moogli
Mange de la salade
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Peut être avec le patriarcat?
Une chose que j'ai envie d'ajouter pour parfaire l'idée que la violence éducative ordinaire, de la maltraitance autorisée à la maltraitance délictueuse ou criminelle, ces types d'éducations produisent des êtres atteints dans leur capacité à la coopération, l'entraide et l'attention aux autres. Et potentiellement violent. Pour les individus éduqués dans le virilisme, et recevant des doses plus ou moins importantes de violences par leurs parents…. on imagine bien comme la donnée du patriarcat est fondamentale pour comprendre la violence qui existe dans le monde. Un très beau texte que j'ai trouvé et qui l'exprime très bien:
"La domination est masculine.
L'animalicide, le féminicide, les guerres, le capitalisme, le racisme, l'inégalité des richesses EST patriarcale.
Tout ça, tout ce qu'il se passe , c'est une guerre d'hommes. Une guerre de pouvoir, de conquête. De conquêtes de territoire, du corps des femmes, du corps des animaux.
Les religions, les lois, les politiques ne sont que des armes pour les hommes afin de conquérir le peuple des femmes, de leurs enfants, des animaux et de la terre.
D'ailleurs, où que l'on soit, partout, tout le temps, nous les femmes, eux les animaux, nous sommes des objects à consommer. Les animaux par leur corps, leur chair, nous les femmes, par le sexe. Une féministe avait dit en s'adressant aux hommes: "La série de violences légales que vous exercez contre notre territoire corporel est légion". C'est une conquête de territoire. C'est bien ça.
99% du capital foncier mondial est possédé par des hommes.
La propriété, la conquête, les tueries, les guerres sont masculines bien avant la religion, les lois et la politique...
Là où l’on voit une religion, une couleur de peau, de la politique ou du fanatisme, j’y vois, moi, un homme. Ce sont des hommes qui tirent sur des personnes. Ce sont des hommes qui roulent sur des enfants. Ce sont des hommes qui lâchent des bombes sur des civils dans d’autres pays. Ce ne sont quasiment que des hommes qui s’explosent dans des lieux publics pour tuer. Dans les abattoirs, ce sont les hommes qui tuent. Il n’y a pas de tueuses. Ce sont les hommes qui dirigent depuis toujours le monde et qui le tue. Lui, ses espèces, toutes. C’est leur guerre. Pas seulement la guerre des riches ou des blancs. C’est la guerre des hommes pour conquérir les autres peuples, partout. La violence patriarcale est sans classe, sans couleur, sans frontière. Ils veulent se conquérir entre eux. Conquérir le peuple des femmes humaines. Le peuple de tous les animaux non humain. Et conquérir le territoire terrien.
Avant hier encore, c'était un homme qui roulait sur des enfants, des femmes et d'autres hommes. En novembre c'était des hommes qui se faisait exploser dans des lieux publics et qui tiraient sur des gens. En janvier 2015, c'était encore des hommes qui tiraient sur des journalistes et sur un homme, à terre, qui suppliait. Bien sûr qu'il y a des femmes qui tirent. Mais comme il y a 3% (ou 2%) de femmes qui violent, ce n'est pas représentatif d'une classe entière.
N'y voir qu'un problème de religion ou de politique sans y voir le patriarcat comme source de ces maux, c'est fermer les yeux.
Les hommes sont partout, dans tous les interviews, sur tous les sujets ils donnent leurs avis, 80 % de femmes dans la lutte Animaliste, pourtant seuls des hommes sont médiatisés. Ils nous donnent leurs sciences, leurs trop plein d'études trop chouettes sur tout, en sachant qu'ils sont des criminels. S'ils ne le sont pas directement ils le sont par non dénonciation de leur classe meurtrière et destructrice, en acceptant sans remettre en question ces privilèges de mâles qui tue. Par la protection de leur père, frères, amis, copains violeurs, violents. A chaque fois qu'on dénonce un acte criminel patriarcal (euphémisme) par un autre nom que ça, c'est donner un peu plus de territoire au patriarcat, c'est l'aider à conquérir. Ils nous font la guerre à nous, ils se la font entre eux. Par des systèmes de classes, par le racisme, par la fermeture des frontières. Et pour nous et nos enfants, c'est la double voire triple peine.
Il n’y a pas de biologie dans tout ça. Il n’y existe pas un endroit dans le cerveau qui prédéfinit que les hommes vont tuer, violer, conquérir. Il n’y a qu’une éducation sociale qui explique que les hommes (avec un tout petit h) sont entre 78 et 98 % responsables des infanticides, féminicides, homicide, viols, braquages, incendies criminels, vols, harcèlement, violences conjugales...
Cette éducation sociale, elle inculque aux femmes d'être douces, emphatiques, aimantes et soumises. Et aux hommes d'être virils, forts, sans émotions: "ça ne pleure pas un garçon!".
Mais heureusement qu’il n’est question que d’éducation et pas de biologie, d'innée, parce que ça veut dire que les choses peuvent changer avec une éducation basée sur la justice, l'empathie, et l'entraide. Et elles changeront... par le renversement du patriarcat!"
