Yves Rocher : vos avis

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CaXow :http://www.mamzelleemie.com/les-bases-lavantes-neutre-maison/
Je ne retrouves plus celui dont je parlais enfin bref la base est la même :
* 200 gr de savon de Castille râpé ou tout autre savon neutre (de Marseille sans palme)
* 3 cs de beurre végétale (karité, amande, aloe vera, coco… au choix)
* 2 cs de glycérine végétale (ou gel d’aloe vera) ça s'achète en pharmacie, on peut s'en passer mais c'est moins fondant.
* 400 à 600 gr d’eau minérale
* 1 cs d’alcool de pharmacie (ou vodka) pour éviter la formation de bulle et pour la conservation. (l'option vodka est intéressante pour des raisons que l'on peut bien changer son odeur, moins celle de l'alcool de pharmacie)

Jezebel pas de problème mon mp t'es ouvert ^^
 
@ KaHte:

Merci ^^.
Dans ta recette, l'eau minérale c'est obligatoire? Est-ce que c'est par rapport à la dureté de l'eau? Si y'a pas de tensio-actifs (ou alors c'est le savon?) ça devrait pas jouer normalement, si?
 
Non c'est une question d'asepsie, de l'eau bouillie doit faire l'affaire. Il ne faut pas qu'il y ai de bactérie et microbe ^^
Il ne faut pas oublier de bien laver ce qu'on utilise, et de se laver les mains avant. Comme tout produit qui touche le corps d'ailleurs. Comme quand on fait la cuisine ^^
 
Merci!

Mais il y a des bactéries dans l'eau minérale ^^.
 
Lol non mais tu peux en mettre si tu utilises un récipient pas adapté. Comme si tu utilisais une cuillère pour faire du rempotage, on sait jamais ^^
En gros plus tu prends de précaution mieux c'est ^^
 
Bon, je prends note de tous tes conseils avisés une fois de plus!
 
Huhu je ne suis qu'une parmi tant d'autres ^^ j'ai appris pleins de choses sur les forums de cosméto, certaines filles sont des pros des plantes, d'autres des savons, d'autres des crèmes, d'autres du maquillage etc ^^
C'est intéressant d'apprendre on se sent moins bête après.

Jezebel cette recette ce n'est pas la mienne, moi j'utilise des tensios actif tout fait car je préfère mettre un peu de sous dans mes produits et d'avoir un résultat proche du commerce.
Mais on peut toujours trouver des recettes maison, un site que tu vas apprendre à connaitre "C fait maison" ^^ Vas y voir tu vas aimer ^^
 
@ KaHte:

Bookmarké! Et si, si je t'assure, pour moi tu es l'équivalent d'une encyclopédie vivante du home made!
 
Est-ce que si j'utilise du beurre de Karité, dans cette quantité, il n'aura pas une odeur trop forte ? En fait, j'aimerais rajouter des huiles essentielles et j'ai peur de le buerre de karité masque l'odeur... :/
 
^^ Et pourtant vu certaine personne lu sur le net, je suis un bébé ^^ (32 ans le bébé). La dame de 100% plantes elle fait ça depuis super longtemps. Elle fait ses infusions, ses propres plantes séchés. J'aimerais bien mais j'arrive pas à motiver ma mère à acheter un deshydrateur (je fantasme sur les trucs qu'on peut faire avec )
 
C'est pas grave KaHte, tu as le temps de devenir une mamie du home made ^^
 
biffe steak":3fv6952j a dit:
Depuis quand YR ne teste plus sur les animaux ?
Depuis 1989. C'est précisé dans l'historique de la société que j'ai lu je ne sais plus où... sans doute sur leur site... Désolée d'arriver après la bataille pour la réponse ! ;)
 
biffe steak":356qowbk a dit:
Certes, mais la polémique était née, de mémoire, du fait qu'il sous-traitait les tests.
Ah bon, tu me l'apprends. ça ne fait que quelques mois que je m'intéresse aux cosmétiques non testés sur les animaux, alors je découvre. ;) Pour le moment je fais confiance au label one voice, et c'est déjà un grand pas pour moi.
 
Monbasinstinct":2b34jejq a dit:
Je ne sais pas si tu lis l'anglais mais on m'a parlé de cette expérience de vie sans argent. Désolé mais je n'ai pas le temps de traduire l'article aujourd'hui. Quelqu'un ?
J'ai commencer la traduction (pas sûr qu'elle soient très juste, je suis une bille en anglais et pas trop envie d'y passer du temps).
Voilà les 3 premiers paragraphes :
Quand j'ai commencé à vivre sans argent il y a 18 mois, la question la plus courante qu'on me posait était "Comment tu vas te débrouiller pour manger ?". Une remarque compréhensible, mais reflet du degré croissant de la séparation entre l'estomac et la terre.

