Didine
Massacre des légumes
Bonsoir à tous et à toutes,
Après une longue période de végétarisme, je suis devenue Vegan depuis un an, ironique lorsqu'on sait que mon emploi ( que j'exècre, que honnit ! ) se situe au sein de la restauration rapide. J'essaie bien de m'en échapper mais sans jamais y parvenir.
Plongée dans un univers déprimant, dans lequel je n'ai aucun soutien j'ai développé une misanthropie exacerbée et un fatalisme des plus sinistre, heureusement, peu de temps après ma conversion au veganisme j'ai eu la bonne idée d'adopter un animal- humain de sexe masculin, qui partage ma vie aujourd'hui. Cette bête là ( végétalien à la maison, végétarien à l'extérieur et très occasionnellement omnivore ) est ma seule source de réconfort lorsque la réalité apocalyptique du monde deviens trop oppressante ( environ 3 fois par semaine ). Pour exprimer mon désaccord avec la société actuelle je dessine et j'écris, je caresse l'espoir de publier quelque chose un jour.
Si j'étale ma vie comme de la confiture sur un pain bio devant vous aujourd'hui c'est parce que je cherche du soutien, des gens avec qui échanger sans qu'il y ait de jugement, des gens capables comprendre.
Et qui sait, si vous êtes en Isère, peut être se rencontrer et aller coller des affiches sur les horreurs faites aux animaux dans les élevages, de nuit, en catimini, pour qu'au réveil les gens soient enfin confrontés à ce qu'ils refusent de regarder en face : la réalité.
Après une longue période de végétarisme, je suis devenue Vegan depuis un an, ironique lorsqu'on sait que mon emploi ( que j'exècre, que honnit ! ) se situe au sein de la restauration rapide. J'essaie bien de m'en échapper mais sans jamais y parvenir.
Plongée dans un univers déprimant, dans lequel je n'ai aucun soutien j'ai développé une misanthropie exacerbée et un fatalisme des plus sinistre, heureusement, peu de temps après ma conversion au veganisme j'ai eu la bonne idée d'adopter un animal- humain de sexe masculin, qui partage ma vie aujourd'hui. Cette bête là ( végétalien à la maison, végétarien à l'extérieur et très occasionnellement omnivore ) est ma seule source de réconfort lorsque la réalité apocalyptique du monde deviens trop oppressante ( environ 3 fois par semaine ). Pour exprimer mon désaccord avec la société actuelle je dessine et j'écris, je caresse l'espoir de publier quelque chose un jour.
Si j'étale ma vie comme de la confiture sur un pain bio devant vous aujourd'hui c'est parce que je cherche du soutien, des gens avec qui échanger sans qu'il y ait de jugement, des gens capables comprendre.
Et qui sait, si vous êtes en Isère, peut être se rencontrer et aller coller des affiches sur les horreurs faites aux animaux dans les élevages, de nuit, en catimini, pour qu'au réveil les gens soient enfin confrontés à ce qu'ils refusent de regarder en face : la réalité.