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Végétarisme et schizophrénie
- Auteur de la discussion L'Elfe
- Date de début
Je pense que vous faites erreur. Les non psychotiques commettent bien des crimes poussés par l’alcool, la drogue, l’âge ou une mauvaise pulsion. Ils ne font pas établir de règles qui détruisent des vies.
Gegelevege
Broute de l'herbe
Les schizophrènes sont un peu plus à risque d'être violent que les gens classifiés comme étant normaux. On observe 2 à 4 fois plus de risques d'être violent comparativement à une personne lambda. Par ailleurs, les femmes sont aussi violentes que les hommes avec cette pathologie il n'y a pas de disparité entre les deux.
D'après ce même site, les effets sont décuplés sous l'usage de substances illicites, ou d'alcool et certains médicaments tranquillisants, le risque de passage à l'acte est multiplié par 9, ce qui est considérable.
Ceci dit, certains schizophrènes sont plus dangereux pour eux-mêmes que les autres, je pense que c'est au psychiatre d'évaluer la dangerosité en quelque sorte, pour voir si un internement est préférable dans certains cas, et s'assurer que les patients prennent régulièrement leurs traitements et ont consciences d'être malades.
D'après ce même site la majorité des patients qui sont violents sont des patients sans domicile fixe ayant donc recours à des moyens illégaux afin de survivre ce qui n'est peut-être pas totalement légitime mais compréhensible pour quiconque qui aurait une bonne empathie ou logique sociale..
Je pense qu'il doit y avoir une présence plus importante de schizophrène dangereux dans les pays où l'accès au soin et le manque de logement est plus présent, il faudrait que je me renseigne à ce sujet très intéressant toute fois.
On sait à l'heure actuelle que les drogues telles que le cannabis sont des facteurs pouvant augmenter les probabilités de développer cette pathologie…
Toutes les informations que je viens de donner proviennent du site suivant :
www.ma-schizophrenie.com
Je suis moi-même atteint de schizophrénie et connais bien ma maladie, j'ai subi un internement durant une durée considérable, très exactement 1 an et demi.
Mais la majorité des schizophrènes ne sont pas dangereux à proprement parlé même d'après mon médecin et les professionnels de santés avec qui j'ai pu discuté (infirmières), je pense que le tout est de diagnostiquer la maladie et de mettre en place un traitement adéquat pour pouvoir gérer voir inhiber voir annihiler complètement les symptômes de cette maladie chronique.
Cette personne n'est pas devenue végétarienne suite à une réflexion mais dû à des idées qu'elle a eu par le biais de ces hallucinations. C'est sa croyance en Dieu qui découle de ses hallucinations qui l'a motivé à devenir végétarienne, et non la mal-être des animaux, la pollution, ou autres...
Je trouve ça un peu stupide de dire "je ne mange et tue pas d'animaux car ce sont les créatures de Dieu" je préfère les personnes qui choisissent ce mode de vie ou moyen de s'alimenter après une réflexion sur la condition animale, les conséquences ou autres de le devenir qu'en pensez-vous ?
D'après ce même site, les effets sont décuplés sous l'usage de substances illicites, ou d'alcool et certains médicaments tranquillisants, le risque de passage à l'acte est multiplié par 9, ce qui est considérable.
Ceci dit, certains schizophrènes sont plus dangereux pour eux-mêmes que les autres, je pense que c'est au psychiatre d'évaluer la dangerosité en quelque sorte, pour voir si un internement est préférable dans certains cas, et s'assurer que les patients prennent régulièrement leurs traitements et ont consciences d'être malades.
D'après ce même site la majorité des patients qui sont violents sont des patients sans domicile fixe ayant donc recours à des moyens illégaux afin de survivre ce qui n'est peut-être pas totalement légitime mais compréhensible pour quiconque qui aurait une bonne empathie ou logique sociale..
Je pense qu'il doit y avoir une présence plus importante de schizophrène dangereux dans les pays où l'accès au soin et le manque de logement est plus présent, il faudrait que je me renseigne à ce sujet très intéressant toute fois.
On sait à l'heure actuelle que les drogues telles que le cannabis sont des facteurs pouvant augmenter les probabilités de développer cette pathologie…
Toutes les informations que je viens de donner proviennent du site suivant :
Schizophrénie et violence : les facteurs de risques
Si la grande majorité des schizophrènes n’est pas violente, il existe une petite frange de malades susceptibles de passer à l’acte. Pour l’entourage ou les soignants, il est important de connaître les facteurs de risque. Parmi eux, la consommation d’alcool ou de cannabis.
www.ma-schizophrenie.com
Je suis moi-même atteint de schizophrénie et connais bien ma maladie, j'ai subi un internement durant une durée considérable, très exactement 1 an et demi.
