Je pense que chez soi chacun a des règles qu'il établis comme il le sent. Le frère de rourou la laisse cuisiner chez lui c'est son choix, rourou ne veut pas qu'il cuisine de la viande chez elle c'est son choix. Si son frère ne veut pas que rourou joue au foot dans son jardin pour pas abimer la pelouse, ou qu'elle se ramène avec 20 potes chez lui, ou qu'elle amène son chien à mon avis elle le fera... Tout ça pour dire que chacun a des règles, si lui dans son esprit il estime que ce qu'il laisse faire chez lui il peut le faire ailleurs, famille ou pas, faudrait qu'il réfléchisse à deux fois, car ça ne marche pas toujours comme ça, encore plus quand on parle de convictions. (A moins qu'il ait la conviction qu'il doit manger de la viande à chaque repas ?)
Là, le problème c'est que la viande est dans le monde normal quelque chose de... normal, et de se faire interdire de manger la normalité vexe, pourtant encore une fois, c'est une règle comme une autre. Mais pas pour les viandards qui ne savent plus quoi faire sans leur morceau de viande, et qu'ils ne veulent pas s'ouvrir à une autre alternative alimentaire pour un repas. Car ce qui est triste à dire mais pourtant réel, c'est que les gens s'il n'ont pas la démarche pour comprendre, il ne peuvent pas comprendre, donc pour eux c'est juste une règle abusive venant d'une extrême extrémiste.
Perso chez moi, hors de question que l'on mange des animaux ou que l'on amène des produits animaux, si ma famille veut venir, elle se pli aux règles comme moi quand je vais chez les autres.
Par contre, j'essaye de comprendre, mais hormis
la peur de vexer, déranger, sa famille, un invité ou autres, certains sont prêt à acheter de la viande et même la cuisiner. Pour moi il s'agit vraiment de peur, car s'il s'agissait de faire plaisir, on peut faire un repas vgl ou vgr plein d'amour qui fera plaisir, non ?
Et donc, si peur il y a, j'ai du mal à comprendre un relation familiale ou même amicale dans ce climat "affectif"... Car l'autre a ce qu'il veut, mais les vgr vgl vont au dessus de leurs convictions, non ?
Tout comme la personne qui accepte chez elle des gens qui se ramènent avec de la viande, a-t-elle peur de perdre une soirée chez elle ?
A ce moment là si les "amis" ne peuvent pas se passer de viande vous pouvez faire la soirée chez eux ?! Et à ce compte là, à mon avis, ces "amis" là, ne sont pas tant des amis que ça. Je veux bien qu'on m'explique svp car j'ai vraiment du mal à comprendre
Pour conclure, on peut se mettre à la place de son frère, ça peut être compréhensible dans la mesure ou on estime avoir le droit de faire chez les autres ce qu'on fait chez soi, et/ou qu'on peut faire chez les autres ce qu'on laisse faire chez soi.
Mais comme chaque maison, chaque personne a ses règles... (rien à voir avec mettre de l'eau dans son vin)
J'ai l'impression souvent que certain végé se culpabilisent presque d'être végé, et les "arguments" négatifs des autres arrivent à les atteindre, à tel point qu'ils sont prêt à ne pas laisser passer certaines choses et d'autres oui, le vegetarisme culpabiliserait il ?