Citations sur la consommation de viande et le végétarisme : trouvées ici :
http://flolebill.hautetfort.com/arc...-vegetariens-vegetaliens-vegans-celebres.html
Pythagore :
«Quiconque tranche avec un couteau la gorge d’un bœuf et reste sourd aux meuglements d’effroi, quiconque est capable d’abattre de sang-froid le chevreau hurlant et mange l’oiseau qu’il a lui-même nourri, est-il encore très éloigné du crime ?»
Confucius :
«Quiconque a entendu les cris d’un animal qu’on tue ne peut plus jamais manger de sa chair.»
«Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s'entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l'amour.»
Saint Paul:
«Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin…» (Épître aux Romains, 14, 21)
Léonard de Vinci :
«J'ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd'hui le meurtre de leurs semblables.»
Voltaire:
«Qu’y a-t-il de plus repoussant que de se nourrir continuellement de chair de cadavre ?»
«Des barbares saisissent ce chien, qui l'emporte si prodigieusement sur l'homme en amitié ; ils le clouent sur une table, et ils le dissèquent vivant pour en montrer les veines mésaraïques. Tu découvres dans lui tous les mêmes organes de sentiment qui sont dans toi. Réponds-moi, machiniste, la nature a-t-elle arrangé tous les ressorts du sentiment dans cet animal afin qu'il ne sente pas ? A-t-il des nerfs pour rester impassible ?»
Jeremy Bentham :
«Les français ont déjà réalisé que la peau foncée n'est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d'un persécuteur. Peut-être finira-t-on un jour par s'apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l'extrémité de l'os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d'abandonner une créature sensible au même sort. (...) La question n'est pas: "Peuvent-ils raisonner ?" ni "Peuvent-ils parler ?" mais "Peuvent-ils souffrir ?"»
Georges Cuvier :
«L'anatomie comparée nous enseigne qu'en toute chose, l'homme, ressemble aux animaux frugivores, et en rien aux carnivores... Ce n'est qu'en déguisant la chair morte rendue plus tendre par des préparatifs culinaires, qu'elle est susceptible d'être mastiquée et digérée par l'homme chez qui, de la sorte, la vue des viandes crues et saignantes n'excite pas l'horreur et le dégout.»
Lamartine :
«Ma mère était convaincue, et j'ai gardé à cet égard ses convictions, que tuer les animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang est l'une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine; que c'est une de ces malédictions jetées sur l'homme par l'endurcissement de sa propre perversité. Elle croyait, et je crois comme elle, que ces habitudes d'endurcissement du cœur à l'égard des animaux les plus doux, ces immolations, ces appétits de sang, cette vue des chairs palpitantes, sont faits pour férociser les instincts du cœur.»
«On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a un cœur ou on n'en a pas.»
Darwin :
«Peu d'hommes pourraient supporter pendant cinq minutes l'observation d'un animal se débattant, avec un membre écrasé ou déchiqueté.»
«La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores.»
Thomas Henry Huxley :
«L'homme vint avant la hache et le feu, il ne pouvait donc pas être omnivore.»
Emile Zola :
«La cause des animaux passe avant le souci de me ridiculiser.»
«Pourquoi la souffrance d'une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l'idée qu'une bête souffre, au point de me relever la nuit, l'hiver, pour m'assurer que mon chat a bien sa tasse d'eau ? [...] Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes est faite de ce qu'elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n'a aucune moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n'est ce pas affreux, n'est ce pas angoissant ?»
Friedrich :
«Toute la philosophie antique était orientée sur la simplicité de la vie et enseignait une certaine sobriété. De ce point de vue, le peu de végétariens par philosophie ont fait plus pour l’humanité que tous les philosophes modernes et tant qu’ils n’auront pas le courage de chercher un mode de vie totalement différent et de l’indiquer comme exemple, ils ne porteront aucun fruit.»
Thomas Edison :
«Je suis végétarien et antialcoolique: ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau.»
Romain Rolland :
«La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »
Mahatma Gandhi :
«La grandeur d'une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux.»
«S'abstenir de viande est d'un grand secours pour l'élévation de l'âme.»
Albert Schweitzer :
«Jadis, le fait de croire que les hommes de couleur étaient vraiment des hommes et devaient être traités humainement passait pour une folie. Aujourd'hui, on considère comme exagéré de prétendre qu'un des devoirs imposés par l'éthique rationnelle est de respecter ce qui vit, même dans ses formes inférieures. Mais un jour, on s'étonnera qu'il ait fallu autant de temps à l'humanité pour admettre que des déprédations insouciantes causées à ce qui vit sont incompatibles avec l'éthique.»
«Nous devons combattre l'esprit de cruauté naïve avec laquelle nous disposons de l'animal. Les religions et la philosophie se sont préoccupées du problème de notre comportement envers nos semblables mais non à l'égard de l'animal, qui est pourtant susceptible des mêmes souffrances que nous. Un comportement véritablement humain ne nous permet pas de lui imposer des épreuves. C'est tardivement que nous avons pris conscience de ce problème. Nous devons susciter dans le monde un mouvement d'opinion et prendre au sérieux un devoir que nous avons jusqu'à présent perdu de vue.»
Albert Einstein :
«Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d'opter pour une diète végétarienne.»
Isaac Bashevis Singer :
«Dans leur comportement avec les animaux, tous les hommes se comportent comme des nazis.»
Theodore Monod :
«Ce qu'on peut critiquer, c'est cette prééminence exclusive donnée à l'homme, car cela implique tout le reste. Si l'homme se montrait plus modeste et davantage convaincu de l'unité des choses et des êtres, de sa responsabilité et de sa solidarité avec les autres êtres vivants, les choses seraient bien différentes. Ce n'est peut-être qu'un espoir.»