Pour la plupart d'entre nous, la nourriture vient du supermarché dans des emballages en plastique. Un ami qui organise des visites scolaires d'une ferme biologique donne plein d'anecdotes qui témoignent de ça. Une semaine, en montrant un buisson de romarin, il demanda aux enfants si quelqu'un savait ce que c'était. Après 20 secondes, un enfant de 12 ans leva la main et déclara que c'était du "corned beef". Le pire c'est que ça n'a fait rire personne.

La réponse à cette question fréquemment posée est dans la question elle même - Ce que je mange vient de la terre(1). Le pommier ne demande pas si tu as assez d'argent quand tu cueilles un fruit; il donne juste une pomme à celui qui la veut. Nous sommes la seule espèce, sur plusieurs millions sur la planète, qui est assez dans l'illusion pour penser qu'il faut de l'argent pour manger. Et le pire, je vois souvent des gens passer tout droit devant de la nourriture gratuite sur leur chemin pour aller en acheter venant du monde entier au supermarché.

ndt
(1) La question "How on earth are you going to eat?" a été traduite par "Comment tu vas te débrouiller pour manger ?" d'où la référence à la terre (earth).
Edit: quelques corrections de français.
 
Ma question est peut être idiote, mais je me demande où dorment ils ? Dans des cabanes? Grotte? A la belle étoile? (Je demande car comprendre cet article va me prendre 3h00)
 
@ Caxow:

Il me semble qu'il vit dans une caravan.
 
Je tente mais j'ai pas de dico sous la main (et suis nulle en trad accessoirement...:/)
 
Ok merci beaucoup ! :)
Je trouve tout ça super interessant et j'avoue que ça me fait un peu rêver... ^^
 
Monbasinstinct":2rdyl3nv a dit:
barbux":2rdyl3nv a dit:
Monbasinstinct":2rdyl3nv a dit:
Je ne sais pas si tu lis l'anglais mais on m'a parlé de cette expérience de vie sans argent. Désolé mais je n'ai pas le temps de traduire l'article aujourd'hui. Quelqu'un ?
J'ai commencer la traduction (pas sûr qu'elle soient très juste, je suis une bille en anglais et pas trop envie d'y passer du temps).
Voilà les 3 premiers paragraphes :
Quand j'ai commencé à vivre sans argent il y a 18 mois, la question la plus courante qu'on me posait était "Comment tu vas te débrouiller pour manger ?". Une remarque compréhensible, mais reflet du degré croissant de la séparation entre l'estomac et la terre.

Pour la plupart d'entre nous, la nourriture vient du supermarché dans des emballages en plastique. Un ami qui organise des visites scolaires d'une ferme biologique donne plein d'anecdotes qui témoignent de ça. Une semaine, en montrant un buisson de romarin, il demanda aux enfants si quelqu'un savait ce que c'était. Après 20 secondes, un enfant de 12 ans leva la main et déclara que c'était du "corned beef". Le pire c'est que ça n'a fait rire personne.

La réponse à cette question fréquemment posée est dans la question elle même - Ce que je mange vient de la terre(1). Le pommier ne demande pas si tu as assez d'argent quand tu cueilles un fruit; il donne juste une pomme à celui qui la veut. Nous sommes la seule espèce, sur plusieurs millions sur la planète, qui est assez dans l'illusion pour penser qu'il faut de l'argent pour manger. Et le pire, je vois souvent des gens passer tout droit devant de la nourriture gratuite sur leur chemin pour aller en acheter venant du monde entier au supermarché.

ndt
(1) La question "How on earth are you going to eat?" a été traduite par "Comment tu vas te débrouiller pour manger ?" d'où la référence à la terre (earth).
Edit: quelques corrections de français.
Merci Barbux :)
quelques paragraphes de plus pour ceux que cela intéresse":2rdyl3nv a dit:
Il y a quatre piliers à cette "table garnie d'alimentation gratuite". Le plus excitant, mon préféré, c'est "faire mes provisions", qui signifiait originellement chercher de la nourriture mais qui, aujourd'hui, est une expression qui désigne la cueillette et l'ingestion de nourritures sauvages. Bien que l'apprentissage cette pratique puisse prendre la vie entière, n'importe qui peut commencer n'importe quand, aujourd'hui même si vous voulez. Avant de vous lancer, je vous conseille un livre de poche (au sens littéral) qui s'appelle Food for Free par Richard Mabey (récupéré gratos via Read It Swap It) ou bien, pourquoi pas, de suivre une initiation avec le "Roadkill chef" de la BBC (Fergus the Forager).

