Conseils de vegan demandés

Ben je pense pas que ce soit BEAUCOUP plus facile d'avoir une alimentation bien équilibrée en mangeant de la viande. Peut-être un peu, parce qu'y a une catégorie d'aliments en plus, mais la viande n'apporte pas tant de choses qu'on le dit. Ce qu'on ne dit pas, c'est que de nombreux omnivores sont carencés ;)
 
Oui il y a carrément plus d'omni carencé que de végés de tout poils carencés. Car la viande contient des toxines que le corps doit évacuer et ça demande un effort. Demander un bilan des reins d'un végé et d'un omni, on verra qui gagne ^^ (mon endocrino adooore mes bilans ^^)
 
Ouais, n'empêche moi j'en ai marre de la gente médicale ! :cartonR:
Je sais que j'ai eu des problèmes intestinaux depuis toute petite et à 15 ans on avait fait venir un docteur d'urgence, sygmoïdite, inflammation du côlon, depuis ça a été sans arrêt ce genre de problèmes, traités seule avec des pansements intestinaux ou gastriques, mais y'a pas UN docteur qui m'ait envoyée voir au moins UNE fois dans ma vie un gastro-entérologue, non. Même ma chère toubib, la moins mauvaise du coin on va dire, il y a 3 jours elle a refusé de me donner la lettre pour en voir un, elle m'a dit que c'était pas la peine, que j'avais sûrement un truc bloqué dans le côlon et que je devrais prendre des probiotiques (qui coûtent la peau des fesses), elle était tellement focalisée sur le régime végétalien-et que c'était une horreur- que le diagnostic global comme d'habitude est passé à la trappe. Pourtant je viens squatter son cabinet depuis juillet dernier dans ce but unique de diagnostic ! Or il semble que mes problèmes de santé convergent tous vers mes intestins (à part mes fibromes utérins), ça c'est mon auto-diagnostic, gratuit qui plus est !
Il m'a fallu un an et demi pour trouver un toubib diagnostiquant un truc du genre fibromyalgie-fatigue chronique, devant mon épuisement, mes paresthésies et douleurs par moment... en ne me renvoyant pas en me disant que tout était dans la tête. Ceci dit il se serait trompé sur le traitement et n'aurait rien su des causes. Il m'a fallu 15 ans aussi avant qu'on me donne enfin un médoc contre mes migraines et il marche en plus, pour moi en tous cas (Lamaline), c'est le rhumato qui me l'a donné et il a dit mais comment cela se fait-il qu'on ne vous ai jamais rien prescrit avant.
Avant, je disais que j'en avais des migraines, mais les médecins répondaient " Ah oui ?".
J'ai moins de migraines aussi depuis que je mange végétalien, et je pense que je résiste mieux au stress, c'est déjà cela !
Bref, en arrêtant les produits laitiers, j'ai constaté que l'épuisement tout comme la sensation de mal-être de la "fatigue chronique" étaient partis instantanément.
Mais je ne suis ni diagnostiquée ni guérie pour autant, j'ai toujours des problèmes aux intestins et plein d'aliments qui semblent ne pas bien passer même après suppression du gluten, j'ai eu de la diarrhée par deux fois et j'ai une douleur depuis bientôt 3 semaines, ce qui fait que ces derniers jours la douleur et les gaz ont fait que je n'ai pas trop mangé.
Et les paresthésies reviennent aujourd'hui, une certaine fatigue aussi, mais rien à voir avec les sensations horribles de ma maladie avant, c'est normal aussi vu que je n'ai pas mangé grand chose ces derniers jours et je suis sûre que ces paresthésies viennent de carences de vitamines, calcium, magnésium, fer, non pas à cause du régime que je fais depuis que je suis vegan mais parce que mon intestin a toujours des problèmes non diagnostiqués, non traités : une infection, une maladie, une sensibilité ? Je ne sais pas, mais je sais que le moindre empoisonnement, la première infection ou intolérance ne font qu'empirer les problèmes.
Il faudra sans doute que je consulte un gastro sans référence du médecin traitant, ça veut dire en payant la consultation, et ça m'énerve vraiment beaucoup car il y en a qui sont payés pour me diagnostiquer et qui ne réalisent pas qu'ils ne l'ont toujours pas fait.
C'est dommage qu'on ne soit pas en Chine où on ne rétribue le médecin qu'une fois qu'il a porté le bon diagnostic ou qu'ils vous a guéri-e ! On comblerait très vite le déficit de la sécurité sociale !
 