Une chose que j'ai envie d'ajouter pour parfaire l'idée que la violence éducative ordinaire, de la maltraitance autorisée à la maltraitance délictueuse ou criminelle, ces types d'éducations produisent des êtres atteints dans leur capacité à la coopération, l'entraide et l'attention aux autres. Et potentiellement violent. Pour les individus éduqués dans le virilisme, et recevant des doses plus ou moins importantes de violences par leurs parents…. on imagine bien comme la donnée du patriarcat est fondamentale pour comprendre la violence qui existe dans le monde. Un très beau texte que j'ai trouvé et qui l'exprime très bien:
"La domination est masculine.
L'animalicide, le féminicide, les guerres, le capitalisme, le racisme, l'inégalité des richesses EST patriarcale.
Tout ça, tout ce qu'il se passe , c'est une guerre d'hommes. Une guerre de pouvoir, de conquête. De conquêtes de territoire, du corps des femmes, du corps des animaux.
Les religions, les lois, les politiques ne sont que des armes pour les hommes afin de conquérir le peuple des femmes, de leurs enfants, des animaux et de la terre.
D'ailleurs, où que l'on soit, partout, tout le temps, nous les femmes, eux les animaux, nous sommes des objects à consommer. Les animaux par leur corps, leur chair, nous les femmes, par le sexe. Une féministe avait dit en s'adressant aux hommes: "La série de violences légales que vous exercez contre notre territoire corporel est légion". C'est une conquête de territoire. C'est bien ça.
99% du capital foncier mondial est possédé par des hommes.
La propriété, la conquête, les tueries, les guerres sont masculines bien avant la religion, les lois et la politique...
Là où l’on voit une religion, une couleur de peau, de la politique ou du fanatisme, j’y vois, moi, un homme. Ce sont des hommes qui tirent sur des personnes. Ce sont des hommes qui roulent sur des enfants. Ce sont des hommes qui lâchent des bombes sur des civils dans d’autres pays. Ce ne sont quasiment que des hommes qui s’explosent dans des lieux publics pour tuer. Dans les abattoirs, ce sont les hommes qui tuent. Il n’y a pas de tueuses. Ce sont les hommes qui dirigent depuis toujours le monde et qui le tue. Lui, ses espèces, toutes. C’est leur guerre. Pas seulement la guerre des riches ou des blancs. C’est la guerre des hommes pour conquérir les autres peuples, partout. La violence patriarcale est sans classe, sans couleur, sans frontière. Ils veulent se conquérir entre eux. Conquérir le peuple des femmes humaines. Le peuple de tous les animaux non humain. Et conquérir le territoire terrien.
Avant hier encore, c'était un homme qui roulait sur des enfants, des femmes et d'autres hommes. En novembre c'était des hommes qui se faisait exploser dans des lieux publics et qui tiraient sur des gens. En janvier 2015, c'était encore des hommes qui tiraient sur des journalistes et sur un homme, à terre, qui suppliait. Bien sûr qu'il y a des femmes qui tirent. Mais comme il y a 3% (ou 2%) de femmes qui violent, ce n'est pas représentatif d'une classe entière.
N'y voir qu'un problème de religion ou de politique sans y voir le patriarcat comme source de ces maux, c'est fermer les yeux.
Les hommes sont partout, dans tous les interviews, sur tous les sujets ils donnent leurs avis, 80 % de femmes dans la lutte Animaliste, pourtant seuls des hommes sont médiatisés. Ils nous donnent leurs sciences, leurs trop plein d'études trop chouettes sur tout, en sachant qu'ils sont des criminels. S'ils ne le sont pas directement ils le sont par non dénonciation de leur classe meurtrière et destructrice, en acceptant sans remettre en question ces privilèges de mâles qui tue. Par la protection de leur père, frères, amis, copains violeurs, violents. A chaque fois qu'on dénonce un acte criminel patriarcal (euphémisme) par un autre nom que ça, c'est donner un peu plus de territoire au patriarcat, c'est l'aider à conquérir. Ils nous font la guerre à nous, ils se la font entre eux. Par des systèmes de classes, par le racisme, par la fermeture des frontières. Et pour nous et nos enfants, c'est la double voire triple peine.
Il n’y a pas de biologie dans tout ça. Il n’y existe pas un endroit dans le cerveau qui prédéfinit que les hommes vont tuer, violer, conquérir. Il n’y a qu’une éducation sociale qui explique que les hommes (avec un tout petit h) sont entre 78 et 98 % responsables des infanticides, féminicides, homicide, viols, braquages, incendies criminels, vols, harcèlement, violences conjugales...
Cette éducation sociale, elle inculque aux femmes d'être douces, emphatiques, aimantes et soumises. Et aux hommes d'être virils, forts, sans émotions: "ça ne pleure pas un garçon!".
Mais heureusement qu’il n’est question que d’éducation et pas de biologie, d'innée, parce que ça veut dire que les choses peuvent changer avec une éducation basée sur la justice, l'empathie, et l'entraide. Et elles changeront... par le renversement du patriarcat!"