Bonjour à tous et à toutes,
Un jour de grande solitude, après que quelqu'un m'ait sorti que ça faisait un an qu'elle était végétarienne et que donc je devais l'applaudir, alors que cette personne mange toujours de la viande et du poison depuis un an, j'ai repris conscience de ma solitude et de l'incompréhension qui entoure le fait d'être végétarien(ne) (ne parlons même pas des végétaliens!) J'aurais pu vraiment l'encourager, et non sarcastiquement comme je l'ai fait (quoique je doute qu'elle l'ai remarqué). Mais quoi ?! Combien de temps sommes-nous sensé supporter sans broncher toutes les hérésies qu'on nous balance ? Après avoir un peu, pour la première fois en 2 ans et demi, gueulé, je suis allée noyer ma solitude dans les maths puis sur internet et après de courtes (très courtes) hésitations, me voilà !
Donc, j'ai 17 ans, je suis végétarienne depuis 2 ans et demi je crois, après une longue bataille silencieuse, je suis actuellement en term S. Je connais 3 personnes végétariennes, 2 profs (les conversions sont donc nulles, enfin dans le sens inexistantes) et une autre lointaine connaissance. Je suis donc isolée dans un monde omnivore de barbares insensibles. Bon, mes amis respectent ce choix, en fait cela ne les gênent pas mais... que sais-je ? J'ai envie de rencontrer des gens qui comprennent mon point de vue, j'ai envie d'en parler autrement qu'avec un supposé désir de cadavres qu'on est sensé rencontrer, de supposer carences.
Au passage, je suis devenue végétarienne parce que j'aime les animaux vivants courant dans les prés et non morts dans mon assiette et qu'assez tôt ça m'apparaissait comme un non-sens mais je ne me suis imposée qu'à mes 14 ans. Réaction immédiate, stupidité de l'adolescence qui va passer car je ne pourrais pas résister au "manque". Le schéma classique, je pense.
Bon, je vais arrêter mon pavé ici
Un jour de grande solitude, après que quelqu'un m'ait sorti que ça faisait un an qu'elle était végétarienne et que donc je devais l'applaudir, alors que cette personne mange toujours de la viande et du poison depuis un an, j'ai repris conscience de ma solitude et de l'incompréhension qui entoure le fait d'être végétarien(ne) (ne parlons même pas des végétaliens!) J'aurais pu vraiment l'encourager, et non sarcastiquement comme je l'ai fait (quoique je doute qu'elle l'ai remarqué). Mais quoi ?! Combien de temps sommes-nous sensé supporter sans broncher toutes les hérésies qu'on nous balance ? Après avoir un peu, pour la première fois en 2 ans et demi, gueulé, je suis allée noyer ma solitude dans les maths puis sur internet et après de courtes (très courtes) hésitations, me voilà !
Donc, j'ai 17 ans, je suis végétarienne depuis 2 ans et demi je crois, après une longue bataille silencieuse, je suis actuellement en term S. Je connais 3 personnes végétariennes, 2 profs (les conversions sont donc nulles, enfin dans le sens inexistantes) et une autre lointaine connaissance. Je suis donc isolée dans un monde omnivore de barbares insensibles. Bon, mes amis respectent ce choix, en fait cela ne les gênent pas mais... que sais-je ? J'ai envie de rencontrer des gens qui comprennent mon point de vue, j'ai envie d'en parler autrement qu'avec un supposé désir de cadavres qu'on est sensé rencontrer, de supposer carences.
Au passage, je suis devenue végétarienne parce que j'aime les animaux vivants courant dans les prés et non morts dans mon assiette et qu'assez tôt ça m'apparaissait comme un non-sens mais je ne me suis imposée qu'à mes 14 ans. Réaction immédiate, stupidité de l'adolescence qui va passer car je ne pourrais pas résister au "manque". Le schéma classique, je pense.
Bon, je vais arrêter mon pavé ici
