Bonjour,
C’est la première fois que je participe à un Forum. L’homme étant un animale sociale, les végés (comme toute communauté marginale) ont besoin de se lier pour se sentir bien, et parfois pour se consoler.
J’étais une végétarienne de longue date avant de devenir végétalienne en janvier 2011, avec mon conjoint. Le changement était provoqué par le livre de Jonathan Foer « Faut-il manger des animaux », et puis archi-consolidé par tout un tas d’autres livres/images/vidéos/films comme « Terriens » et le discours de Gary Yourofsky [http://www.adaptt.org/videos.html] (que je recommande au plus haut point – c’est un très bon vidéo (même si très américain) à montrer aux non-convaincus.
J’ai deux enfants véganes de 2 et 4 ans. L’ainée est scolarisée et mange végane à l’école (et oui). Je serais ravie de partager mes expériences avec d’autres parents d’enfants scolarisés pour apprendre comment d’autres naviguent dans ces eaux parfois hostiles !
Avant 2011, j’étais une végétarienne très sympathique. J’évitais les questions sur mon alimentation ; je m’excusais presque auprès de mon entourage. J’avais peur de mal répondre, d’effrayer mon interlocuteur et d’endommager la cause des animaux avec une réaction trop émotionnelle. Et je ne voulais pas être moi-même dans le « jugement ».
Depuis que je me suis documentée et que je participe aux actions pour la cause, j’ai trouvé ma voix et mon discours devient de plus en plus serein ET efficace (même si loin de parfait!). Je ne peux plus me taire quand l’occasion arrive de parler pour la défense des animaux.
J’étais blessée quand ma mère m’accusait d’être une missionnaire zélée mais, en fait, elle a parfaitement raison. Je veux que l’on arrête de retenir, mutiler et assassiner les animaux pour notre seule plaisir, oui. Et, comme ils ne peuvent pas se défendre, ils ont besoin de nous. Aujourd’hui je juge ses actes avec la même sévérité que je juge la mutilation et meurtre d’humaines. Mon travail continuel est de ne pas juger les humains pour leurs actes, mais d’essayer de leur montrer qu’ils participent directement à quelque chose de Mal – non digne de notre espèce dite « supérieur ».
Et finalement, je suis de nationalité anglaise donc je m’excuse par avance mes erreurs de langage.
C’est la première fois que je participe à un Forum. L’homme étant un animale sociale, les végés (comme toute communauté marginale) ont besoin de se lier pour se sentir bien, et parfois pour se consoler.
J’étais une végétarienne de longue date avant de devenir végétalienne en janvier 2011, avec mon conjoint. Le changement était provoqué par le livre de Jonathan Foer « Faut-il manger des animaux », et puis archi-consolidé par tout un tas d’autres livres/images/vidéos/films comme « Terriens » et le discours de Gary Yourofsky [http://www.adaptt.org/videos.html] (que je recommande au plus haut point – c’est un très bon vidéo (même si très américain) à montrer aux non-convaincus.
J’ai deux enfants véganes de 2 et 4 ans. L’ainée est scolarisée et mange végane à l’école (et oui). Je serais ravie de partager mes expériences avec d’autres parents d’enfants scolarisés pour apprendre comment d’autres naviguent dans ces eaux parfois hostiles !
Avant 2011, j’étais une végétarienne très sympathique. J’évitais les questions sur mon alimentation ; je m’excusais presque auprès de mon entourage. J’avais peur de mal répondre, d’effrayer mon interlocuteur et d’endommager la cause des animaux avec une réaction trop émotionnelle. Et je ne voulais pas être moi-même dans le « jugement ».
Depuis que je me suis documentée et que je participe aux actions pour la cause, j’ai trouvé ma voix et mon discours devient de plus en plus serein ET efficace (même si loin de parfait!). Je ne peux plus me taire quand l’occasion arrive de parler pour la défense des animaux.
J’étais blessée quand ma mère m’accusait d’être une missionnaire zélée mais, en fait, elle a parfaitement raison. Je veux que l’on arrête de retenir, mutiler et assassiner les animaux pour notre seule plaisir, oui. Et, comme ils ne peuvent pas se défendre, ils ont besoin de nous. Aujourd’hui je juge ses actes avec la même sévérité que je juge la mutilation et meurtre d’humaines. Mon travail continuel est de ne pas juger les humains pour leurs actes, mais d’essayer de leur montrer qu’ils participent directement à quelque chose de Mal – non digne de notre espèce dite « supérieur ».
Et finalement, je suis de nationalité anglaise donc je m’excuse par avance mes erreurs de langage.