Mais la majorité des schizophrènes ne sont pas dangereux à proprement parlé même d'après mon médecin et les professionnels de santés avec qui j'ai pu discuté (infirmières), je pense que le tout est de diagnostiquer la maladie et de mettre en place un traitement adéquat pour pouvoir gérer voir inhiber voir annihiler complètement les symptômes de cette maladie chronique.
Cette personne n'est pas devenue végétarienne suite à une réflexion mais dû à des idées qu'elle a eu par le biais de ces hallucinations. C'est sa croyance en Dieu qui découle de ses hallucinations qui l'a motivé à devenir végétarienne, et non la mal-être des animaux, la pollution, ou autres...
Je trouve ça un peu stupide de dire "je ne mange et tue pas d'animaux car ce sont les créatures de Dieu" je préfère les personnes qui choisissent ce mode de vie ou moyen de s'alimenter après une réflexion sur la condition animale, les conséquences ou autres de le devenir qu'en pensez-vous ?
Dernière édition:
Chocogrenouille
Se gave de B12
Si c'est une souffrance, elle a donc bien une réalité. Et la manière dont c'est formulé ("ça n'existe pas") doit être assez violente à lire pour les personnes qui en souffrent.
Gegelevege
Broute de l'herbe
@PikaPika C'est faux, la schizophrénie existe, ça serait fallacieux de dire le contraire.
C'est un dysfonctionnement du cerveau, les hallucinations sont biens réelles, pour en avoir été victime, les médicaments sont efficaces, bien qu'il y ait un grand nombre d'effets secondaires.
La schizophrénie est une maladie avérée, ça serait dû à un problème de dopamine, il y a un facteur génétique, et l'environnement jouerait un rôle très important dans le déclenchement de la maladie c'est une maladie plurifactorielle.
Généralement on diagnostique la schizophrénie à la fin d'adolescence, voire début de l'âge adulte. C'est une maladie horrible, et la personne qui la vit, vit un enfer, enfin ça dépend quel type de schizophrénie. Personnellement j'avais des hallucinations et je peux te dire que c'est extrêmement dur à vivre.
Il y a des délires en rapport avec la religion dans la schizophrénie, d'ailleurs anecdote très intéressante à souligner, les hallucinations notamment auditives seraient influencées par la culture, l'éducation, la famille ainsi en fonction de notre culture, notre éducation, nos croyances les hallucinations se manifesteraient différemment.
Début d'article intéressant ici :
En regardant la page en cache on peut voir un peu plus du texte je cite:
"
Nous avons encore peu d'informations sur les hallucinations auditives, souvent observées dans les troubles psychotiques, comme sur les variations de ces hallucinations selon les diverses cultures. Afin de comparer ces hallucinations auditives à travers trois cultures différentes (aux États-Unis, en Inde et au Ghana), une étude internationale (à laquelle ont collaboré des chercheurs de ces trois pays) a interrogé trois groupes de 20 personnes ayant « entendu des voix », et pour lesquelles un diagnostic de « schizophrénie » avait été posé en fonction notamment de ces expériences hallucinatoires qui se révèlent « complexes, et variant d'un individu à l'autre. »
Les auteurs (un ethnologue et plusieurs psychiatres) constatent que les sujets entendant des voix aux États-Unis tendent plus souvent (que dans les deux autres pays étudiés) à « relever d'une étiquette psychiatrique » et à décrire ces hallucinations auditives en terme de « commandements impérieux » (violent commands). En revanche, les patients en Inde et au Ghana sont « plus susceptibles que les Américains de rapporter de riches relations (rich relationships) avec leurs voix », mais « moins enclins à les présenter comme des symptômes d'une violation de leur esprit. »
Il semble en fait que les hallucinations auditives ne sont pas seulement « interprétées différemment » selon l'environnement culturel, mais que leur « tonalité affective » présente aussi un « décalage » (shift) d'un contexte à l'autre. Ce constat est « en accord avec le nouveau modèle du développement cognitif des hallucinations dans la psychose » plaçant « les biais et les déficits cognitifs » à l'origine de « l'intensité, la nature et la phénoménologie » des hallucinations psychotiques. Ces observations transculturelles suggèrent ainsi que le phénomène d'hallucination auditive comporte vraisemblablement une composante culturelle, liée aux particularités locales. Ces différences en fonction du contexte culturel pourraient, estiment les auteurs, présenter certaines implications cliniques."
J'ai mis en spoiler pour ceux qui ça intéresse. Ainsi les hallucinations pourraient être différentes et plus ou moins nocives pour les patients.
Par exemple, moi je n'ai jamais eu de délires religieux, ou autres.
