Féminisme et masculinisme

Pour les nouveaux nés y a encore des motifs assez neutres je trouve. Le gros du problème que tu décris arrive après. :)
Perso j'arrive quand même à trouver des trucs sympa pour ma fille de 2 ans en fouillant un peu dans les deux rayons.

Félicitations pour la naissance de ton neveu ou de ta nièce !
 
Félicitations !
Usagi.Chan":3nyjs3gu a dit:
(Oui, je vais être une tata gâteau, et alors ?!)
Bah alors rien. Tant que le gâteau est vegan...

:jesors:
 
Usagi.Chan":1ejrraxs a dit:
Ce weekend je cherchais un cadeau de naissance pour ma/mon futur.e neveu/nièce (on ne connait pas le sexe) qui va naître d'ici trois semaines environ (Oui, je vais être une tata gâteau, et alors ?!)
Bref j'avais le choix entre le rayon "fifiiiiiiiiiilles" ! Tout en rose, un peu de blanc et violet clair, des imprimés fleurs, des papillons, des "je suis la plus belle", "petite princesse", "toute douce", etc ou le rayon des "vrais p'tits mecs" avec du bleu, du marron, du vert foncé et un peu de rouge, des pompiers, des cowbys, "déjà le plus fort", etc.
Une fois que tu as trié ce genre de vêtement, puis que tu enlèves aussi ceux Disney (Winnie l'Ourson en tête, mais aussi Cars...), il ne reste plus grand chose en effet.
 
Un peu en retard sur l'article : d'accord avec vous toutes. Déjà elle parle du féminisme des années 60 alors qu'il s'agit en fait du féminisme des années 70. D'autre part, elle ne connaît pas ou fait semblant de ne pas connaître les féminismes de 2e génération. Et puis son propos de dire que les féminismes défendent le modèle wonder woman Barbara Gould... euh... elle n'a vraiment rien compris.
Je n'ai pas trop le temps pour les commentaires par contre. Sorry.

Quant aux cadeaux pour les pitis nenfants, c'est pô gagné en effet :(
 
Usagi.Chan":14x1lxgg a dit:
Je change un peu de sujet, mais ça reste en rapport avec le titre du topic.

Ce weekend je cherchais un cadeau de naissance pour ma/mon futur.e neveu/nièce (on ne connait pas le sexe) qui va naître d'ici trois semaines environ :simplelove: (Oui, je vais être une tata gâteau, et alors ?!)
Bref j'avais le choix entre le rayon "fifiiiiiiiiiilles" ! Tout en rose, un peu de blanc et violet clair, des imprimés fleurs, des papillons, des "je suis la plus belle", "petite princesse", "toute douce", etc ou le rayon des "vrais p'tits mecs" avec du bleu, du marron, du vert foncé et un peu de rouge, des pompiers, des cowbys, "déjà le plus fort", etc. :anger: :rolleyes: :cartonR:

Bon j'ai quand même trouvé mon bonheur (deux tout petit body et un tout petit gilet trop choupinou !
love3.gif
) mais screugneugneu quand même ! :tongue:
En neutre, y'a ça par exemple :

\m/
 
Il faudrait des bodies* L214.

*Je met au pluriel à l'anglaise mais je sais même pas si c'est comme ça qu'il faut faire pour les noms étrangers.
 
Je viens de lire l'article d'Antigone, c'est du n'importe quoi, ça fait juste 30 ans que les féministes dénonce la même chose quand même :mmm: Faut peut-être arrêter d'écouter Elisabeth Badinter...
 
Et bien les vilipendeurs de la "théorie du genre" savent où envoyer leurs enfants maintenant... :whistle:
 
Qu'est-ce que ça doit être en France, il y a il me semble encore moins d'hommes que de femmes en proportion.
 


Aux Éditions iXe: Les grammairiens ont bataillé trois siècles contre les usages et la logique du français pour arriver à imposer, à la fin du XIXe, la règle du « masculin l’emporte ». Ce livre retrace ce long effort de masculinisation et les résistances qu’il a rencontrées.

La domination du genre masculin sur le genre féminin initiée au XVIIe siècle ne s’est en effet imposée qu’à la fin du XIXe avec l’instruction obligatoire. Depuis, des générations d’écolières et d’écoliers répètent inlassablement que « le masculin l’emporte sur le féminin », se préparant ainsi à occuper des places différentes et hiérarchisées dans la société. Ce livre retrace l’histoire d’une entreprise à la misogynie affirmée ou honteuse, selon les époques.
Riche en exemples empruntés aux deux camps, il nous convie à un parcours plein de surprises où l’on en apprend de belles sur la « virilisation » des noms de métier, sur les usages qui prévalaient en matière d’accords, sur l’utilisation des pronoms ou sur les opérations « transgenre » subies par certains mots.

Eliane Viennot

Éliane Viennot est professeure de littérature française de la Renaissance à l’Université Jean Monnet
 
Merci pour l'info! Je commande direct.
Il fallait un livre de référence sur le sujet et Eliane Viennot est une grande historienne.
 
Je trouve l'article assez fort en préjugés.
Plutôt que de s'interroger sur l'abondance de structures de loisirs offertes aux garçons par rapport aux filles, il serait plus pertinent de se demander pourquoi il y a si peu de filles qui font du skate !
Je crois que, tout simplement, les parents laissent plus facilement les garçons dehors que les filles parce qu'ils ont bien plus peur que leur fille tombe sur un pédophile.
 
Tigresse":qzo58vso a dit:
Je crois que, tout simplement, les parents laissent plus facilement les garçons dehors que les filles parce qu'ils ont bien plus peur que leur fille tombe sur un pédophile.
Comment expliquer le décrochage à partir de la classe de 6ème alors ? (et pas avant)
 
Les parents ont peur pour leurs enfants, filles ou garçon, mais plus ceux-ci grandissent, plus l'enfant mâle cesse d'être un petit garçon potentiellement en danger pour devenir "un mâle, un vrai, qui sait se défendre", alors que la fille est considérée comme fragile de sa naissance à... ben à sa mort en fait.
 
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