Pov' Lesboséparatiste
Je n'aime pas donner de conseils "pratiques" sans avoir un historique où bien des éléments restent cachés. Mais tu es sur la bonne voie,ton organisme réagit bien, courage!
Où se situe la douleur? Se déplace-t-elle? Prends une feuille et note systématiquement tous les troubles que tu ressents, le moment de la journée, les circonstances, où et quand tu ressents des améliorations ou des aggravations (tu as déja commencé), etc... au bout de quelques temps tu t'apercevras qu'il y a des répétitions qui permettront de mieux cerner tes troubles.
En attendant, un conseil simple et généralement très efficace: le bain de siège froid (autant que tu peux en faire)qui sert à drainer l'organisme vers les émonctoires et qui agit aussi comme anti inflammatoire. Peut-être que cela suffira avec ton changement de "régime". On verra après, en discussions hors forum, si tu préfères.
 
Ils sont rigolos ces médecins qui savent tout. Moi je vois mon père, il en sait pas plus que moi sur la nutrition. Comme quoi, on ne sait rien. Je lui ai dit que je voulais faire des analyses pour la B12, il s'est un peu renseigné, sur les compléments et tout ça, mais sinon, il est pas spécialement au courant. Je pense pas qu'il soit moins formé ou plus incompétent qu'un autre généraliste. Tout ce qu'il m'a dit, (parce que je lui ai posé la question) c'est qu'il n'avait jamais vu de carences en protéines, et que ses patients végétariens n'étaient pas en plus mauvaise santé que les autres, mais pour les végétaliens, hé ben, il sait pas trop, y en a pas assez. Ca fait plus de 20 ans qu'il exerce, il a vu pas mal de patients dans sa vie.
Moi je pense que la seule façon de savoir c'est d'essayer.
Evidemment ça fait pas classe quand on est médecin de dire "ho vous savez, j'suis pas trop au courant de ça, on m'a seulement appris à diagnostiquer les diabètes et les corées de huntigton, et puis ensuite j'ai du me former sur le tas à soigner des petits rhumes et des petits bobos au genou, parce que c'est pour ça que les gens viennent me voir". Ca fait plus classe de déballer des théories que n'importe qui pourrait inventer. Regardons les choses en face: le médecin de lesboséparatiste n'a manifestement aucune idée de ce que c'est que son problème à l'intestin, ses carences etc; tout ce qui l'intéresse, c'est le régime végétalien, C'EST MAL. Mais est-ce qu'elle a vu ça à la télé ou dans une revue scientifique? Si c'est dans une revue, on n'a pas lu les mêmes.
 
je connais un médecin végétalien, et il m'a dit que dans leur cursus ils n'ont que très très peu d'heures de nutrition (c'est un truc comme 2h)
 
Mon frangin dit 8 heures au total. 8 heures de nutrition pour devenir médecin! je suis convaincue que beaucoup n'en savent pas plus que ce que disent des magasines non scientifiques.
 
S'ils avaient des cours de nutrition suffisament conséquents, ils se rendraient compte qu'une bonne hygiène de vie nutritionnelle mettrait en danger non seulement la profession (ce qui n'est pas près d'arriver) mais surtout toute la filiaire des soins dont une majeure partie, vient effectivement de l'ignorance ou du non vouloir savoir. Ainsi dès mon changement alimentaire, la plupart de mes troubles de santé ont disparus et ça fait 40 ans que ça dure. Je n'ai même pas un tube d'aspirine dans la pharmacie (pourquoi en faire?). Je n'ai pas de pharmacie non plus d'ailleurs!
 