Toutefois, avant de faire des diagnostics hâtifs, il faut consulter un psychiatre et avoir un suivi, il est vrai que dans le milieu de la psychiatrie il y a beaucoup de faux diagnostics et certains médicaments sont prescrits à torts malheureusement. Il ne faut pas toujours mettre des étiquettes sur tous les problèmes et les différences, ce que les livres comme le DSM font, certaines personnes ont un fonctionnement différent et alors, est-ce nécessairement pathologique et a-t-on besoin de mettre un nom à chaque maladie ...
@Chocogrenouille Effectivement, je ne vois pas comment on peut nier la réalité, et dire que ce n'est pas une maladie est dangereux pour les personnes qui en sont victimes, qui pourraient arrêter leurs traitements et leur suivi.
C'est un dysfonctionnement du cerveau, les hallucinations sont biens réelles, pour en avoir été victime, les médicaments sont efficaces, bien qu'il y ait un grand nombre d'effets secondaires.
La schizophrénie est une maladie avérée, ça serait dû à un problème de dopamine, il y a un facteur génétique, et l'environnement jouerait un rôle très important dans le déclenchement de la maladie c'est une maladie plurifactorielle.
Généralement on diagnostique la schizophrénie à la fin d'adolescence, voire début de l'âge adulte. C'est une maladie horrible, et la personne qui la vit, vit un enfer, enfin ça dépend quel type de schizophrénie. Personnellement j'avais des hallucinations et je peux te dire que c'est extrêmement dur à vivre.
Il y a des délires en rapport avec la religion dans la schizophrénie, d'ailleurs anecdote très intéressante à souligner, les hallucinations notamment auditives seraient influencées par la culture, l'éducation, la famille ainsi en fonction de notre culture, notre éducation, nos croyances les hallucinations se manifesteraient différemment.
Début d'article intéressant ici :
En regardant la page en cache on peut voir un peu plus du texte je cite:
"
Nous avons encore peu d'informations sur les hallucinations auditives, souvent observées dans les troubles psychotiques, comme sur les variations de ces hallucinations selon les diverses cultures. Afin de comparer ces hallucinations auditives à travers trois cultures différentes (aux États-Unis, en Inde et au Ghana), une étude internationale (à laquelle ont collaboré des chercheurs de ces trois pays) a interrogé trois groupes de 20 personnes ayant « entendu des voix », et pour lesquelles un diagnostic de « schizophrénie » avait été posé en fonction notamment de ces expériences hallucinatoires qui se révèlent « complexes, et variant d'un individu à l'autre. »
Les auteurs (un ethnologue et plusieurs psychiatres) constatent que les sujets entendant des voix aux États-Unis tendent plus souvent (que dans les deux autres pays étudiés) à « relever d'une étiquette psychiatrique » et à décrire ces hallucinations auditives en terme de « commandements impérieux » (violent commands). En revanche, les patients en Inde et au Ghana sont « plus susceptibles que les Américains de rapporter de riches relations (rich relationships) avec leurs voix », mais « moins enclins à les présenter comme des symptômes d'une violation de leur esprit. »
Il semble en fait que les hallucinations auditives ne sont pas seulement « interprétées différemment » selon l'environnement culturel, mais que leur « tonalité affective » présente aussi un « décalage » (shift) d'un contexte à l'autre. Ce constat est « en accord avec le nouveau modèle du développement cognitif des hallucinations dans la psychose » plaçant « les biais et les déficits cognitifs » à l'origine de « l'intensité, la nature et la phénoménologie » des hallucinations psychotiques. Ces observations transculturelles suggèrent ainsi que le phénomène d'hallucination auditive comporte vraisemblablement une composante culturelle, liée aux particularités locales. Ces différences en fonction du contexte culturel pourraient, estiment les auteurs, présenter certaines implications cliniques."
J'ai mis en spoiler pour ceux qui ça intéresse. Ainsi les hallucinations pourraient être différentes et plus ou moins nocives pour les patients.
Par exemple, moi je n'ai jamais eu de délires religieux, ou autres.
Toutefois, avant de faire des diagnostics hâtifs, il faut consulter un psychiatre et avoir un suivi, il est vrai que dans le milieu de la psychiatrie il y a beaucoup de faux diagnostics et certains médicaments sont prescrits à torts malheureusement. Il ne faut pas toujours mettre des étiquettes sur tous les problèmes et les différences, ce que les livres comme le DSM font, certaines personnes ont un fonctionnement différent et alors, est-ce nécessairement pathologique et a-t-on besoin de mettre un nom à chaque maladie ...
@Chocogrenouille Effectivement, je ne vois pas comment on peut nier la réalité, et dire que ce n'est pas une maladie est dangereux pour les personnes qui en sont victimes, qui pourraient arrêter leurs traitements et leur suivi.
Dernière édition:
Les neuroleptiques les drogues les accidents les traumatismes ça détruit le cerveau les neuroleptiques rendent psychotiques même ceux qui le sont pas sous neuroleptiques j'ai eu une seconde personnalité qui est "née" en moi que JE N'AVAIS PAS AVANT qui s'oppose au vrai moi. Avant, je n'étais que moi et je savais ce que je voulais.
