Bonjour !
Je viens trouver refuge ici, car au sain d'une famille fermement omnivore (même si je suis accompagnée dans mon veganisme, par des livres de recettes offerts, la cuisine à plusieurs, les omnis qui goûtent les résultats, haha), j'ai du mal à trouver les solutions à mes divers problèmes. Et le réconfort surtout, puisqu'à leurs yeux mon veganisme est la source de tous mes problèmes...
Petit historique : Fin d'année scolaire 2015, je suis devenue pesco-végétarienne, et dès que j'ai loué mon premier appartement, rentrée 2015 (vers octobre), je suis directement devenue végétalienne. Je ne suis jamais passée par l'ovo-lacto-végétarisme, puisque j'ai jamais trop aimé les oeufs et que j'avais remplacé le lait animal dès mon introduction au pesco-végétarisme.
Seulement, faire sa transition tout en apprenant à se débrouiller en appart et en entamant ses études supérieures n'est pas chose facile, pour moi en tous cas, qui n'avait jamais cuisiné autre chose que des crêpes.
Autres facteurs à considérer : Vide affectifs plus ou moins liés à la solitude en appart, études qui ne me plaisaient pas, arrêt du sport etc.
Il faut aussi savoir que j'étais angoissée par la bouffe, puisque j'avais peur d'avoir été cruelle sans l'imaginer et d'avoir nuit à ma santé depuis des années sans le savoir. Du coup je faisais toutes les recherches possibles et inimaginables sur la nutrition, ce qui me donnait l'impression que tout était mauvais pour moi et pour la planète. Le moindre "écart" (nourriture industrielle, sucre raffiné dans les biscuits, propositions non vegan à l'extérieur) devenait source d'angoisses énormes. Je ne savourais plus rien.
Alors, quand j'ai traversé une grosse période de stress, entre Avril et Juin, j'ai commencé à sauter des repas - la bouffe c'était moins important que tout le reste, alors pourquoi me faire à manger ? Et je n'acceptais de faire aucun écart de "facilité" (choisir des plats tout faits etc.). Mes angoisses prenaient toute la place. Et sauter des repas, ça entraîne de la fatigue et la fatigue de la flemme - même pour les choses simples. J'étais molle, j'avais faim et je me nourrissais de bananes - avec des excès à côté, quand j'étais pas chez moi. J'aurais tout donné pour pouvoir me nourrir d'air mais bon, not possible.
Bref, ça n'a pas duré des masses, quand j'ai retrouvé mon copain en Juin on en a parlé et j'ai fait des efforts pour faire trois repas par jour (on s'habitue vite à le faim c'est fou) Bref, retour à la normale depuis Juillet (normale vegan hein ). Aucun réel impact sur mon poids, j'ai dû passer de 60 à 58 kilos / 1m75 à tout casser. Je suis pas tombée malade une seule fois.
Mais récemment j'ai fait une prise de sang (suite à une prise en milieu d'année, avant mes soucis) : Plaquettes qui on diminué (proche du seuil inférieur), carences en fer (mais ferritine qui a augmenté), et la thyroïde qui fait des trucs bizarres (T.H.S. en baisse assez soudaine, mais toujours dans les clous). Vitamines ok par contre. Alors pour les plaquettes je sais pas quoi faire... à part me supplémenter en fer, ça peut être lié.
Mes parents mettent tout sur le dos du véganisme, pensent que je suis devenue "orthorexique" et restent persuadés que c'est une alimentation moins consistante, mauvaise pour les muscles etc. Ils contrôlent beaucoup mon corps (ils ont un engin connecté pour l'équilibre muscles/masse grasse) et me font plus de remarques qu'avant. Tout est prétexte à démonter le véganisme.
Aujourd'hui encore, j'ai fait un piercing dans le cartilage de l'oreille, et selon le gars je saignais beaucoup (1 à 2 minutes avant que ça s'arrête, ça coulait bien selon lui et mes proches présents, moi j'ai rien vu). Il m'a dit que c'était pas normal... Il pensait même que j'avais bu la veille etc. (que neni) Selon lui, un piercing ne fait pas saigner, pas aux oreilles en tous cas (je suis sceptique). Bref. On m'a resservi le truc du diabolique véganisme, ouhlàlà. Et c'en était trop, j'avais besoin de vous en parler, d'avoir des solutions pour mes carences etc... (je me supplémente déjà en fer, et en B12 aussi, mais là pas de problèmes)
On m'a suggéré une mal-absorption des intestins en ce qui concerne le fer, c'est possible ? (j'ai souvent eu des soucis intestinaux, des barres pas possibles au niveau du haut du ventre, moins depuis que je suis végétalienne cependant) Sinon, j'avais pas de problème de fer auparavant (bon, je mangeais de la viande rouge deux fois par jour, ahem) ni de plaquettes, alors je suis un peu paumée... D'autant que j'aimerais commencer la méthode lafay pour me muscler, alors je sais pas trop comment manger etc...
Connaissez-vous des généralistes/nutritionnistes veg-friendly sur Lille et alentours ?
