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(16500 habitants, banlieue de Nantes)
"Dans le cadre de la sensibilisation au développement durable, la Ville a lancé cette semaine dans les restaurants scolaires un repas riche en protéines, mais sans viande dans l'assiette. « De 1950 à aujourd'hui, la consommation de viande a doublé dans nos pays industrialisés, avec des conséquences négatives sur notre environnement. La production de viande à grande échelle est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre. Il faut 7 à 10 kg de céréales et 15 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande », précise Mme Janvier, conseillère à la vie scolaire.
« La viande est un aliment dont les qualités nutritionnelles sont indéniables et il n'est pas question de la retirer des menus. Nous souhaitons simplement montrer qu'il est possible de réduire sa consommation, tout en garantissant les apports en protéines nécessaires aux enfants, afin qu'ils bénéficient toujours de repas équilibrés », explique Mme Hughet, conseillère à la santé. Ce repas a d'ailleurs été élaboré avec une diététicienne. La recette de couscous aux légumes avec l'association de céréale (blé) et de légumes secs (pois chiches), assure un taux de protéines équivalent à celui de la viande. Ces produits sont issus de l'agriculture biologique comme la majorité des aliments qui composent aujourd'hui les repas des écoliers. Cette expérience sera sans doute reproduite, sachant qu'il y a quelque temps, un repas à base de tofu avait été proposé à la table des scolaires.
Prochains rendez-vous gustatifs pour les élèves lors des Olympiades en avril, après les vacances, et en juin pour la venue des délégations allemande, palestinienne, roumaine et nicaraguayenne."
(16500 habitants, banlieue de Nantes)
"Dans le cadre de la sensibilisation au développement durable, la Ville a lancé cette semaine dans les restaurants scolaires un repas riche en protéines, mais sans viande dans l'assiette. « De 1950 à aujourd'hui, la consommation de viande a doublé dans nos pays industrialisés, avec des conséquences négatives sur notre environnement. La production de viande à grande échelle est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre. Il faut 7 à 10 kg de céréales et 15 000 litres d'eau pour produire 1 kg de viande », précise Mme Janvier, conseillère à la vie scolaire.
« La viande est un aliment dont les qualités nutritionnelles sont indéniables et il n'est pas question de la retirer des menus. Nous souhaitons simplement montrer qu'il est possible de réduire sa consommation, tout en garantissant les apports en protéines nécessaires aux enfants, afin qu'ils bénéficient toujours de repas équilibrés », explique Mme Hughet, conseillère à la santé. Ce repas a d'ailleurs été élaboré avec une diététicienne. La recette de couscous aux légumes avec l'association de céréale (blé) et de légumes secs (pois chiches), assure un taux de protéines équivalent à celui de la viande. Ces produits sont issus de l'agriculture biologique comme la majorité des aliments qui composent aujourd'hui les repas des écoliers. Cette expérience sera sans doute reproduite, sachant qu'il y a quelque temps, un repas à base de tofu avait été proposé à la table des scolaires.
Prochains rendez-vous gustatifs pour les élèves lors des Olympiades en avril, après les vacances, et en juin pour la venue des délégations allemande, palestinienne, roumaine et nicaraguayenne."