Bonjour !
Petit résumé de ma situation pour mieux comprendre : J'ai été un grand mangeur de poisson et de mammifères jusqu'à mes 26 ans. Cela fait un an que je suis végétarien.
Mais je me rends compte qu'être végétarien, c'est presque pareil que de manger de la viande. En effet, en achetant son lait, c'est des veaux mâles qui sont tués derrières ou des vaches qui sont exploitées et qui dès qu'elles ne fournissent plus assez de lait, sont remerciées par une belle mort. (pareil pour les poules). Je pense qu'un végétarisme éthique était possible il y a des siècles mais plus maintenant. Et même si j'avais un terrain avec des poules/coq et vaches/boeufs, les gens de la ville/du monde entiers ne pourraient avoir ce luxe.
Sinon concernant les moules ou les coquilles saint-jacques, je n'ai jamais été un grand fan.
Cependant il se pourrait que je me tourne vers ces derniers et en contre parti que j'arrête les produits laitiers/oeufs.
De la même manière que la plupart des véganes font une hiérarchie entre les différents règnes du vivant, je fait une autre hiérarchie à l'intérieur de ces règnes.
Bien que je suis pour le respect de toutes les especes vivantes et pour une cohabitation, si une situation de nécessité s'impose je vais préférer la vie humaine à celle d'un dauphin. La vie d'un dauphin à la vie d'une vache. La vie d'une vache à la vie d'un insecte. Et la vie d'un insecte à la vie d'une moule qui jusqu'à preuve du contraire ne ressent même pas de douleur. Et la vie d'une moule à la vie du plancton.
Je dirais même, que je serai d'avantage attristé par le fait qu'on tue un arbre plutôt qu'on mange une moule.
Donc pour moi cesser mon végétarisme et à la place manger uniquement des moules/coquilles saint jaques, çà serait un énorme pas en avant pour la cause animale.
C'est soit manger des moules soit le végétalisme avec des cachets. J'y viendrai peut-être également pour ce dernier. Mais je dois dire que de prendre des cachetons bourrés de vitamines (et d'additifs) me freinent beaucoup. Deplus quand je vois la tête de certains végane, cela ne me rassure pas.Je me dis que le véganisme a encore très peu de recul, et que je suis né un demi siècle trop tôt. Et je constate aussi qu'il y a plein qui arrêtent. Bref par rapport au côté santé du véganisme, je n'en ai pas une vision rassurée. Surtout qu'à mon dernier message dans ce forum, je découvre que les carences ne concernent pas uniquement la B12 et D mais bien d'autres choses encore.
Sinon concernant les moules, je n'ai pas creusé la question, il semblerait que cela ne soit pas écologique dans l'océan. Mais il me semble que cela reste écologique si cela concerne les élevages bios par exemple.
Sinon pour la santé est-ce que de manger un peu tous les jours de ces mollusques est-ce mauvais ? j'ai pas cherché, je verrai.
Niveau vitamines et minéraux en tout cas, c'est le top du top.
J'avais lu qu'il y avait eu des cas de contamination (dans les années 99 car elles absorbent également beaucoup les toxines de certaines micro-algues) concernant les coquilles saint-jaques mais que depuis c'était contrôlé.
Je n'aimerais pas que ce sujet dérive sur la super santé éventuelle de l'ensemble des véganes mais que cela reste plutôt sur l'éthique, la philosophie, à savoir :
- Pensez vous comme moi que le végétarisme soit moins éthique que de manger uniquement des légumes et moules?
- Que pensez vous des hiérarchisations ?
Perso quand les végans disent que tous les espèces ont la même valeur, je trouve que c'est bête et ou faux (1). Par contre quand ils précisent qu'il disent cela en fonction du contexte, là ok. Par exemple si le pompier n'a le temps de sauver uniquement un humain ou un oiseau, il sauvera l'humain. De même pour la nourriture; c'est en parti pour cette raison que l'humain n'est presque plus cannibale. On fait une sorte d'échelle de valeur pour ce qui nous entoure. Alors bien-sure quand tout va bien, c'est facile, on ne fait de mal à personne, mais quand faut prendre une décision pour sa propre santé/survie en dépit d'un autre être vivant alors on va "prendre" dans ce qui a le moins de valeur à nos yeux. (même si elle a de la valeur à nos yeux).
(1) exception faîte pour ceux qui sont près à donner de leurs vie pour nourrir d'autres animaux.