Enfin voilà, merci pour la lecture si vous en avez eu le courage
Je viens trouver refuge ici, car au sain d'une famille fermement omnivore (même si je suis accompagnée dans mon veganisme, par des livres de recettes offerts, la cuisine à plusieurs, les omnis qui goûtent les résultats, haha), j'ai du mal à trouver les solutions à mes divers problèmes. Et le réconfort surtout, puisqu'à leurs yeux mon veganisme est la source de tous mes problèmes...
Petit historique : Fin d'année scolaire 2015, je suis devenue pesco-végétarienne, et dès que j'ai loué mon premier appartement, rentrée 2015 (vers octobre), je suis directement devenue végétalienne. Je ne suis jamais passée par l'ovo-lacto-végétarisme, puisque j'ai jamais trop aimé les oeufs et que j'avais remplacé le lait animal dès mon introduction au pesco-végétarisme.
Seulement, faire sa transition tout en apprenant à se débrouiller en appart et en entamant ses études supérieures n'est pas chose facile, pour moi en tous cas, qui n'avait jamais cuisiné autre chose que des crêpes.
Autres facteurs à considérer : Vide affectifs plus ou moins liés à la solitude en appart, études qui ne me plaisaient pas, arrêt du sport etc.
Il faut aussi savoir que j'étais angoissée par la bouffe, puisque j'avais peur d'avoir été cruelle sans l'imaginer et d'avoir nuit à ma santé depuis des années sans le savoir. Du coup je faisais toutes les recherches possibles et inimaginables sur la nutrition, ce qui me donnait l'impression que tout était mauvais pour moi et pour la planète. Le moindre "écart" (nourriture industrielle, sucre raffiné dans les biscuits, propositions non vegan à l'extérieur) devenait source d'angoisses énormes. Je ne savourais plus rien.
Alors, quand j'ai traversé une grosse période de stress, entre Avril et Juin, j'ai commencé à sauter des repas - la bouffe c'était moins important que tout le reste, alors pourquoi me faire à manger ? Et je n'acceptais de faire aucun écart de "facilité" (choisir des plats tout faits etc.). Mes angoisses prenaient toute la place. Et sauter des repas, ça entraîne de la fatigue et la fatigue de la flemme - même pour les choses simples. J'étais molle, j'avais faim et je me nourrissais de bananes - avec des excès à côté, quand j'étais pas chez moi. J'aurais tout donné pour pouvoir me nourrir d'air mais bon, not possible.
Bref, ça n'a pas duré des masses, quand j'ai retrouvé mon copain en Juin on en a parlé et j'ai fait des efforts pour faire trois repas par jour (on s'habitue vite à le faim c'est fou) Bref, retour à la normale depuis Juillet (normale vegan hein ). Aucun réel impact sur mon poids, j'ai dû passer de 60 à 58 kilos / 1m75 à tout casser. Je suis pas tombée malade une seule fois.
Mais récemment j'ai fait une prise de sang (suite à une prise en milieu d'année, avant mes soucis) : Plaquettes qui on diminué (proche du seuil inférieur), carences en fer (mais ferritine qui a augmenté), et la thyroïde qui fait des trucs bizarres (T.H.S. en baisse assez soudaine, mais toujours dans les clous). Vitamines ok par contre. Alors pour les plaquettes je sais pas quoi faire... à part me supplémenter en fer, ça peut être lié.
Mes parents mettent tout sur le dos du véganisme, pensent que je suis devenue "orthorexique" et restent persuadés que c'est une alimentation moins consistante, mauvaise pour les muscles etc. Ils contrôlent beaucoup mon corps (ils ont un engin connecté pour l'équilibre muscles/masse grasse) et me font plus de remarques qu'avant. Tout est prétexte à démonter le véganisme.
Aujourd'hui encore, j'ai fait un piercing dans le cartilage de l'oreille, et selon le gars je saignais beaucoup (1 à 2 minutes avant que ça s'arrête, ça coulait bien selon lui et mes proches présents, moi j'ai rien vu). Il m'a dit que c'était pas normal... Il pensait même que j'avais bu la veille etc. (que neni) Selon lui, un piercing ne fait pas saigner, pas aux oreilles en tous cas (je suis sceptique). Bref. On m'a resservi le truc du diabolique véganisme, ouhlàlà. Et c'en était trop, j'avais besoin de vous en parler, d'avoir des solutions pour mes carences etc... (je me supplémente déjà en fer, et en B12 aussi, mais là pas de problèmes)
On m'a suggéré une mal-absorption des intestins en ce qui concerne le fer, c'est possible ? (j'ai souvent eu des soucis intestinaux, des barres pas possibles au niveau du haut du ventre, moins depuis que je suis végétalienne cependant) Sinon, j'avais pas de problème de fer auparavant (bon, je mangeais de la viande rouge deux fois par jour, ahem) ni de plaquettes, alors je suis un peu paumée... D'autant que j'aimerais commencer la méthode lafay pour me muscler, alors je sais pas trop comment manger etc...
Connaissez-vous des généralistes/nutritionnistes veg-friendly sur Lille et alentours ?
Enfin voilà, merci pour la lecture si vous en avez eu le courage