Faudrait p'têt voir à ne pas exagérer tout de même. Une bonne alimentation c'est bien, on est tous d'accord. Le coup de dire "la profession en danger" parce que les patients ne seraient plus malades? On n'est pas assez pour soigner tout le monde, on est tous au bord du burn out, on a les plus forts taux de suicide (parce qu'on se réussit à chaque fois, nous), alors si on pouvait diminuer le nombre de malades (notamment les conneries sainsonnières, l'hypertension, le diabète, les cancers), ça sauverait la profession, notamment des médecins généralistes qui comme moi dévissent leur plaque et vont voir ailleurs par surmenage.
Merci d'arrêter de donner dans la médecin-phobie, c'est un peu pénible de se battre toute la sainte journée contre des moulins à vent et de ne recueillir que des "enfoirés de médecins qui se font plein de thunes" et des "y sont nuls, pis ils font tous partie du complot international".
Je ne me permets pas d'aller critiquer les autres professions avec ce genre de généralités faciles.
 
J'allais dire, mes parents se plaignent plutôt d'avoir TROP de patients que pas assez.
Et souvent les gens consultent pour une connerie, (et à l'inverse d'autres qui ont des problèmes sérieux ne consultent pas)...
Ou alors le mec il vient consulter parce qu'il est fatigué, et en fait, bin il dort 3h par nuit, donc il est fatigué, normal.
De toutes façons y aura toujours des gens malades, même si beaucoup de maladies existent à cause de notre mode de vie pas sain (pollution, stress) il en reste quand même, moi j'ai un diabète insipide, c'est incurable, le végétalisme n'y change évidemment rien. (sauf que maintenant je prend mon médoc par voie nasale parce que les comprimés étaient pas vgl). Même si demain tout le monde vivait "sainement" (déjà c'est pas possible parce que même avec la meilleure volonté du monde, personne ne sait vraiment tout sur ce qui est bon ou pas, même si y a des pots de vins et manipulations qui cachent certaines vérités, la vraie vérité c'est que personne ne sait vraiment). donc même si tout le monde se mettait à vivre sainement, y aurait encore des malades. Sans parler du fait que vivre sainement c'est, selon moi, ne pas se lever alors qu'on a pas fini sa nuit pour aller attendre le bus dans le noir sous la pluie, ce que tout le monde fait sans se plaindre, ben après faut pas s'étonner d'être malade.

Exemple: moi en ce moment je suis malade, parce qu'un connard a jeté un pavé dans ma fenêtre (oui oui) donc voilà j'ai un rhume et j'ai le nez qui coule! je pense pas avoir besoin d'un médecin pour ça mais bon voilà quoi 0:)
 
Je suis comme les autres hein, même si tout le monde mangeaient sainement il y aurait toujours des maladies à la con hein ^^ (non je dis pas ça parce que j'en ai une hein ^^) non mais les maladies génétiques c'est pas dû à la bouffe, ni les accidents, ni les maladies sexuellement transmissibles etc ^^
Donc qu'on n'aime pas le médecin à tout craint je suis d'accord, faut pas pousser (puis ça leur ferait du repos ^^), mais il y a des cas bah on est obligé .. sinon on meurt ...
 