Petit résumé de ma situation pour mieux comprendre : J'ai été un grand mangeur de poisson et de mammifères jusqu'à mes 26 ans. Cela fait un an que je suis végétarien.
Mais je me rends compte qu'être végétarien, c'est presque pareil que de manger de la viande. En effet, en achetant son lait, c'est des veaux mâles qui sont tués derrières ou des vaches qui sont exploitées et qui dès qu'elles ne fournissent plus assez de lait, sont remerciées par une belle mort. (pareil pour les poules). Je pense qu'un végétarisme éthique était possible il y a des siècles mais plus maintenant. Et même si j'avais un terrain avec des poules/coq et vaches/boeufs, les gens de la ville/du monde entiers ne pourraient avoir ce luxe.
Sinon concernant les moules ou les coquilles saint-jacques, je n'ai jamais été un grand fan.
Cependant il se pourrait que je me tourne vers ces derniers et en contre parti que j'arrête les produits laitiers/oeufs.
De la même manière que la plupart des véganes font une hiérarchie entre les différents règnes du vivant, je fait une autre hiérarchie à l'intérieur de ces règnes.
Bien que je suis pour le respect de toutes les especes vivantes et pour une cohabitation, si une situation de nécessité s'impose je vais préférer la vie humaine à celle d'un dauphin. La vie d'un dauphin à la vie d'une vache. La vie d'une vache à la vie d'un insecte. Et la vie d'un insecte à la vie d'une moule qui jusqu'à preuve du contraire ne ressent même pas de douleur. Et la vie d'une moule à la vie du plancton.
Je dirais même, que je serai d'avantage attristé par le fait qu'on tue un arbre plutôt qu'on mange une moule.
Donc pour moi cesser mon végétarisme et à la place manger uniquement des moules/coquilles saint jaques, çà serait un énorme pas en avant pour la cause animale.
C'est soit manger des moules soit le végétalisme avec des cachets. J'y viendrai peut-être également pour ce dernier. Mais je dois dire que de prendre des cachetons bourrés de vitamines (et d'additifs) me freinent beaucoup. Deplus quand je vois la tête de certains végane, cela ne me rassure pas.Je me dis que le véganisme a encore très peu de recul, et que je suis né un demi siècle trop tôt. Et je constate aussi qu'il y a plein qui arrêtent. Bref par rapport au côté santé du véganisme, je n'en ai pas une vision rassurée. Surtout qu'à mon dernier message dans ce forum, je découvre que les carences ne concernent pas uniquement la B12 et D mais bien d'autres choses encore.
Sinon concernant les moules, je n'ai pas creusé la question, il semblerait que cela ne soit pas écologique dans l'océan. Mais il me semble que cela reste écologique si cela concerne les élevages bios par exemple.
Sinon pour la santé est-ce que de manger un peu tous les jours de ces mollusques est-ce mauvais ? j'ai pas cherché, je verrai.
Niveau vitamines et minéraux en tout cas, c'est le top du top.
J'avais lu qu'il y avait eu des cas de contamination (dans les années 99 car elles absorbent également beaucoup les toxines de certaines micro-algues) concernant les coquilles saint-jaques mais que depuis c'était contrôlé.
Je n'aimerais pas que ce sujet dérive sur la super santé éventuelle de l'ensemble des véganes mais que cela reste plutôt sur l'éthique, la philosophie, à savoir :
- Pensez vous comme moi que le végétarisme soit moins éthique que de manger uniquement des légumes et moules?
- Que pensez vous des hiérarchisations ?
Perso quand les végans disent que tous les espèces ont la même valeur, je trouve que c'est bête et ou faux (1). Par contre quand ils précisent qu'il disent cela en fonction du contexte, là ok. Par exemple si le pompier n'a le temps de sauver uniquement un humain ou un oiseau, il sauvera l'humain. De même pour la nourriture; c'est en parti pour cette raison que l'humain n'est presque plus cannibale. On fait une sorte d'échelle de valeur pour ce qui nous entoure. Alors bien-sure quand tout va bien, c'est facile, on ne fait de mal à personne, mais quand faut prendre une décision pour sa propre santé/survie en dépit d'un autre être vivant alors on va "prendre" dans ce qui a le moins de valeur à nos yeux. (même si elle a de la valeur à nos yeux).
(1) exception faîte pour ceux qui sont près à donner de leurs vie pour nourrir d'autres animaux.