés de mode ont aussi été perturbés par des militants. Le créateur avait alors dénoncé les « actes très violents de PETA » et assuré « aimer la fourrure » et vouloir continuer à faire appel « à de la fourrure d’élevage ». M. Gaultier a fait volte-face.

Chanel n’envisage pas de faire de même. Mais la marque de haute couture a annoncé, mardi 4 décembre, mettre un terme à l’utilisation de peaux exotiques, faute de pouvoir satisfaire ses exigences d’éthique et de traçabilité lors de leur approvisionnement. La maison parisienne ne vendra plus de sacs ou de ceintures en crocodile, lézard, serpent et galuchat. Faut-il y voir un premier pas avant l’abandon de la fourrure naturelle ?

« Hypocrisie »
Plus que jamais, la Fédération française des métiers de la fourrure raille « l’hypocrisie » de toutes ces marques de mode et de leurs directeurs artistiques qui, sous couvert « d’éthique », « prennent des décisions marketing » parce que la cause défendue par les « végans-animalistes » serait « dans le vent », explique M. Frieh.

A l’en croire, la fourrure européenne aurait le meilleur des pedigrees. Les conditions d’élevage et d’abattage sont « très strictes », explique-t-il, loin de ce qui se déroule dans les élevages chinois, récemment pointés par l’émission « Cash investigation » sur France 2.

Dans les fermes, la mise en conformité des installations à la législation française et européenne peut coûter « jusqu’à 200 000 euros », d’après M. Frieh. La taille de la cage dévolue au vison, au renard ou autre lapin est normée. Sa clôture doit être de plus de 1,5 mètre. Chaque peau peut faire l’objet d’une traçabilité totale, grâce à une puce RFID (radio-identification).

Un marché qui se porte bien
Malgré la montée en puissance du courant végan, le marché de la fourrure ne se serait jamais aussi bien porté. Estimées à 35 milliards d’euros de chiffre d’affaires, les ventes de peaux ont progressé de 250 % en quinze ans, notamment grâce aux « clients asiatiques, chinois et coréens, et moyen-orientaux », avance M. Frieh, qui distribue à l’envie la plaquette de la profession. Y sont promus ses 2 500 emplois en France et le caractère « noble et durable » de cette matière « dont la production a moins d’impact sur les sites d’enfouissement et les océans que la fourrure synthétique ».

Tous craignent une interdiction. « Mais, si vous interdisez l’élevage d’animaux pour la fourrure, vous pouvez aussi bannir le cuir, la laine, la soie, les œufs, voire les chiens d’aveugle », avance aussi M. Frieh. Dès lors, le secteur s’emploie à défendre le lancement d’un label unique mondial, le Furmark, en 2020. D’ici là, la Fédération française des métiers de la fourrure jure qu’elle intentera désormais des actions en diffamation contre tous ceux qui colportent des contre-vérités sur cette filière.
 
« Hypocrisie »
Plus que jamais, la Fédération française des métiers de la fourrure raille « l’hypocrisie » de toutes ces marques de mode et de leurs directeurs artistiques qui, sous couvert « d’éthique », « prennent des décisions marketing » parce que la cause défendue par les « végans-animalistes » serait « dans le vent », explique M. Frieh.
À côté de ça, « [Le] Jury de déontologie publicitaire […] vient de confirmer la nature trompeuse des déclarations propagées par cette campagne de la Fédération internationale de la fourrure qui tentait en vain de présenter la fourrure animale comme “éthique”, “écologique” et “biodégradable”. » :tongue:
(source)

H.
 
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