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OK merci pour ces précisions!jujube":2a4fxqbp a dit:et bien même si ce texte relève de l'utopie (pour l'instant), il est dit dedans que le travail pourrait devenir une activité non aliénante pour laquelle tous les membres de la société participeraient avec joie (une fois "éradiquées les absurdités et les déformations dont souffrent les tâches productives lorsqu'elles sont réduites à n'être que du travail"), car se serait pour soi et pour les autres et nous en tirerions nous-même les bénéfices;
et justement, cette "activité" consisterait en 3 choses essentielles: produire la nourriture, construire des logements, et faire des vétements.
j'ai lu quelque part que ces 3 secteurs aujourd'hui ne représentent que 2% du travail effectué dans le monde occidental, tout le reste n'étant finalement pas essentiel.
je pense que ce raisonnement se tient très bien en fait,
en revanche je ne crois pas que ce soit dans ce topic que nous devrions vraiment en discuter (c'est un peu hors-sujet là).
en tout cas je crois que ce texte mérite d'être lu plutôt attentivement pour en saisir toute la pertinence (avec une meilleure clarté que mes explications aussi)
c'était avec plaisirPerryn":r5528p9n a dit:OK merci pour ces précisions!
Ah oui merci, je veux bien que tu me le prêtes à l'occasejujube":1ueibf3n a dit:bien entendu; (je pourrais même te l'envoyer après l'avoir lu)
Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d’un riche commerçant pachtoun, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné par sa race à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n’entament leur amitié. Jusqu’au jour où Amir commet la pire des lâchetés...
Été 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux États-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. « Il existe un moyen de te racheter », lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l’Afghanistan des talibans… et de son propre passé.
« L'intensité dramatique de cette histoire de culpabilité et de rédemption ferait déjà de ce premier roman une œuvre littéraire remarquable. Mais ce serait oublier la redoutable analyse de l'histoire et de la culture afghanes, de la monarchie de Kaboul aux talibans du 11 septembre. Le tout forme un bijou tragique. »
Julien Bisson, Lire
Ah oui, il est très bien celui-là, c'est le jour où Potiron se casse la figure avec son vélo, et où Oui-oui demande à Monsieur Lapompe de rajouter un moteur au vélo de Potiron quand il le répare?Ralph":nxps3ena a dit:J'ai commencé " Oui-Oui : un vélo neuf pour Potiron " .. mais je vous le déconseille, y'a pas mal de texte.
Ma fille aime beaucoup cette histoire, je l'ai lue plusieurs foisRalph":3rea06ma a dit:Oui-oui !
(eh ben .. quelle culture, Jm)
Ça dépend surtout des surprises je pense.Ralph":2smglwl9 a dit:Et l
Bon, tant qu'on y est, vous pensez quoi d'un petit personnage qui parcours l'espace avec un petit chien à bord d'une soucoupe volante pour visiter des planètes réservant plein de surprises ?
C'est naze ?![]()