Salut à tous,
je crois que j'étais déjà passé sur ce forum avec un autre compte dont j'ai depuis longtemps oublié son pseudo. C'était en 2012 quand je suis devenu végétarien.
Je dois admettre que j’envisageais une certaine stagnation de mon régime alimentaire jusqu'à la trentaine, période où j'estimais qu'il serait plus facile de cuisiner ce que l'on veut et où la question financière se poserait moins pour devenir végétalien.
Seulement voilà, j'ai actuellement 22 ans, et je crois que je suis en train de franchir plus tôt que prévu le cap du végétalisme. Et je trouve ça terriblement dur, beaucoup plus que de devenir végétarien. Le cap du végétarisme s'est fait vraiment avec une certaine violence mentale autant à mon égard qu'à l'égard de la société ... ce qui m'avait permis malgré tout de ne pas succomber à la moindre pression sociale ou tentation alimentaire. Hors, là, maintenant, le passage vers le végétalisme se fait d'une façon beaucoup plus sereine mais tout aussi désagréable...
En cinq ans j'ai eu le temps de reconstruire tout un panel alimentaire végétarien et même si je n'ai jamais abusé sur les œufs ou le lait, la majorité de mes aliments en contenaient au moins des traces. Tout est à reconstruire de nouveau donc et c'est assez pénible quand on a encore le pécule d'un étudiant. Plus encore quand on renoue encore une fois avec la "solitude alimentaire" : je côtoie aujourd’hui quelques végétariens mais comme en 2012 je n'ai absolument personne de mon entourage sur qui prendre exemple.
Socialement j'en parle pas, en deux semaines j'ai déjà refusé 4 bouffes en ville/pizzeria avec des amis. Un repas de famille arrive à grand pas, je sens que je vais faire encore une petite polémique.
Bref, présentation assez longue mais qui permet de voir dans quelle optique je suis actuellement, je viens ici pour chercher des conseils qui m'aideront et surtout j'espère trouver vicieusement d'autres topics où des végétaliens ont pleuré sur leur sort comme ça je me sentirais moins seul pour la transition.
Je me demande aussi si être végétalien au-delà d'un choix de vie ça n'est pas aussi quelque chose qui ne peut être permis que par un entourage favorable. Parce que être un étudiant de 22 ans, en Bretagne/Province, et ne côtoyer quasiment que des carnistes, c'est un ensemble de contraintes de taille par rapport à une personne déjà installée, avec une décennie de plus sur les épaules, connaissant d'autres végétaliens et pouvant s'épanouir pleinement socialement. Les végétaliens de mon âge sont bien discrets !
Et sinon je savais pas où le mettre mais dans la vrai vie je suis étudiant en Master Recherche d'Histoire à Rennes et j'aime beaucoup trop d'activités pour être exhaustif sur le sujet de mes passions. ^^
Merci de m'avoir lu et sur ce, je vous souhaite une bonne soirée !
je crois que j'étais déjà passé sur ce forum avec un autre compte dont j'ai depuis longtemps oublié son pseudo. C'était en 2012 quand je suis devenu végétarien.
Je dois admettre que j’envisageais une certaine stagnation de mon régime alimentaire jusqu'à la trentaine, période où j'estimais qu'il serait plus facile de cuisiner ce que l'on veut et où la question financière se poserait moins pour devenir végétalien.
Seulement voilà, j'ai actuellement 22 ans, et je crois que je suis en train de franchir plus tôt que prévu le cap du végétalisme. Et je trouve ça terriblement dur, beaucoup plus que de devenir végétarien. Le cap du végétarisme s'est fait vraiment avec une certaine violence mentale autant à mon égard qu'à l'égard de la société ... ce qui m'avait permis malgré tout de ne pas succomber à la moindre pression sociale ou tentation alimentaire. Hors, là, maintenant, le passage vers le végétalisme se fait d'une façon beaucoup plus sereine mais tout aussi désagréable...
En cinq ans j'ai eu le temps de reconstruire tout un panel alimentaire végétarien et même si je n'ai jamais abusé sur les œufs ou le lait, la majorité de mes aliments en contenaient au moins des traces. Tout est à reconstruire de nouveau donc et c'est assez pénible quand on a encore le pécule d'un étudiant. Plus encore quand on renoue encore une fois avec la "solitude alimentaire" : je côtoie aujourd’hui quelques végétariens mais comme en 2012 je n'ai absolument personne de mon entourage sur qui prendre exemple.
Socialement j'en parle pas, en deux semaines j'ai déjà refusé 4 bouffes en ville/pizzeria avec des amis. Un repas de famille arrive à grand pas, je sens que je vais faire encore une petite polémique.
Bref, présentation assez longue mais qui permet de voir dans quelle optique je suis actuellement, je viens ici pour chercher des conseils qui m'aideront et surtout j'espère trouver vicieusement d'autres topics où des végétaliens ont pleuré sur leur sort comme ça je me sentirais moins seul pour la transition.
Je me demande aussi si être végétalien au-delà d'un choix de vie ça n'est pas aussi quelque chose qui ne peut être permis que par un entourage favorable. Parce que être un étudiant de 22 ans, en Bretagne/Province, et ne côtoyer quasiment que des carnistes, c'est un ensemble de contraintes de taille par rapport à une personne déjà installée, avec une décennie de plus sur les épaules, connaissant d'autres végétaliens et pouvant s'épanouir pleinement socialement. Les végétaliens de mon âge sont bien discrets !
Et sinon je savais pas où le mettre mais dans la vrai vie je suis étudiant en Master Recherche d'Histoire à Rennes et j'aime beaucoup trop d'activités pour être exhaustif sur le sujet de mes passions. ^^
Merci de m'avoir lu et sur ce, je vous souhaite une bonne soirée !