On est bien d'accord, je disais juste ce que je pense qu'il serait bien de faire.AnimalGate":36lsethq a dit:Oui, bien sûr, je vais préciser ma pensée. Pour Barbux, d'abord : je suis tout à fait d'accord avec toi : quelle que soit la situation, les difficultés auxquelles nos idéaux sont confrontés, le végétalisme aidera et est quelque chose de bon, c'est indéniable. Mais je ne suis pas sûr que ça va contribuer à plus d'espaces sauvages. La plupart du temps, quand un espace se libère on plante des cultures plutôt que des arbres. C'est mieux que de laisser les camps d'exterminations animaux, mais ce n'est pas vraiment des espaces sauvages...Monbasinstinct":36lsethq a dit:Non, je ne suis pas certain qu'AnimalGate pose tellement la question de l'impatience. Mais que dit AnimalGate exactement ? Pour moi ce n'est pas très clair. Est-ce que tu pourrais préciser ta pensée s'il te plait ?
Excuse moi d'insister, mais je ne comprend pas de quels problèmes apportés par le végétalisme tu parles.AnimalGate":36lsethq a dit:Donc, forcément, je ne peux qu'être d'accord avec toi aussi, Blizzard. Même si le végétalisme apporte des problèmes, il en résout de très graves.
Je pense en effet qu'il faut tout repenser.AnimalGate":36lsethq a dit:Ma question initiale consistait surtout à savoir comment vous imaginez un monde végétalien, pour voir comment ceux qui voudraient un monde de partage plutôt que de domination imaginent un tel monde, et aussi s'ils pensent que c'est possible à terme.
Pour moi, si on en arrivait au végétalisme mondial un jour, il faudrait tout refaire dans une autre logique. Mais peut-être suffit-il de changer certaines choses seulement...
Je ne crois absolument pas que le végétalisme est une fin en soi, c'est une réponse radicale et partielle à un mode de vie radicalement destructeur. Je pense tout de même qu'une alimentation (au moins très majoritairement) végétale serait préférable et je suis plutôt contre la domestication animale. Je ne suis pas contre la domestication végétale (qui me semble être inévitable) dans certaines conditions seulement.
Le végétalisme ne résout pas le problème global, qui est plus profond que la seule exploitation animale. L'exploitation est totale : minérale, végétale, animale, humaine. Il faut pour régler les problèmes imposés par l'homme, que celui évolue, dans l'individu et dans l'unité. Je pense que l'on est une espèce encore immature sur le plan de l'évolution, mais aussi une espèce assez particulière, dotée de particularités nouvelles, tout du moins dans leurs niveaux de développement. Nous avons cherchés à composés des chefs d'œuvres avant d'avoir bien travaillé nos gammes, la mélodie qui en est issue est une véritable cacophonie. Nous avons aussi, et c'est là notre plus grosse erreur, dédaigné la mélodie planétaire et universelle, nous n'y sommes pas accordés et c'est l'orchestre tout entier qui en pâtit. En bref, à problème global, solution globale.