Uraden
Broute de l'herbe
http://www.20minutes.fr/sciences/883253 ... mmentaires
Si ça permet de limiter la production voir de l'arrêter totalement ma foi...
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Oui oui viande = proteine et forcément proteine = viande et rien d'autreL'homme est omnivore, il a besoin de protéine, mais pas forcement tous les jours et a tous les repas.
Des protéines, y'en a plein dans les ongles et les cheveux... (faut juste trouver le bon assaisonnement !)daemon666":1nysz6w5 a dit:Oui oui viande = proteine et forcément proteine = viande et rien d'autreL'homme est omnivore, il a besoin de protéine, mais pas forcement tous les jours et a tous les repas.
Et un bon coiffeur comme fournisseur.snoopyne":1sh1ijlu a dit:Des protéines, y'en a plein dans les ongles et les cheveux... (faut juste trouver le bon assaisonnement !)
daemon666":3styn2cq a dit:
La viande in vitro : cauchemar des carnivores
En complément de l’actualité autour d’un burger in vitro, j’ajoute des arguments à la discussion.
Mon interlocutrice à l’Association végétarienne de France m’a invité à lire une tribune parue en 2011 dans la Revue semestrielle de Droit animalier (page 207 de la revue). Les deux auteurs, Florence Burget et Jean-François Nordmann, philosophes, apportent quelques éléments intéressants.
D’abord, ils notent que cette histoire de viande de synthèse, de culture ou in vitro, s’inscrit dans la longue histoire technique de l’élevage qui comporte intensification et innovations biotechnologiques. « Aussi la viande in vitro ne constitue-t-elle pas la négation de l’élevage, mais au contraire le prolongement de son ancrage dans des techniques éprouvées dans le laboratoire et dans les modalités hors sol de la production. Et les avantages offerts par cette viande in vitro valent aussi bien en termes de rendements et de rationalité comptable», écrivent-ils.
Surtout, ils expliquent pourquoi ce serait un cauchemar pour les carnivores (que ce soit un «rêve» pour les végétariens est aussi développé mais c’est moins original (moins de souffrance animale...)). La question du manque de goût est évacuée car elle pourrait se résoudre techniquement. Non, il y a au moins deux problèmes. D'abord, «l’inquiétante étrangeté», une sorte de phobie analogue à la répulsion suscitée par une tête coupée ou un corps sans tête. La viande in vitro étant une sorte d’hybride entre un animal vivant et une boite de Pétri dont on ne perçoit pas bien l’identité.
Mais surtout le cauchemar viendrait d’un «profond sentiment d'effroi lié à ce que la nouvelle viande ne proviendrait plus d’un animal spécialement mis à mort et gisant là dans son sang - autrement dit d'un animal qui non seulement a été abattu, mais a subi un meurtre et même un meurtre collectif auquel participe directement le mangeur de viande in vivo, ne serait-ce qu'en tant que bénéficiaire et commanditaire.».
Et joliment ils résument : il manquerait au consommateur le «plat de résistance». Car, «si cette hypothèse est juste, cela signifie aussi que la viande in vitro est perçue - ou serait perçue - par la plupart des hommes comme un régime d'alimentation et de vie trop pur et trop peu violent pour la condition humaine et susciterait par suite, contrairement à ce qu'on pouvait d'abord se représenter, de très intenses et profondes résistances...».
Intéressant, non ?
Source : lemonde.fr
le pdf en question : http://www.unilim.fr/omij/telechargements/contenus/96_RSDA_1-2011.pdf