Bon Jour Soir Nuit

Bonjour Hasthe (salut tout le monde :D, mais non suis tjs pas mort).
J'aime beaucoup ton approche, "simplement essayer d'être en accord avec ce que tu penses au jour le jour". En ce qui concerne la vie aquatique, fais un tour sur le site de Sea Sheperd, ça devrait te donner déjà un son de cloche ;)
http://www.seashepherd.fr/
 
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C'est mon copain qui a commencé à aborder ces questions, on essayait déjà de manger des animaux élevés de façon non-industrielle (bio ou label rouge), de façon assez normale la question du végétarisme s'est posée petit à petit.
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C'est super si vous faites ça ensemble, ça limite les doutes et les problèmes.
Pour ce qui est de la "période à risque" dont tu parles je pense que l'essentiel est d'y aller petit à petit, continues à manger ce dont tu doutes le plus, l'idéal est que tu bannisses les aliments par compréhension/réflexion et non par simple contrainte (qui peut engendrer des frustrations)
Donc, habituez vous à manger différemment et par la suite je suis certain vous finirez par faire évoluer le régime.
 
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J'apprécie que tu précise pas seulement l'abattage pour les animaux. Car je ne pense pas que les animaux veulent être "tuer proprement".

Pour ce qu'on appelle communément les fruits de mer (leur nom essaye déjà d'enlever tout scrupule à les manger), c'est évident qu'ils sont mieux dans l'océan que dans nos assiette. Une crevette n'a pas envie de finir en cocktail.

Pour ce qui est du lait et des œufs, l'argument de poids est que les poules pondeuses (15 ans d'espérance de vie = abattoir à 2 ans généralement) et les vaches laitières (espérance de vie 20/22 ans = abattoir à 7 ans dans le bio, 4 ans dans le non bio)finissent tous à l'abattoir. sans compter les veaux qui y vont dans les jours qui suivent leur naissance et les poussins mâles qui sont envoyés à la broyeuse. Désolé si les détails ne sont pas joyeux, mais le mieux est d'y penser en connaissance de cause.

Enfin, on peut facilement imaginer qu'aucun animal n'a envie de servir d'usine à faire du lait ou des œufs et de ne pas pouvoir profiter de son existence comme il l'entend.

Qui aimerait être enfermé tout ça vie dans une cage ou un champs clôturé et être traité comme un objet ?

J'espère que cela peut te donner quelques éléments de réflexion pour sortir de cette "période à risques" et entrée dans une période de respect total des animaux.

Bon courage

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bienvenue!
vu comme tu es partie a te poser les questions, je pense que tu ne pourras que etre confortée dans tes idées avec tout ce que tu trouveras ici!!
et niveau des plaisirs alimentaires, pas d inquietudes la dessus, tu ne seras pas en reste!!
 
Pour la sauce bolognaise, et autres plats de viande, il y a souvent des versions végétariennes ou végétaliennes assez faciles à mettre en place une fois qu'on a trouvé les bons ingrédients. Par exemple, ici :
http://www.ecolopop.info/sauce-bolognai ... ienne/3708
Le goût peut être un peu différent, mais pas mauvais pour autant !

D'une façon générale, je me rends compte que les saveurs qu'on perd d'un côté, on les retrouve d'un autre en apprenant à utiliser de nouveaux produits, en cuisinant autrement. A terme, quand on a trouvé ses marques, il n'y a pas de perte de saveur ou de frustration. J'ai découvert tout plein de nouveaux ingrédients qui renouvellent le plaisir de manger, ouvrent de nouvelles perspectives en cuisine, enrichissent les menus. Des choses que je n'aurais jamais pensé à utiliser avant. On ne perd pas au change, loin de là.

Mais ta réflexion a ses raisons d'être, poursuis-là tant que tu en auras besoin. C'est aussi dans la tête que ça se passe, c'est sûr. Toi seule a les cartes en main. Tant de gens ne se posent pas de questions, tu as le mérite de le faire. :)
 
Cicerolle":1vqb7hk0 a dit:
Pour la sauce bolognaise, et autres plats de viande, il y a souvent des versions végétariennes ou végétaliennes assez faciles à mettre en place une fois qu'on a trouvé les bons ingrédients. Par exemple, ici :
http://www.ecolopop.info/sauce-bolognai ... ienne/3708
Le goût peut être un peu différent, mais pas mauvais pour autant !

D'une façon générale, je me rends compte que les saveurs qu'on perd d'un côté, on les retrouve d'un autre en apprenant à utiliser de nouveaux produits, en cuisinant autrement. A terme, quand on a trouvé ses marques, il n'y a pas de perte de saveur ou de frustration. J'ai découvert tout plein de nouveaux ingrédients qui renouvellent le plaisir de manger, ouvrent de nouvelles perspectives en cuisine, enrichissent les menus. Des choses que je n'aurais jamais pensé à utiliser avant. On ne perd pas au change, loin de là.
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Le fait de découvrir de nouveaux produits est vraiment quelque chose de motivant.

Manger de manière différente, plus variée : des céréales comme le quinoa, les lentilles et les pois cassés redécouverts, de nouveaux légumes, le tofu et autre soja ...

Y a vraiment une grande variété de choses auxquelles ont ne pense pas quand on est "omni".
 
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