Theodore Adorno :
«Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce sont seulement des animaux.»
Marguerite Yourcenar :
«Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exercent si souvent contre l'homme parce qu'elles se sont fait la main sur les bêtes. Rappelons-nous, s'il faut toujours tout ramener à nous-mêmes, qu'il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés, moins de wagons plombés amenant à la mort les victimes de quelconques dictatures, si nous n'avions pris l'habitude des fourgons où les bêtes agonisent sans nourriture et sans eau en attendant l'abattoir.»
«Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes amis.»
«La protection de l’animal, c’est au fond le même combat que la protection de l’Humain.»
Claude Lévi-Strauss :
«Depuis une quinzaine d'années, l'ethnologue prend davantage conscience que les problèmes posés par les préjugés raciaux reflètent à l'échelle humaine un problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui des rapports entre l'homme et les autres espèces vivantes ; et il ne servirait à rien de prétendre le résoudre sur le premier plan si on ne s'attaquait pas aussi à lui sur l'autre, tant il est vrai que le respect que nous souhaitons obtenir de l'homme envers ses pareils n'est qu'un cas particulier du respect qu'il devrait ressentir pour toutes les formes de la vie.»
Albert Simon : (pour les végétariens qui mangent des animaux marins et les humains omnivores)
«Ce n'est pas parce que les poissons sont incapables de crier que leur mort est moins violente. Ramasser des oiseaux sauvages dabs un filet et les noyer lentement, en les plongeant dans l'eau, semble difficilement acceptable et pourtant c''est l'équivalent de la pêche commerciale. Que dirait-on aussi d'une industrie qui installerait verticalement des filets mesurant plusieurs centaines de mètres de hauteur et s'étendant sur plusieurs kilomètres à travers champs et forêts, dans le but d'accrocher au passage tous les oiseaux sauvages, migrateurs ou autres, et les laisserait mourir là ? Ce n'est pas parce que cette pratique a lieu sous les mers qu'elle devient acceptable.»
Morris Desmond :
«Les animaux de ferme ne sont plus que de la viande sur pattes. Transformés en aliments, ils sont conditionnés afin que disparaisse tous signe de leur nature. Au cours d'une enquête, on a demandé à des enfants des villes d'où venaient les oeufs. Du supermarché, ont-ils répondu. Mais avant, d'où venaient-ils ? Ils ont haussé les épaules. [...] Nous vivons dans l'ère de la spécialisation, et les questions de vie et de mort sont gardées secrètement à distance. S'il fallait faire l'abattage nous-mêmes, les végétariens seraient beaucoup plus nombreux. Ceux qui nous vendent ces aliments s'en doutent, et c'est pourquoi la plus grande partie de la viande est exposée sous forme de paquets enveloppés de cellophane ou de nylon qui ne donnent pas le moindre indice de son origine animale. C’est une nourriture abstraite pour une génération qui préfère ne pas associer la viande qu'elle consomme avec les animaux dont elle provient. »
Brigitte Bardot :
«Ayez le courage de vos opinions, visitez les abattoirs et continuez de manger de la viande si vous n’avez pas le cœur soulevé par ce que vous avez vu ! Il est difficile sinon impossible lorsque l’on sait ce qui se passe dans les abattoirs de continuer de manger de la viande.»
Le Dalaï-lama :
«D’un point de vue bouddhique, tous les êtres sensibles - les êtres doués de sentiments, d’expériences et de sensations - sont considérés comme égaux. Nous autres, êtres humains, sommes en mesure de nous passer de viande. En tant qu’être humain, je pense que notre nature profonde nous porte au végétarisme, ainsi qu’à faire tout notre possible pour éviter de nuire aux autres espèces.»
Eugen Drewermann :
«Aussi longtemps que les hommes tueront les animaux, ils feront la guerre. Aussi longtemps que les hommes mangeront des animaux, ils tortureront à mort leurs victimes innocentes : par centaines de milliers dans les laboratoires et les installations d’élevage collectif, par millions dans les abattoirs des villes, par myriades dans les mers du monde. Leur fleuve de sang ne doit pas servir plus longtemps de nourriture, leur corps de matière première, leur vie de provision pour nous les hommes.»
Paul Singer :
« Rien ne justifie de refuser d'étendre le principe fondamental d'égalité de considération des intérêts aux membres des autres espèces - hormis le désir égoïste de préserver les privilèges du groupe exploiteur.»
John Robbins :
«J’ai récolté des choux et cueilli des carottes de la terre et j’ai aussi visité des abattoirs ; ces expériences ne peuvent pas se comparer.»
Martina Navratilova :
«Comment pouvez-vous avoir un animal comme compagnon et un autre pour le lunch ?»
Suzanne Antoine :
«Plus encore que l'ambiguïté de la situation de l'animal dans la société humaine, l'obstacle majeur à la reconnaissance de ses droits par une loi provient de l'intérêt économique qu'il suscite ; l'animal représente une source de profit si importante qu'on le laisse volontairement réduit à son aspect de produit utilitaire, sans se soucier de sa nature d'être sensible, vivant et souffrant. Les avantages économiques qui naissent de l'exploitation animale vont de pair avec des considérations politiques : la protection de l'animal passe au second rang quand il s'agit de préserver les intérêts de groupes influents.»
Harvey Diamond :
«Mettez un enfant dans un berceau avec une pomme et un lapin. S'il mange le lapin et joue avec la pomme, je vous achète une voiture neuve!»
Chee/Soo, Le Tao de longue vie :
«La chair de l'homme est exactement la même que la chair rouge des animaux ; en mangeant de la chair animale, l'homme est devenu cannibale.»