Gegelevege
Broute de l'herbe
@PikaPika Je suis d'accord les neuroleptiques ont des effets considérables sur la personnalité, cependant dire que la schizophrénie n'est pas une maladie est dangereux. Et évidemment les neuroleptiques jouent sur les neurotransmetteurs, on devient plus bête, moins motivé, les pensées ralentissent, etc...
Mais on a pas d'autres alternatives à l'heure actuelle, la TCC peut aider à mon avis à contrôler tout ça, et ne plus être un danger, apprendre à ne plus écouter les voix et vivre au quotidien avec.
Mais il faut avouer que ça fonctionne bien pour retirer les voix et les hallucinations visuelles.
Mais on est dépendant de nos neurotransmetteurs, ils peuvent nous rendre dépressifs, nous donner des hallucinations, nous rendre apathiques, beaucoup de choses dans ce même genre...
Le tout est de trouver la bonne molécule et le dosage le plus faible tout en conservant un bon équilibre et une efficacité du traitement.
Mais oui ça a eu pleins d'effets néfastes sur moi les neuroleptiques, mais ils m'ont quand même aidé d'un autre côté donc on ne peut pas les blâmer sur tout. Certaines personnes sont de vrais danger public sans, ou ne sont même plus lucides, ne peuvent plus réfléchir sans être perturber donc ça peut même augmenter l'intelligence chez certaines personnes.
Il faut faire une balance bénéfice/risque.
Mais on a pas d'autres alternatives à l'heure actuelle, la TCC peut aider à mon avis à contrôler tout ça, et ne plus être un danger, apprendre à ne plus écouter les voix et vivre au quotidien avec.
Mais il faut avouer que ça fonctionne bien pour retirer les voix et les hallucinations visuelles.
Mais on est dépendant de nos neurotransmetteurs, ils peuvent nous rendre dépressifs, nous donner des hallucinations, nous rendre apathiques, beaucoup de choses dans ce même genre...
Le tout est de trouver la bonne molécule et le dosage le plus faible tout en conservant un bon équilibre et une efficacité du traitement.
Mais oui ça a eu pleins d'effets néfastes sur moi les neuroleptiques, mais ils m'ont quand même aidé d'un autre côté donc on ne peut pas les blâmer sur tout. Certaines personnes sont de vrais danger public sans, ou ne sont même plus lucides, ne peuvent plus réfléchir sans être perturber donc ça peut même augmenter l'intelligence chez certaines personnes.
Il faut faire une balance bénéfice/risque.
Gegelevege
Broute de l'herbe
Il y a de bons et de mauvais psy, mais les psys sont nécessaires, certains font de l'abus de pouvoir, etc... Néanmoins, certains font très bien leur boulot, à mon humble avis il faut éviter l'abus de médicaments, beaucoup de personnes se voient prescrire des médicaments à tort et à travers, c'est ça le problème ...
Gegelevege
Broute de l'herbe
Tout dépend lesquels, ils ont aidé bon nombre de personnes aussi il ne faut pas l'oublier...
Mais je pense que dans les cas de dépression il faut faire un travail de refonte de l'hygiène de vie, et changement d'environnement, ainsi qu'un suivi psychologique et pourquoi pas de la méditation, et du sport ce sont des techniques qui ont prouvé leurs efficacités, et qui ne nécessitent pas l'utilisation de médicaments entre autres.
Gegelevege
Broute de l'herbe
Je trouve que la lobotomie est une aberration, les électrochocs en l'occurrence marche bien et ne nécessite pas de trafiquer son corps.
Mais il y a des approches moins drastiques que ça.
screugneugneu
Mange de la salade
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@Pikaka, sur ce sujet comme sur d'autres, il faut faire la différence entre tes opinions personnelles et les faits. Tu peux bien croire ce que tu veux, c'est ton droit, mais quand ça va à l'encontre de tous les spécialistes du sujet systématiquement, c'est juste ton opinion personnelle, pas une vérité absolue. Dans beaucoup de sujets, quand tu généralises et que tu dis les choses de façon un peu expéditive, ça peut gêner la dynamique de la conversation. Je ne sais pas si tu vois ce que je dire. Parfois, on peut juste fermer une conversation en disant : "ok, je suis pas d'accord, mais je respecte ton point de vue", par exemple. C'est plus constructif.
Gegelevege
Broute de l'herbe
C'est dangereux ce que tu dis, tu réalises que tu pourrais détourner des personnes de leur traitement ou d'une prise en charge avec un thérapeute ? Tu as peut-être été victime d'un faux diagnostic ou d'un psy incompétent mais il ne faut pas généralisé voyons.