V3nom
Moulin à graines
En fait l'argument de la conso de lait inter-spécifique pas naturelle car unique dans le règne animal j'le considère comme une merise sur le cageot, car très moyennement justifié.
Sinon que faudrait-il penser de ce qui a pu amener les chauve-souris vampire à se nourrir du sang de leurs hôtes ? (et j'aurais bien d'autres exemples comme le parcours de la petite douve du foie, les Leucochloridium paradoxum, ou encore l'orchydée marteau...)
L'humain est un animal comme un autre, il a simplement accédé à une place privilégiée et fait des choses hallucinantes que d'autres auraient fait différemment à notre place.
Mais plutôt que de débattre sur sa place ou non dans la nature, actuellement je trouve plus judicieux de regarder ce qu'il peut réparer ou non.
Et effectivement réapprendre à vivre avec, et non envers et contre tout. (dans cet ordre d'idée je suis contre le fait de tailler ce qu'on a planté chez soi)
Enfin concernant le fait de "laisser faire", c'est le principe de réserve naturelle stricte en écologie, et le choix de ne "rien faire" reste "faire quelque-chose".
D'ailleurs le concept même de réserve fait aussi débat dans le milieu écologique :
Cherche-t-on à garder un milieu dans un stade précis de son évolution d'habitat naturel ?
Ou au contraire laissons-nous la nature suivre son cours quitte à laisser un endroit qui ne demande qu'à flétrir disparaitre ? (avec sa cohorte d'espèces, menacées ou non)
Car encore une fois, malgré toute la bienveillance que cette position revêt, ça reste un concept très anthropocentrique que de tenir à conserver toute espèce animale ou végétale menacée d'extinction, même celles qui n'ont pas spécialement subie la pression des humains.
PS : t'en fait pas pour la conduite du sujet en lui-même, personne n'essaie de convaincre personne, il ne s'agit que de partage de ressentis et de confrontation de points de vue.
Sinon que faudrait-il penser de ce qui a pu amener les chauve-souris vampire à se nourrir du sang de leurs hôtes ? (et j'aurais bien d'autres exemples comme le parcours de la petite douve du foie, les Leucochloridium paradoxum, ou encore l'orchydée marteau...)
L'humain est un animal comme un autre, il a simplement accédé à une place privilégiée et fait des choses hallucinantes que d'autres auraient fait différemment à notre place.
Mais plutôt que de débattre sur sa place ou non dans la nature, actuellement je trouve plus judicieux de regarder ce qu'il peut réparer ou non.
Et effectivement réapprendre à vivre avec, et non envers et contre tout. (dans cet ordre d'idée je suis contre le fait de tailler ce qu'on a planté chez soi)
Enfin concernant le fait de "laisser faire", c'est le principe de réserve naturelle stricte en écologie, et le choix de ne "rien faire" reste "faire quelque-chose".
D'ailleurs le concept même de réserve fait aussi débat dans le milieu écologique :
Cherche-t-on à garder un milieu dans un stade précis de son évolution d'habitat naturel ?
Ou au contraire laissons-nous la nature suivre son cours quitte à laisser un endroit qui ne demande qu'à flétrir disparaitre ? (avec sa cohorte d'espèces, menacées ou non)
Car encore une fois, malgré toute la bienveillance que cette position revêt, ça reste un concept très anthropocentrique que de tenir à conserver toute espèce animale ou végétale menacée d'extinction, même celles qui n'ont pas spécialement subie la pression des humains.
PS : t'en fait pas pour la conduite du sujet en lui-même, personne n'essaie de convaincre personne, il ne s'agit que de partage de ressentis et de confrontation de points de vue.