Flo
Ta réaction est presque totalement justifiée. J’essaierais donc de préciser ma pensée maladroitement exprimée.
L’objectif d’un médecin est d’apporter une solution aussi efficace que possible à un problème de santé. D’accord ?
Ensuite, il a à sa disposition toute une palette de moyens qui peuvent aller du suppositoire jusqu’à l’opération (couper une jambe en cas de diabète aggravé par exemple) en passant par quelques remèdes homéopathiques, quelques aiguilles d’acupuncture, ou quelques antibiotiques. Toujours d’accord ?
Ca ne remet donc pas en question la profession en elle-même, mais un certain nombre de moyens ou de méthodes utilisées qui ne sont pas inhérentes au médecin lui-même mais au système médical qui parfois confond l’intérêt du malade et l’intérêt du système comme par exemple l’article que cite Save-animals dans le sujet : « grande victoire pour l’industrie pharmaceutique ». C’est pourquoi je disais :
« mais surtout toute la filière des soins dont une majeure partie, vient effectivement de l'ignorance ou du non vouloir savoir »
cette filière de soins allant de l’industrie pharmaceutique jusqu’au citoyen lambda qui refuse de modifier un comportement générateur de maladie, comptant sur le système de soins pour régler un problème qui n’aurait peut-être pas existé sans cela.
Actuellement l’INPES cherche à informer le grand public sur la relation qui existe entre maladie et hygiène de vie (tabac, alcool, drogues, alimentation, etc..) En supposant donc que plus personne ne fume, ne boive d’alcool, ni de drogue, s’alimentent de façon cohérente, le volume de malades diminuerait considérablement et mettrait de ce fait en danger toute la filière de soins mettant en chômage un grand nombre de personnes. Ai-je été plus clair ? Aussi ajoutais-je : « Ce n’est pas pour demain », ni pour après demain quand l’on voit le trou de la S.S. augmenter régulièrement.
Tout comme le végéta*isme, plus encore le véganisme remet en cause toute la filière liée à l'animal.
 
janic":2cf9e5e2 a dit:
En supposant donc que plus personne ne fume, ne boive d’alcool, ni de drogue, s’alimentent de façon cohérente, le volume de malades diminuerait considérablement et mettrait de ce fait en danger toute la filière de soins mettant en chômage un grand nombre de personnes.
L'environnement est un facteur parmi d'autres; les maladies existeront toujours, même si on diminuait le nombre de cas de cancers et d'affections cardiovasculaires grâce à l'hygiène de vie, on n'arriverait pas à zéro, ne rêvons pas. J'avais bien compris et je ne suis pas d'accord avec ce raisonnement, on est en manque criant en France de personnel soignant, ce n'est pas un problème de chômage, mais de pénurie de personnel auquel on fait face. Quant à l'industrie, elle continuera la recherche, la production, je ne m'inquiète pas pour eux.
Quand au fameux trou de la sécu, ce n'est qu'une construction budgétaire, sans plus; les députés votent tous les ans un budget inférieur au besoin pour mettre les français sous pression en criant au "trou de la sécu". Le trou de la Défense, des Transports, de l'Education, on n'en entend jamais parler, pourtant c'est la même chose: un budget voté.
 
Flo tu as dit :
« L'environnement est un facteur parmi d'autres; les maladies existeront toujours, même si on diminuait le nombre de cas de cancers et d'affections cardiovasculaires grâce à l'hygiène de vie, on n'arriverait pas à zéro, ne rêvons pas. »
Je suis entièrement d’accord avec toi. Mais selon toi : cela diminuerait les maladies dans quel pourcentage ?
« on est en manque criant en France de personnel soignant, ce n'est pas un problème de chômage, mais de pénurie de personnel auquel on fait face. »
Toujours d’accord dans l’état actuel des choses, mais rapporté à une diminution de X% (le pourcentage ci-dessus ?) ce serait comme une entreprise qui dégraisserait proportionnellement au manque de travail. Vois le nombre d’hôpitaux et de cliniques qui sont obligés de fermer, non par manque de travail, mais par manque de rentabilité.
Pour l’anecdote : A l’époque où Pompidou était président de la République, il avait dit (dans son essence, à retrouver ses paroles exactes) : « Bientôt, la moitié de la France servira à soigner l’autre partie. » mettant en avant que la demande de soins était en augmentation constante et cette courbe ascendante l’est toujours.
« Quant à l'industrie, elle continuera la recherche, la production, je ne m'inquiète pas pour eux. »
Moi non plus je ne m’inquiète pas pour eux mais pour ceux qui y travaillent comme dans n’importe quelle entreprise. Et pour avoir fait ma carrière dans l’industrie, je puis t’assurer que cela ne fonctionne pas au sentiment. Quand il n’y a plus de business, donc plus de dividendes, les industries mettent la clé sous le paillasson. Sauf dans les labos subventionnés par l’Etat, évidemment!
Mais c'est pas pour demain!
 
