Bonjour,
Je débarque dans le véganisme, je n'ai sans doute pas besoin de vous expliquer le pourquoi du comment, puisque vous avez fait ce chemin avant moi; je préciserais juste l'aspect très personnel que je suis une "carnolique" enfin abstinente lol, car oui, il y a tout de même cet aspect de dépendance (culturelle? bio-chimique? auto-destructrice? ...un peu de tout?
) , mais "heureusement', cette addiction-ci ne concernant pas que ma seule petite personne, je ne pouvais pas moralement continuer sur cette voie et y entrainer plus longtemps mes enfants en restant cohérente dans les valeurs que je tente de leur transmettre.
Nous avons été végétariens, puis végétaliens (puis un peu crudivore sur la fin) pendant un peu plus de deux ans, pour les seules raisons égocentriques de santé (la seule nôtre donc) (...et suivi d'une période d'un an et demi d'abandonisme, pour diverses raisons privées, j'avais plus assez d'énergie pour tout mener de front, mais on est de retour et c'est là l'essentiel
), mais cela aura tout de même eu le gros avantage de nous sensibiliser progressivement à tous ces questionnements bien plus vastes sur le respect de La Vie, cette grande dame dont nous ne sommes finalement qu'une cellule, mais donc avec notre rôle à tenir, sans plus "gangrainer" cet équilibre devenu si fragile.
Bilan actuel: en très bonne voie ...bon, j'ai encore du miel dans l'armoire et je n'arrive pas à me défaire d'un manteau fourré très chaud qui m'a coûté la peau du cul ...ouai je sais, "...qui a coûté la peau du cul aux agneaux concernés par cette boucherie" ( ...à l'époque, ma "bonne excuse" était que je les bouffais de toute façon, les agneaux (j'adore ça, j'en suis pas fière, mais c'est une vérité), enfin bref, ça va viendre, et je le baquerais probablement quand je serais prête à symboliquement tourner définitivement la dernière page de ce "deuil culturel" nécessaire.
Prochaine étape: 'armer" mes mômes suffisemment pour résister à la pression sociale ...et dans le contexte famillial/scolaire, ça va pas être de la tarte 
Je débarque dans le véganisme, je n'ai sans doute pas besoin de vous expliquer le pourquoi du comment, puisque vous avez fait ce chemin avant moi; je préciserais juste l'aspect très personnel que je suis une "carnolique" enfin abstinente lol, car oui, il y a tout de même cet aspect de dépendance (culturelle? bio-chimique? auto-destructrice? ...un peu de tout?
) , mais "heureusement', cette addiction-ci ne concernant pas que ma seule petite personne, je ne pouvais pas moralement continuer sur cette voie et y entrainer plus longtemps mes enfants en restant cohérente dans les valeurs que je tente de leur transmettre. Nous avons été végétariens, puis végétaliens (puis un peu crudivore sur la fin) pendant un peu plus de deux ans, pour les seules raisons égocentriques de santé (la seule nôtre donc) (...et suivi d'une période d'un an et demi d'abandonisme, pour diverses raisons privées, j'avais plus assez d'énergie pour tout mener de front, mais on est de retour et c'est là l'essentiel
), mais cela aura tout de même eu le gros avantage de nous sensibiliser progressivement à tous ces questionnements bien plus vastes sur le respect de La Vie, cette grande dame dont nous ne sommes finalement qu'une cellule, mais donc avec notre rôle à tenir, sans plus "gangrainer" cet équilibre devenu si fragile.Bilan actuel: en très bonne voie ...bon, j'ai encore du miel dans l'armoire
et je n'arrive pas à me défaire d'un manteau fourré très chaud qui m'a coûté la peau du cul ...ouai je sais, "...qui a coûté la peau du cul aux agneaux concernés par cette boucherie" ( ...à l'époque, ma "bonne excuse" était que je les bouffais de toute façon, les agneaux (j'adore ça, j'en suis pas fière, mais c'est une vérité), enfin bref, ça va viendre, et je le baquerais probablement quand je serais prête à symboliquement tourner définitivement la dernière page de ce "deuil culturel" nécessaire.Prochaine étape: 'armer" mes mômes suffisemment pour résister à la pression sociale ...et dans le contexte famillial/scolaire, ça va pas être de la tarte
