Croustifouette
Jeune bulbe
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Salut tout le monde.
Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas inscrit sur un forum, les années lycées semblent m'avoir rattrapées cette nuit alors que je rêvais d'un poireau agonisant sous les coups de fouets d'un végétarien tortionnaire. Je suis Croustifouette, humble développeur web de 29 ans cherchant actuellement sa voie dans les méandres de l'alimentation. J'aime le houmous.
Mais trêve de plaisanteries. Vous remarquerez avec ferveur que j'aime écrire toute ce qui me passe par la tête (ce qui fait parfois mal lorsqu'il s'agit d'un parpaing), mais je suis bien ici pour débattre de choses sérieuses. Voilà quelques mois maintenant que j'essaie de me ré-éduquer d'un point de vue alimentaire. La manière dont je consomme ne me satisfait plus sur le plan éthique, je n'arrive plus à fermer les yeux sur la réalité des abattoirs et le mal-être animal qui est aujourd'hui omniprésent. Je ne suis pas à proprement un végétarien, en tous cas pas encore, il m'arrive encore de manger de la viande à l'occasion, lorsque je vais chez des amis, au restaurant, ou tout simplement parce que j'en ai envie.
Abandonner la viande est pour moi un objectif qui se fait de plus en plus clair à mesure que je découvre l'envers du décor. Mais il s'agit d'un chemin difficile et semé d'embûches. Ayant été élevé dans la culture de la "bonne bouffe", nous allions au restaurant très fréquemment et la viande, le fromage, les oeufs, ont pris une importance capitale dans ma manière de m'alimenter. Voilà bien le combat que je mène aujourd'hui contre moi-même : oui j'aime la viande, mais non je ne veux plus en manger. Car je me rends désormais bien compte de la triste réalité et je ne veux plus fermer les yeux. J'ai été élevé dans la compassion et l'empathie, et la viande que je pensais mettre dans ma bouche de manière innocente ne reflète pas ces qualités.
Nous sommes tous coupables. Pour autant, ce n'est pas la culpabilité qui me guide dans ma démarche aujourd'hui, car celle-ci ne produit que de la frustration et du jugement. Cette culpabilité doit laisser place à de la responsabilité pleinement assumée, qui se matérialise par un simple fait : nous avons le choix, et aujourd'hui je choisis de me battre pour un monde meilleur. Il existe une multitude de combats à mener aujourd'hui sur terre, j'ai choisi le mien.
Au plaisir donc de débattre avec vous et d'en apprendre toujours plus pour m'apporter l'énergie dont j'ai besoin pour mener ce combat.
Croustifouette
Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas inscrit sur un forum, les années lycées semblent m'avoir rattrapées cette nuit alors que je rêvais d'un poireau agonisant sous les coups de fouets d'un végétarien tortionnaire. Je suis Croustifouette, humble développeur web de 29 ans cherchant actuellement sa voie dans les méandres de l'alimentation. J'aime le houmous.
Mais trêve de plaisanteries. Vous remarquerez avec ferveur que j'aime écrire toute ce qui me passe par la tête (ce qui fait parfois mal lorsqu'il s'agit d'un parpaing), mais je suis bien ici pour débattre de choses sérieuses. Voilà quelques mois maintenant que j'essaie de me ré-éduquer d'un point de vue alimentaire. La manière dont je consomme ne me satisfait plus sur le plan éthique, je n'arrive plus à fermer les yeux sur la réalité des abattoirs et le mal-être animal qui est aujourd'hui omniprésent. Je ne suis pas à proprement un végétarien, en tous cas pas encore, il m'arrive encore de manger de la viande à l'occasion, lorsque je vais chez des amis, au restaurant, ou tout simplement parce que j'en ai envie.
Abandonner la viande est pour moi un objectif qui se fait de plus en plus clair à mesure que je découvre l'envers du décor. Mais il s'agit d'un chemin difficile et semé d'embûches. Ayant été élevé dans la culture de la "bonne bouffe", nous allions au restaurant très fréquemment et la viande, le fromage, les oeufs, ont pris une importance capitale dans ma manière de m'alimenter. Voilà bien le combat que je mène aujourd'hui contre moi-même : oui j'aime la viande, mais non je ne veux plus en manger. Car je me rends désormais bien compte de la triste réalité et je ne veux plus fermer les yeux. J'ai été élevé dans la compassion et l'empathie, et la viande que je pensais mettre dans ma bouche de manière innocente ne reflète pas ces qualités.
Nous sommes tous coupables. Pour autant, ce n'est pas la culpabilité qui me guide dans ma démarche aujourd'hui, car celle-ci ne produit que de la frustration et du jugement. Cette culpabilité doit laisser place à de la responsabilité pleinement assumée, qui se matérialise par un simple fait : nous avons le choix, et aujourd'hui je choisis de me battre pour un monde meilleur. Il existe une multitude de combats à mener aujourd'hui sur terre, j'ai choisi le mien.
Au plaisir donc de débattre avec vous et d'en apprendre toujours plus pour m'apporter l'énergie dont j'ai besoin pour mener ce combat.
Croustifouette