En ce moment, soyez attentifs aux vesses de loup géantes, les langues de boeuf (champignons) et la roquette. Cette dernière se trouve dans les fissures des murs et des chemins en ville. Si vous avez besoin d'une excuse pour aller à la mer, c'est la saison parfaite pour ramasser les algues. La véritable beauté des nourritures sauvages n'est pas leurs hautes qualités nutritives ni leurs attouts écologiques, mais plutôt la cueillette qui est aussi un prétexte formidable pour partir en excursion avec des amis.

La Grande Bretagne a été domptée, apprivoisée. En conséquences, les "restes sauvages" ne pouvaient plus nourrir la population. Ceci me permet d'introduire le pillier suivant - cultiver votre propre nourriture - un point crucial, tant pour parer les problèmes de climats difficiles que pour reconstruire un réseau d'entr'aide alimentaire local à fort pouvoir de résilience. Qu'il s'agisse de votre fenêtre de cuisine, de votre jardin ou jardin d'ouvrier, cultivez tout ce que vous pouvez. Choisissez des cultures que vous aimez manger et, si vous manquez de temps, choisissez des variétés qui demandent peu de travail. En plus d'économiser vos "kilomètres alimentaires" et emballages, vous aurez la possibilité de manger des aliments qui auront le goût de votre propre production, ce qu'aucune épice ne peut égaler.
Quelqu'un pour la suite et fin ?
La suite donc (merci Barbux et MBI):

Cultiver et chercher sa nourriture afin de combler ses besoins énergétiques est une travail énorme, surtout sans intrants basés sur l'énergie fossile. C'est à ce niveau qu'intervient le troisième pillier: le marchandage. Ca marchandage peut soit être un échange de nourriture, particulièrement en été où beaucoup de gens se retrouvent avec les surplus d'une récolte ou d'une autre, ou bien il peut s'agir de troquer des compétences
en échange de la nourriture qu'il n'est possible d'obtenir autre part sans argent. De bien des façons, le marchandage n'est rien d'autre qu'une maladroite forme d'échange monétaire et il lui manque cette dimension de l'acte complètement gratuit (ainsi qu'on le ferait avec ses amis ou sa famille). Il soulève également cette vieille problématique qu'est « la double coïncidence du besoin » où les deux parties impliquées ont chacune quelque chose que l'autre désire. Néanmoins, il présente également beaucoup d'avantages. Il permet non seulement de développer l'économie locale mais également de créer des liens avec son voisinage, ce qui à terme mène à la formation de communautés plus résilientes face aux ébranlements externes, des sociétés où l'amitié ,et non l'argent , est gage de sécurité.

Le quatrième pilier de cette « table garnie d'alimentation gratuite » est la recherche de nourriture gaspillée. Le « bennage » (?) — fouiller dans les bennes — en est un exemple, mais je préfère établir des contacts avec les petites entreprises qui jettent de la bouffe parfaitement mangeable, soit parce que des lois rigides et idiotes les y obligent, soit parce qu'elle ne répond pas à leurs standards de qualité. Cette méthode présente l'avantage d'avoir à éviter de fouiller dans une poubelle et dans le même temps, elle permet d'agrandir à nouveau son réseau avec les gens du coin qui la plupart du temps culpabilisent extrêmement à l'idée de balancer cette nourriture encore mangeable (un tiers de la nourriture est gaspillée au R.U.) alors que la moitié de la population mondiale est affamée. Bien que je ne mange pas tant de cette nourriture gaspillée moi-même — en gros 5% de mon alimentation — je vais fouiller dans les bennes très régulièrement. C'est assez marrant et celà me permet de distribuer la récolte à ceux qui en ont besoin. L'utilisation de cette nourriture gaspillée est loin d'être l'idéal puisque cela ne permet en rien de mettre en place un modèle durable que la population pourrait reproduire. Mais tant que nous continuerons à faire venir de la nourriture des quatre coins du monde afin qu'elle puisse finir dans nos bennes, je crois que notre première obligation, envers les agriculteurs et les affamés, est de la faire passer de ces bennes aux estomacs.

Mon cher Milton Friedman — si le Guardian est disponible online outre-tombe — je me vois dans le regret de vous annoncer qu'une chose telle qu'un déjeuner gratuit existe bel et bien.

Mark Boyle est le fondateur de la Freeconomy Community et a vécu sans un sou pendant les 18 derniers mois. Son livre, The Moneyless Man, està présent disponible en librairie aux Editions Oneworld. L'es sommes récoltés grâceà la vente seront reversées à un fond caritatif au profit de la Freeconomy Community.

MBI, j'ai repris certains de tes termes pour que la traduction reste cohérente.
 
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