Le prénom d'usage reconnu dans les universités, c'est sans doute une bonne choses pour toutes les personnes concernées (j'espère qu'il n'y a pas que les trans qui peuvent en profiter, d'ailleurs).
Par contre, le fait de dire "une femme trans" est une femme, cela pose pas mal de questions par rapport à plein de choses :
- les bourses réservées aux femmes sont maintenant accessibles aussi aux femmes trans et donc à des personnes qui ont été socialisées en tant que garçons.
- les compétitions sportives s'ouvrent aux femmes trans, hors biologiguement, un corps XX et un corps XY, ce n'est pas tout à fait pareil donc les XX vont se retrouver à la ramasse et disparaitre du colimateur
- certains hommes disent transitionner pour pouvoir être enfermés en prison pour femmes et/ou pour avoir accès aux refuges pour femmes
- des enfants qui aiment simplement ce qui est culturellement assigné à l'autre genre se retrouvent dans des démarches de transition alors qu'ils sont simplement des garçons qui aiment le rose (ou jouer à la poupée ou...) ou des filles qui préfèrent le foot et les pantalons ou...
Bref, sans nier la souffrance ressentie par certaines personnes, il y a un réel souci à ce que questionner le genre ne soit même plus possible (voir ce qui s'est passé à Hyde park il y a environ 1 semaine et le fait que pour de plus en plus de personnes, il soit devenu légitime de menacer de viol, de coups ou de mort toute personne souhaitant discuter du genre. A Hyde Park, ce n'était plus juste des menaces ou du harcèlement, c'était des coups. Et la plupart des réactions étaient pour dire que c'était "bien fait pour sa gueule". Alors que questionner quelque chose n'est enlever l'humanité de personne. Taper sur une personne ne me semble, par contre, pas un comportement qui reconnait l'humanité d'une personne (ni même, plus basiquement, le fait que ce soit un être vivant capable de souffrance et non un objet).
(je suis consciente de ne pas partager l'avis de pas mal de personnes sur le forum concernant ces questions)
Par contre, le fait de dire "une femme trans" est une femme, cela pose pas mal de questions par rapport à plein de choses :
- les bourses réservées aux femmes sont maintenant accessibles aussi aux femmes trans et donc à des personnes qui ont été socialisées en tant que garçons.
- les compétitions sportives s'ouvrent aux femmes trans, hors biologiguement, un corps XX et un corps XY, ce n'est pas tout à fait pareil donc les XX vont se retrouver à la ramasse et disparaitre du colimateur
- certains hommes disent transitionner pour pouvoir être enfermés en prison pour femmes et/ou pour avoir accès aux refuges pour femmes
- des enfants qui aiment simplement ce qui est culturellement assigné à l'autre genre se retrouvent dans des démarches de transition alors qu'ils sont simplement des garçons qui aiment le rose (ou jouer à la poupée ou...) ou des filles qui préfèrent le foot et les pantalons ou...
Bref, sans nier la souffrance ressentie par certaines personnes, il y a un réel souci à ce que questionner le genre ne soit même plus possible (voir ce qui s'est passé à Hyde park il y a environ 1 semaine et le fait que pour de plus en plus de personnes, il soit devenu légitime de menacer de viol, de coups ou de mort toute personne souhaitant discuter du genre. A Hyde Park, ce n'était plus juste des menaces ou du harcèlement, c'était des coups. Et la plupart des réactions étaient pour dire que c'était "bien fait pour sa gueule". Alors que questionner quelque chose n'est enlever l'humanité de personne. Taper sur une personne ne me semble, par contre, pas un comportement qui reconnait l'humanité d'une personne (ni même, plus basiquement, le fait que ce soit un être vivant capable de souffrance et non un objet).
(je suis consciente de ne pas partager l'avis de pas mal de personnes sur le forum concernant ces questions)