Janic, je n'aime pas argumenter et répondre point par point pour imposer mon point de vue; j'ai l'impression d'être chiante, et je déteste globalement ce comportement.
Cependant, je pense que tu connais très mal le monde de la santé; je ne sais plus comment expliquer à quel point c'est la MERDE il n'y a pas d'autres mots. C'est tellement complexe que je ne me sens pas le courage d'expliquer en détail.
Je vais prendre un exemple pratique: depuis environ 30 ans il y a un numérus clausus qui détermine combien de médecins sont formés par an. Ce nombre a été diminué EXPRES, pour se retrouver en pénurie, c'est calculé pour. Donc les baby boomers commençant chez nous à partir à la retraite (on part entre 65 et 75 ans à la retraite quand on est médecin), on va retrouver avec de moins en moins de médecins, et comble de la catastrophe, une population très féminine, puisque dans les facs c'est 60% de filles, au moins, sur les promos de médecine. Or les femmes ont un volume de travail horaire moindre statistiquement.
Pour faire schématique, prenons des médecins généralistes, en proportion: en 1980 100 médecins masculins bossaient 70 heures par semaine, 700 heures de soins, en 2015 75 médecins mixtes bosseront 50 heures par semaine, 375 heures de soins, le tout avec une population vieillissante, plus consommatrice de soins.
Ceci est organisé depuis longtemps pour diminuer la dépense de santé, car en économie baisse de l'offre = baisse de la conso.
Problème: en terme de santé, la prévention, comme tu le soulignes, est un point important. Comment faire de la prévention dans les conditions actuelles? Au niveau du médecin généraliste, c'est tout bonnement impossible. Donc appliquer des principes économiques à la santé, c'est (je me répète) de la MERDE EN BARRE. Disons-le clairement: les politiques actuelles visent à diminuer l'espérance de vie, car les vieux coûtent trop cher; ce faisant elles plombent leur budget puisque les maladies graves qui sont à soigner coûtent affreusement cher et que ce n'est pas politiquement correct de dire: laissons crever, on n'a pas les moyens. Ah si, on peut le dire pour les gros/fumeurs/alcooliques/toxicos (rayer les mentions inutiles) parce que eux c'est rien que des déchets de la société et on voit pas pourquoi on paierait pour la maladie qu'ils se sont collé tout seul. Juste qu'on a laissé la prévention de côté et qu'on a rien fait pour les éviter ces maladies...
Je suis heureuse du débat sur les salles de shoot. La prévention n'est pas morte. Les toxicos sont des malades, pas des criminels, et même les criminels, nous on les soigne, parce bordel, on soigne tout le monde, les gros , les alcooliques, les voleurs, les schizos, les hommes, les femmes, les enfants, les vieux, les jeunes, les noirs, les jaunes, les bleus!
 
flolalapine":1ig7lnd3 a dit:
on soigne tout le monde, les gros , les alcooliques, les voleurs, les schizos, les hommes, les femmes, les enfants, les vieux, les jeunes, les noirs, les jaunes, les bleus!
Les Schtroumphfs sont sauvés !! :)
 
Soigner les bleus, c'est courant dans un hôpital ^^
 
Flo
je n'ai aucune raison de t'en vouloir, au contraire, tout (presque) ce que tu dis je le partage. Cela ne fait que peu de temps que l'Etat se préoccupe de la prévention de façon ouverte. Et comme tu le dis:
"Problème: en terme de santé, la prévention, comme tu le soulignes, est un point important. Comment faire de la prévention dans les conditions actuelles? Au niveau du médecin généraliste, c'est tout bonnement impossible. Donc appliquer des principes économiques à la santé, c'est (je me répète) de la MERDE EN BARRE."
Comme l'Etat a mal fait son travail, comme les médecins n'ont pas la possibilité matérielle de faire de la prévention (en dehors que pour le faire il faut une formation adéquate), comme le consommateur Lambda s'en fiche; il ne reste plus que la prise de conscience individuelle comme le fait ce site. Et donc les choses ne sont pas près de changer.
 
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