Picatau
Fait crier les carottes
Bonjour à tous et à toutes,
Comme c'est la coutume sur les forums, je vais vous parler un peu de moi pour ce premier message.
Avant tout, ce qui m'a poussé à m'inscrire sur ce forum, c'est le sentiment d'avoir besoin d'échanger, à ce stade de ma vie, à l'approche de la quarantaine, sur le thème de l'alimentation végétalienne et plus largement la pensée végane.
Cela fait très longtemps, aussi loin que je me souvienne, que je suis sensible à la condition animale. J'ai malgré tout mangé carné toute mon enfance et adolescence et une partie de ma vie d'adulte.
Je me suis essayé au végétarisme à plusieurs reprises à partir de l'âge de 22 ans mais de manière discontinue avec des reprises d'alimentation carnée (6 mois de végétarisme/6 mois d'alimentation carnée par exemple).
Je dois dire que c'est aussi à cet âge là que j'ai contracté une maladie au long cours, bénigne mais difficile à vivre (absolument sans lien avec le végétarisme), qui m'a à la fois conduit vers la remise en question, dans la suite logique de mon vécu en somme, de mon régime alimentaire mais qui a aussi mis des barrières à mon végétarisme. Je ne rentre pas dans les détails.
Quoi qu'il en soit, je m'efforce de me nourrir à ce jour de manière strictement végétalienne (c'est pas si facile chez les amis où il y a toujours quelques préparations avec des oeufs ou du lait) et de bannir les produits d'origine animale ainsi que d'éviter les produits testés sur animaux (même si pour les médicaments que je prends, c'est impossible). J'accorde aussi une importance au fait de consommer local et bio autant que possible. Je vous laisse le soin de me catégoriser comme vous voudrez.
A vrai dire, je ne suis pas satisfait malgré mes efforts car même si je fais ce que je peux pour éviter la souffrance animale, je sais très bien qu'il est impossible de ne pas nuire du tout. Je m'en tiens donc à nuire le moins possible, encore que il y ait bien des choses que je fais qui ne sont pas absolument nécessaires comme le simple fait de marcher dans l'herbe. Bref, je souffre au fond de cette condition de vivant qui nécessite la mort indirecte de milliards d'êtres et organismes pour me permettre de vivre. C'est pourquoi je ne retire aucun sentiment de fierté ou de supériorité de mes choix alimentaires ou de mon mode de consommation.
Voilà pour l'essentiel sinon j'ai des milliers de questions qui me trotte dans la tête.
Comme c'est la coutume sur les forums, je vais vous parler un peu de moi pour ce premier message.
Avant tout, ce qui m'a poussé à m'inscrire sur ce forum, c'est le sentiment d'avoir besoin d'échanger, à ce stade de ma vie, à l'approche de la quarantaine, sur le thème de l'alimentation végétalienne et plus largement la pensée végane.
Cela fait très longtemps, aussi loin que je me souvienne, que je suis sensible à la condition animale. J'ai malgré tout mangé carné toute mon enfance et adolescence et une partie de ma vie d'adulte.
Je me suis essayé au végétarisme à plusieurs reprises à partir de l'âge de 22 ans mais de manière discontinue avec des reprises d'alimentation carnée (6 mois de végétarisme/6 mois d'alimentation carnée par exemple).
Je dois dire que c'est aussi à cet âge là que j'ai contracté une maladie au long cours, bénigne mais difficile à vivre (absolument sans lien avec le végétarisme), qui m'a à la fois conduit vers la remise en question, dans la suite logique de mon vécu en somme, de mon régime alimentaire mais qui a aussi mis des barrières à mon végétarisme. Je ne rentre pas dans les détails.
Quoi qu'il en soit, je m'efforce de me nourrir à ce jour de manière strictement végétalienne (c'est pas si facile chez les amis où il y a toujours quelques préparations avec des oeufs ou du lait) et de bannir les produits d'origine animale ainsi que d'éviter les produits testés sur animaux (même si pour les médicaments que je prends, c'est impossible). J'accorde aussi une importance au fait de consommer local et bio autant que possible. Je vous laisse le soin de me catégoriser comme vous voudrez.
A vrai dire, je ne suis pas satisfait malgré mes efforts car même si je fais ce que je peux pour éviter la souffrance animale, je sais très bien qu'il est impossible de ne pas nuire du tout. Je m'en tiens donc à nuire le moins possible, encore que il y ait bien des choses que je fais qui ne sont pas absolument nécessaires comme le simple fait de marcher dans l'herbe. Bref, je souffre au fond de cette condition de vivant qui nécessite la mort indirecte de milliards d'êtres et organismes pour me permettre de vivre. C'est pourquoi je ne retire aucun sentiment de fierté ou de supériorité de mes choix alimentaires ou de mon mode de consommation.
Voilà pour l'essentiel sinon j'ai des milliers de questions qui me trotte dans la tête.