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Jeune bulbe
Pour l'IMC supérieure des femmes des îles et de l'Afrique, il y a une explication assez "simple" : En gros, quand une population subit la pression de la faim, les individus qui vont survivre sont ceux ayant la meilleure faculté à extraire et stocker de l'énergie de leur milieu. Basiquement, ceux qui digèrent le mieux et font le plus de gras. En Afrique au niveau de la partie désertique, il y avait peu de ressources. Quand aux îles, elles ont été peuplées par les survivants ayant effectué la première traversée. Les habitants cumulent :
- une prédisposition à faire du gras plus facilement que tous le monde
- une cuisine où c'est quand même chargé nutritivement, le mafé ou la friture indonésienne, c'est rarement dans les revues diététiques
- l'arrivé de nourriture américanisée et la sédentarisation des habitudes de vie : le combo burger à l'huile de cacahuète + rester assis toute la journée à jouer sur le téléphone en aura tué plus d'un.
La difficulté est que la génétique explique très peu de chose concernant la population française, qui est historiquement l'une des plus mixte de la planète et de l'histoire. Du coup, c'est là que les habitudes de vie et la sociologie prennent tout leur sens :
"La surcharge pondérale concerne 45 % des personnes en France dont 14 % souffrant d’obésité. Les prévalences d’obésité sont plus élevées dans la partie nord de la France où elles dépassent 20 % dans certains départements, ainsi que dans les DROM, sauf à La Réunion. La part de personnes obèses diminue lorsque le niveau de diplôme ou le niveau de vie augmente." (L’état de santé de la population en France Septembre 2022)
"Lorsqu’ils grandissent, deux fois plus d’enfants d’ouvriers que d’enfants de cadres se retrouvent en surpoids en grande section maternelle. En 2017, 18 % des enfants en classe de troisième sont en surpoids et 5 % sont obèses (3 % chez les enfants de cadre et 8 % chez les enfants d’ouvriers). La part de ces enfants en surpoids ou obèses progresse." (L’état de santé de la population en France Septembre 2022)
- une prédisposition à faire du gras plus facilement que tous le monde
- une cuisine où c'est quand même chargé nutritivement, le mafé ou la friture indonésienne, c'est rarement dans les revues diététiques
- l'arrivé de nourriture américanisée et la sédentarisation des habitudes de vie : le combo burger à l'huile de cacahuète + rester assis toute la journée à jouer sur le téléphone en aura tué plus d'un.
La difficulté est que la génétique explique très peu de chose concernant la population française, qui est historiquement l'une des plus mixte de la planète et de l'histoire. Du coup, c'est là que les habitudes de vie et la sociologie prennent tout leur sens :
"La surcharge pondérale concerne 45 % des personnes en France dont 14 % souffrant d’obésité. Les prévalences d’obésité sont plus élevées dans la partie nord de la France où elles dépassent 20 % dans certains départements, ainsi que dans les DROM, sauf à La Réunion. La part de personnes obèses diminue lorsque le niveau de diplôme ou le niveau de vie augmente." (L’état de santé de la population en France Septembre 2022)
"Lorsqu’ils grandissent, deux fois plus d’enfants d’ouvriers que d’enfants de cadres se retrouvent en surpoids en grande section maternelle. En 2017, 18 % des enfants en classe de troisième sont en surpoids et 5 % sont obèses (3 % chez les enfants de cadre et 8 % chez les enfants d’ouvriers). La part de ces enfants en surpoids ou obèses progresse." (L’état de santé de la population en France Septembre 2022)