A
Anonymous
Guest
Merci de ton intervention Moni
Il y a quand même certaines pathologies pour lesquelles l'avis du patient/malade lui-même ne peut pas être valide, quand les comportements qu'elles induisent sont violents.
Déterminer le degré de responsabilité en matière maladie mentale est tortueux. Il y a la question du traitement de fond bien sûr, et chacun.e est unique à ce niveau, car porte son vécu, son tempérament, ses symptômes.
Mais il y a aussi la question du traitement de crise pour certains pathologies, lorsque la personne est en déréalisation et/ou violent.e. Quel niveau d'interventionnisme adopter est compliqué.
Comme pour beaucoup de choses, il ne peut pas y voir de règles générales car il n'y a pas deux patients/malades qui se ressemblent comme tu le disais. En même temps, il faut bien concevoir un cadre général, notamment légal, qui permette une réponse adaptée à chaque situation (parfois cela passe par des mesures coercitives).
Sachant que le cadre actuel est hallucinant d'incohérences.
Il y a quand même certaines pathologies pour lesquelles l'avis du patient/malade lui-même ne peut pas être valide, quand les comportements qu'elles induisent sont violents.
Déterminer le degré de responsabilité en matière maladie mentale est tortueux. Il y a la question du traitement de fond bien sûr, et chacun.e est unique à ce niveau, car porte son vécu, son tempérament, ses symptômes.
Mais il y a aussi la question du traitement de crise pour certains pathologies, lorsque la personne est en déréalisation et/ou violent.e. Quel niveau d'interventionnisme adopter est compliqué.
Comme pour beaucoup de choses, il ne peut pas y voir de règles générales car il n'y a pas deux patients/malades qui se ressemblent comme tu le disais. En même temps, il faut bien concevoir un cadre général, notamment légal, qui permette une réponse adaptée à chaque situation (parfois cela passe par des mesures coercitives).
Sachant que le cadre actuel est hallucinant d'incohérences.