changements climatiques : comment causer avec des sceptiques ?

Personne ne va venir chez toi t'engueuler parce que tu as pris un bain une fois dans l'année, on dirait que tu le prends très personnellement. On dit de préférer les douches aux bains comme on dit de faire du sport (pour certaines personnes ça peut être compliqué) ou d'aérer ses pièces tous les jours (mais on va pas le faire en cas d'orage par exemple). Ce sont des généralités hors cas spécifiques, des principes généraux.
Et c'est pas très grave de mettre du temps à traverser Paris si ça contribue à faire baisser la consommation. De toute façon, entre tous les travaux et les infrastructures pas adaptées, Paris c'est en mode escargot. Et parenthèse : la baisse de l'éclairage public actuellement, c'est plus une question de coût de l'énergie qui va se répercuter sur les impôts locaux que de réduction de la pollution.
Je ne comprends pas ton positionnement, désolée :gné:
 
Comme toujours les riches au pouvoir et il y en a marre du capitalisme le responsable n°1 mondial de tout ça.
 
Je reviens sur la réponse à mon post, qui n'était pas si bien formulé à l'époque : je parlais bien de l'origine initiatrice (plaie aux nasmes) du changement qu'on connait. (la "bascule", l'étincelle, outre le fait que les humains vident des hectolitres d'essence sur cette flamme depuis 1 siècle)
A aucun moment je n'ai mis en doute la responsabilité des activités humaines quant à l'emballement actuel, et encore moins la responsabilité humaine quant aux moyens à mettre en œuvre pour tenter de stabiliser sinon inverser la tendance. Et sur ce dernier point, qu'on soit à l'origine du changement ou pas. Ce qui me fait dire depuis qu'en fait on s'en fout de savoir "à qui la faute ? La *nature* ou les humains ?", dans tous les cas on doit agir, et ça ne change même pas les modalités d'action.

Et en effet il y a... 14 ans, hors des cercles scientifiques, l'assurance absolue même concernant une responsabilité partielle n'était pas très audible si elle existait. Et ce, malgré l'ancienneté du GIEC.

Par contre, en dehors d'une baisse très relative de la demande en énergie, je rejoins quand même un peu pika quant à la part (toujours plus importante) d'efforts (d'un impact très discutable, notamment quand on détaille les classes sociales concernées) demandés aux gens, quand les industriels ont carte blanche (et n'en finissent pas de s'inventer de nouveaux marchés parallèles de la pollution à chaque tentative de mise en place de quotas et autres règles et normes de réductions).
 
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