Mots et expressions que vous ne supportez plus

Vu qu'il s'agit de collègues de taf, j'opterais plutôt pour la signification :
"Débrouille toi pour ne jamais être en arrêt de travail, afin qu'on ne gère pas ta merde" (désolé pour ces grossièretés).
 
En tout cas, ça n'a pas porté chance à Delpech et Galabru.
 
kob27g":332vct47 a dit:
Cépafo":332vct47 a dit:
kob27g":332vct47 a dit:
"Bonne année et la santé surtout !"

Pour Balkany, Sarkozy, Guéant et tous les autres, c'est ce que je leur souhaite du fond du cœur !
En tout cas, ça n'a pas porté chance à Delpech et Galabru.
En même temps ces deux-là étaient bien mal partis dès le début de l'année :confus: !
Pour les personnes citées par Cépafo, il parlait de la Santé bien sûr ;) ...
 
J'avoue que pour avoir divers problèmes de santé que je ne peux pas prendre en charge, le bonne santé fait de plus en plus sens pour moi même si de mon côté je préfère dire au gens de prendre soin d'eux-mêmes.
 
Je "la" baise (ou je "le" d'ailleurs). Ca me donne envie d'egorger des petits chatons.
 
Z'ont rien fait les chatons ! T.T Tu peux égorger les gens qui disent ça plutôt et les donner à manger aux chatons (comme ça, plus de débat pour savoir s'ils faut leur donner des croquettes véganes ou pas).
 
"au doigt mouillé" (exemple : "Oh moi j'ai beaucoup d'expérience, je note mes élèves au doigt mouillé")

C'est l'expression préférée de mon chef, mais maintenant j'ai envie de gerber quand je l'entends.
 
Alors ce n'est pas tellement une expression mais plutôt une saveur en filigrane dans nombre de créations médiatiques aujourd'hui qui se veulent généralement humoristiques mais pas que, et surtout "bousculante", notamment chez pas mal de youtubeurs : la provocation, souvent appelée "pas politiquement correcte".

Et c'est ici que ça commence à m'user l'encéphale : cet appel à la provocation est souvent employé comme s'il s'agissait de subversion, alors que c'est très souvent l'inverse. (en particulier dans l'espace publique)

Cas typique : on va taper en rigolant sur une catégorie minorée ou déjà assez massivement méprisée (exemple, les féministes), donc on se la joue provoc en disant tout haut ce que beaucoup ne pourraient soit-disant plus dire sans se faire "lyncher", et hop, provoc "politiquement pas correct", sauf qu'on caresse quand même la doxa dans le sens du poil.

La subversion n'est pas nécessairement provocante mais comme son nom l'indique, elle tend à reverser le rapport de domination (sub-version), tandis que très souvent la provocation se la joue théâtrale pour simplement mieux asseoir cette domination-là. (en usant du superbe cache-sexe du second degré employé à tort et à travers)
 
- Le mot "bouffe" me sort par les oreilles. J'ai instantanément l'image de quelqu'un en train d'engloutir un KFC ou de jeter des Oreo, du Coca et des trucs-au-jambon-panés (c'est quoi le mot ?) dans un chariot de supermarché. Ce terme dénigre totalement ce qui est une des bases fondamentales de notre vie, la nourriture. Comment peut-on être en bonne santé si on "bouffe" ? Par exemple, "bouffer bio" sonne vraiment mal.

Je ne sais plus d'où ça vient mais cette phrase représente bien ce que je ressens :
"Le nomade se nourrissait, le paysan mangeait, l'urbain bouffe" :cuistot:

- Le mot "hype" m'agace profondément, bien que je l'entende peu. L'interlocuteur s'en sert pour dénigrer les idées, les propos, voire la personne elle-même, sans aucun argument, sous-entendant qu'il s'agit d'un effet de mode et donc que c'est méprisable. Par exemple :
- être bisexuel/végane/anarchiste/écolo c'est hype !
- porter la barbe, porter du rose, porter une jupe (pour un homme), c'est hype !
:facepalm:
 
Je t'avouerai que je dis bouffe, tout le temps, mais il faut dire que je me goinfre pas mal, même si c'est vegan et majoritairement bio. Je le vois pas péjorativement, je me sens bien quand je me dis "ah, j'ai bien bouffé là !". J'aurais peut être moins ce travers quand je mangerai moins ^^

Moi ce qui m'énerve en ce moment, ce sont les surnoms soit disant "cools" que les mecs se donnent toutes les 5 min, même s'ils se connaissent à peine, et en particulier "gros", t'en as qui ponctuent toutes les fins de phrases par "gros" ! pourtant, je ne m'appelle pas gros. Y'a aussi "cousin" ou "frère", alors que t'es ni l'un, ni l'autre ni même un ami, juste un mec croisé dans la rue. Le type est capable de te racketter en t'appelant "frère".
 
Le "hype" est très employé actuellement sur les réseaux anglophones pour invalider tout espèce de choix politique concernant les sujets médiatiques comme l'éthique animale ou le féminisme : ça sous-entends que c'est juste trop chébran d'être ceci-cela en ce moment, une simple mode.
Pour les tenues vestimentaires et les apparences, ça a même donné un nom dans les années 60 : hipster. (qu'on pourrait traduire par "tendance")

Sinon pour bouffe, il y a encore plus imagé : baffrer, s'empiffrer, se goinfrer comme dit Ayo, ou encore, en bon patois de chez moi dont Picatau saurait apprécier le sel : se gournifler. (mais oui il y a toujours une idée d'engloutir rapidement et de façon frénétique et sans aucun gout ni saveur appréciée)
 
Il y a un tic verbal qui m’avait marqué dans une vidéo d’e-penser. Du coup, je n’arrive plus à passer à côté et, du coup, je le remarque partout. C’est vrai, du coup, que certain⋅e⋅s en abusent, surtout en France. Mais, du coup, je le vois arriver ici aussi.

Du coup, ça m’énerve encore plus…

H.
 
Haricot, j'ai lu ton message d'une traite sans tilter la première fois, et en me demandant de quoi tu parlais.
Je crois que ça veut dire que je suis contaminée.
 
Ça va : il y a des personnes bien plus atteintes que toi. ;)

H.
 
Manth j'avais pas compris non plus le message d'Habricot. J'ai du le lire à 3 reprises pour comprendre. Et je lui ai demandé confirmation oralement pour être sûre. Pense pas avoir ce tic verbal, faut juste me dire le trucs clairement pour que je comprenne.

P.
 
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